La Bibliothécaire de prison. [ZM]

Livre 14.

Point de vue Eden.

Si dans toute ma vie,  je devais dire la pire nouvelle que j'es appris, ça serais belle et bien le faite que Harry allait bientôt être libéré. Mais je suis aussi dans l'incompréhension, pour moi il aurait du en avoir encore pour un moment. Il y a peu encore le directeur m'a dit que c'était l'un des plus grands criminels et maintenant j'apprends que ce dernier va être libre comme l'air dans je ne sais combien de temps. Surtout que le pire dans toute cette histoire c'est que je suis certainement la plus touchée par tous ce qui arrive. Il m'a quand même plusieurs fois attaquer et aussi menacer Zayn de s'en prendre à moi. Alors que j'es absolument pas envie d'être mêlée à leurs petite guerre de gang. Je me demande des fois quel mouche les à piquer pour utiliser des innocents comme gros lots pour avoir l'avantage sur l'autre. Mais pas besoins de trop de réfléchir plus loin que le bout de son nez, ils font sa pour le pouvoir. Des innocents qui meurent par leurs fautes c'est le cadet de leurs soucis. Tout est bon tant que sa rapporte.

"- Eden t'es toute blanche d'un coup. T'es sure que tous va bien ?

- Oui. C'est juste que ce que tu viens de me dire ne me rassure pas du tous.

- Je me doute bien. Moi non plus d'ailleurs si ça peut te consoler."

Il a mine de rien malgré la situation, réussis à me voler un sourire. Heureusement que je peux encore compter sur Enzo pour me protéger en cas de besoin. Enfin plus au travail que chez moi mais c'est déjà mieux que rien.

"- Tu ne sais pas quand exactement ?

- Non sa date de sortie reste encore inconnue de tous, à part le grand manitou évidement."

Mince j'aurais aimée savoir. Sa m'aurais laissée du temps pour me préparer mentalement. J'es plus qu'à espérer que tous ce qui s'est passer n'était juste que des menaces en l'air et qu'il profitera juste de nouveau de sa liberté comme une personne normal le ferais.

Son seul problème à Harry c'est qu'il n'est certainement pas tous seul dans sa tête, en plus d'être un psychopathe. Au lieu d'être dans une prison, j'aurais préférer que ce sois carrément dans un hôpital psychiatrique qu'il soit mis. Sa lui convient beaucoup mieux. Sérieux sa morsure je la sens tellement, encore actuellement, que c'est comme si ses dents y sont encore profondément planter. La cicatrice y sera pour sure.

"- Bon Enzo, je te laisse j'aspire qu'a me reposer maintenant.

- Je comprends t'en as vue de toute les couleurs aujourd'hui. Repose toi bien.

- Merci."

Avant que je ne monte à bord de ma voiture il m'embrasse le front et s'en va sans un mot de plus.

Encore un truc que je ne préfère pas relever pour ce soir. J'es plus qu'une chose en tête, mon lit adorer. Avec lui tous est très simple. C'est qu'un lit après tous.

Alors une fois arriver chez moi je me déshabille en quatrième vitesse et plonge sous mes couverture me faisant mon cocon douillet. Le monde des rêves est enfin à moi pour ce soir. C'est vraiment le meilleurs moment de chaque journée. Le stresse et l'angoisse du travail ne sont plus présente Dieu merci.

***

Des gros bruits de martèlement qui viennent à coup sur de ma porte d'entrée me sorte de mon profond et agréable sommeil. Alors presser d'en finir, énervée d'avoir était réveiller aussi brusquement je me précipite vers l'entrée. Mais juste avant de faire une énorme bêtise du au faite d'être encore à moitié endormie, je remarque que je suis en sous-vêtement certainement pas l'idéal pour ouvrir à un inconnue je trouve. Dans une précipitation sans nom je fonce prendre mon pénoire dans la salle de bain et une fois que je suis sur que plus rien ne pourrais me ridiculiser je vais pour enfin ouvrir la porte ou l'inconnue n'a toujours pas arrêter de la marteler de coup plus fort les uns que les autres.

Comment vous dire que j'es juste encore plus les nerfs. Jamais tranquille décidément. Même dans ma propre maison maintenant. J'aurais tous vue.

"- Salut Eden, pas trop tôt j'es faillit attendre.

- Quoi-"

Je retire ce que je viens de dire j'ai pas encore tous vue on dirait bien. J'es même pas eu le temps de lui demander ce qu'il foutait ici, qu'il est rentrée en me bousculant. Je dois être encore entrain de rêver.

"- Je peux savoir ce que tu fous ici, Louis ?!"

Au lieu de me répondre, il continu juste d'emménager le reste des ses affaires dans mon salon, ordi est tous l'informatique qui va avec. Quand je dis tous ce qui va avec c'est certainement pas une blague. C'est vraiment tous le matériel d'un hacker de génie. Pas de doute là-dessus. En attendant je continue quand même de le regarder comme une grosse idiote devant ma porte d'entrée qui d'ailleurs et maintenant fermer, certainement par lui.

"- Je peux avoir une réponse si c'est pas trop demander ?

- T'es en danger.

- Comment ça ?

- Tu dois savoir comme moi que Harry va être libérer prochainement et si je suis là, c'est justement pour te protéger. D'ailleurs les autres vont arriver."

Alors là j'y crois pas, comment ça les autres ? C'est encore ma maison à ce que je sache. Les gens de nos jours se croient tous permis.

"- Comment ça les autres ? C'est hors de question. C'est ma maison pas votre nouveau QG.

- Que tu le veuilles ou non, j'en es rien faire. Ordre de Zayn. De toute façon on reste pas longtemps ici.

- Encore heureux.

- Et tu vas venir avec nous."

Et pour me montrer que j'avais encore moins le choix sur ce qui se passer, la porte sonne. Alors n'ayant finalement pas trop le choix j'ouvre cette dernière. Une ribambelle d'homme débarque dans ma maison comme ci de rien n'était. Comment ne plus se sentir chez soi en seulement cinq minutes, il y pas meilleurs exemple que le mien je pense. Je crois que dès que j'ai l'occasion je fuis de ma propre maison en ayant préparer le nécessaire. Maintenant reste plus qu'a faire ça dans le silence et la discrétion la plus total. Mission qui va s'avérer j'espère pas trop difficile.

Première étape, continuer ce que j'aurais fais après un réveil normal. C'est-à-dire, une bonne douche, je l'es amplement mérité. Ensuite je prends un petit déjeuner si j'es plus trop l'estomac nouée mais en même temps pas le choix, si je veux fuir et ne m'évanouir en cours autant avoir l'estomac plein. Pour finir je préparer un max d'affaire que je pourrais emporter dans un gros sac et je me ferais la malle par la fenêtre de ma chambre. Une chance que je vive pas dans un appartement. La difficulté aurait été plus élever. Mais heureusement sa ne l'est pas.

J'aurais plus qu'à foncer jusqu'à ma voiture et l'affaire sera réglé. Facile non ?

C'est un criminel ne l'oublie pas.