Livre 5.

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Point de vue Eden.

Nous somme déjà vendredi et étrangement depuis la rencontre avec Louis et le petit mot, je n'es aucune nouvelle de Zayn

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Nous somme déjà vendredi et étrangement depuis la rencontre avec Louis et le petit mot, je n'es aucune nouvelle de Zayn. Autant bien physiquement que part petit message comme il sait si bien le faire. Je trouve toute cette histoire pas nette. Elle ne l'a jamais était de toute façon.

Sujet mise à part, le faite que mon rendez-vous avec Enzo approche me stresse au plus au point. Je ne sais toujours pas quoi mettre d'ailleurs. Il y tellement de choix de nos jours, que sa devient vraiment un calvaire de ce trouver une tenue, une coiffure, le maquillage, les bijoux ou encore les chaussures évidemment. J'ai l'air d'avoir tous le poids du monde sur mes épaules à penser comme je le fais. Bon, pensons positivement. Je finis ce que je fais sur mon ordi et après je pourrais rentrer l'esprit plus tranquille je l'espère. Mais me connaissant, je vais juste stresser encore plus en me retrouvant totalement seule chez moi.

Un bruit suspect me fait sursauté. Je dirai que quelqu'un a fait tomber un livre. Je ne vois pas d'autre possibilité. De ce faite, je me lève pour aller voir c'est ma bibliothèque après tous. J'ai pas envie de tomber sur quelqu'un que j'ai pas envie de voir comme Harry Styles par exemple. Surtout pas après ce qu'il s'est passé. Qui sait ce qu'il pourrait faire, si l'on ce retrouvait tous seule à deux. J'en es des frissons rien que d'y penser.

Cole Sprouse. Voilà le nom de la personne qui m'a fait une frayeur intérieur.

"- Tous va bien Monsieur Sprouse ?

-Oui. Excusez-moi j'ai été maladroit. Je vous ai fait peur j'imagine ?

- Oui, mais c'est pas grave. Je suis rassuré de savoir que tous va bien finalement. Mmh, par contre la bibliothèque va bientôt fermée alors si vous pouviez ne pas prendre trop de temps.

- Pas de problème j'ai choisis de toute façon.

- Oh, super suis moi alors. Je vais l'enregistré."

Il hoche la tête, puis me suis dans le plus grand des calmes, des plus relaxants. À mon bureau je lui dis de s'asseoir le temps que je fasse les petites démarches. Ce qu'il fait sans faire d'histoire. Il a vraiment une tête d'ange, c'est dommage que même la personne qui a l'air la plus gentil du monde puisse finir ici en prison. C'est triste.

"- Dite-moi Monsieur Sprouse j'ai une question ? Vous n'êtes pas obligé d'y répondre bien entendu.

- Allez-y je suis tout ouïe.

- La liberté ne vous manque pas ? Votre famille ? Ou encore vos amis ou votre copine ?

- Vous avez le mérite d'être direct mais honnêtement, oui tous me manquent. Mais c'est comme ça. J'assume mon erreur.

- C'est bien dommage, vous n'avez pourtant pas l'apparence d'un criminel."

Je n'es qu'une seule chose à penser, oups. J'ai encore été trop directe. Son regard c'est quelque peu assombris. Son regard reste accrocher au mien. Il ne lâche en aucun mon regard pendant au moins les 5 plus longues minutes de ma vie. Je suis mal à l'aise.

"- Je suis d'accord sur un point avec Zayn. Vous êtes bien trop innocente."

Mon cœur fait un énorme bon dans ma poitrine. Sa faisait bien trop longtemps, que je n'avais pas entendu entendu parler de lui. J'ai même penser qu'il avait lâché l'affaire mais non. Ma respiration c'est coupé pendant un léger instant. Un instant que la personne en face de moi n'a pas louper de remarquer.

"- Ce n'est pas parce qu'il ne vient plus te voir directement qu'il a arrêté de te surveiller, au contraire. "

Sans que je n'es le temps de répondre il se lève, prends le livre que j'avais poser juste devant moi et s'en va sereinement. Avant d'avoir pu souffler, il est de retour devant l'entrée de mon bureau. Il prends la poignée de ma porte et la ferme d'un coup sec. J'entends le cliquetis de mes clés. Puis la porte se verrouiller et tous ça à une vitesse fulgurante. Je me lève d'un bon. Arriver devant la porte je tape dessus en lui demandant de m'ouvrir et d'arrêter tous ce cirque. Tous sa n'a pas de sens. À la place de me répondre il lâche un petit ricanement. Je retire ce que j'ai dis c'est pas un ange. C'est un démon plutôt.

***

Ça doit faire environs quelques heures que je suis coincée dans mon bureau. Il est 22h. Je trouve vraiment étrange que personne ne sois venue vérifié que tous aller bien, surtout quand un prisonnier n'est pas retourner dans sa cellule. La sécurité laisse à désirer ici. C'est moi qui vous le dis. Du mouvement devant ma porte vitrée me fait lever le regard. Et comment vous dire que je pouvais que me douter que tous cela n'était que son œuvre à lui. Mon regard ne peut que lui lançais des éclairs et je suis sur qu'il le sens. Malgré qu'il fait comme si je n'existais pas. Il se tape la discute avec l'autre démon.

Au bout d'un certain temps, leurs discussion a l'air d'arriver à terme. Zayn chuchote un truc dans l'oreille de Cole. J'entends la porte se déverrouiller et ni une ni deux je me précipite pour foncer dans le tas et m'échapper d'ici même si je dois laisser mes affaires, il faut au moins que j'arrive à interpellé un gardien.

Mais avant même que j'arrive à entamer ma course. Les bras puissants de Zayn m'attrape et me sers dos contre lui. Je n'abandonnerais pas là. Alors dans un élan de courage, je commence à appeler à l'aide malheureusement vite étouffer par la main de mon bourreau.

"- Mais c'est qu'elle est féroce comme je ne l'ai jamais vu auparavant."

Pour toute réponse je lui mord la main le plus fortement que je peux. Et tous ce que  je reçois, c'est quelque chose que je n'aurais jamais pensé recevoir jusqu'à aujourd'hui. Il a osé me gifler. Je suis au sol, ma vue se brouille de larme. Sans avoir l'occasion de me reprendre, une larme puis deux ainsi de suite commence à couler sur mes joues, qui commence à rosir par les larmes. Je suis sous le choque total. J'en reviens pas.

"- Pardonne moi, Eden. Mais tu m'as vraiment énervé pour le coup."

Tous ce que j'arrive à lui répondre c'est de lui cracher dessus. Un acte qui va encore me coûter cher. Le faite d'agir de cette façon pour me défendre un minimum, et ne pas me laisser faire, ne fais juste qu'envenimé les choses.

"- Une correction s'impose. Cole tu surveilles les alentours. Éteins tous. Fais en sorte que rien ne nous trahissent. Surtout ne me dérange sous aucun prétexte. Sauf en cas de danger qui pourrait nous être fatale.

- Sa marche.

- Bien à nous deux, Eden."

C'est un criminel ne l'oublie pas.

C'est un criminel ne l'oublie pas

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La Bibliothécaire de prison. [ZM]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant