Einn vikingr elska einn breall

CHAPITRE VI

Hélène

Le lendemain, personne n' ait venu me réveiller, la reine m' avait donné ma journée. En me réveillant, le soleil était déjà levé. Je me souviens directement de ma promesse envers les princes. Je m' habilla avec une autre tenue que celle d'une servante, une robe que j' avais acheté avec mes économies ainsi que des bottes en fourrure. Mes cheveux étaient coiffé avec deux petites tresses sur chaque côté de ma tête, et le reste était raide et tombait dans mon bas du dos. Je sortis dehors, les rayons du soleil piquetaient mes yeux et brûlaient mon visage.La métallurgie avaient ses portes fermé, et sentait un peu le brûlé de dehors. En ouvrant les portes, les princes se tournèrent vers moi :

<<- Bonjour, j'ai des nouvelles pour vous.

-Vraiment sont-elles bonnes?Parla Ubbe

-Pas vraiment, vos cousines sont affamé et fatigué.

-Affamé ! Hurla le prince Ivar. Comment peut-on être affamé alors qu' on leur donne à manger.

-Un bout de pain et de l' eau à chaque repas vous satisferait, prince Ivar...

Il ne répondit rien, et regarda avec ses yeux bleus le sol de paille.

...Mais, j' ai autre chose qui peut vous intéresser ;Votre père est vivant, je l' ai vu hier soir.

Chacun me regarda avec un air surprit :

-Où est-il?Demanda Ubbe.

-Je lui ai prêté mon cabanon pour y passer la nuit.Il viendra vous voir sûrement pendant la nuit.

-Notre père on l' a oublié comme il nous l' a fait. Reprit Sigurd

-Vous traitez votre père de cette façon, il vous a

peut-être oublié ou fait subir des conditions inimaginables mais c' est votre père et il vous aiment.

-Vous en s' avez quelque chose, après tout vous êtes une esclave.Parla-Ivar d' un ton violent.

-Oui je ne suis qu'une esclave, mais moi au moins j' ai un cœur. JE N' AURAIS JAMAIS DU VOUS OFFRIR MON AIDE!!!Et oui j' en sais quelque chose.>>

Ma colère envahit mon corps que je partis les larmes

aux yeux. Je passas chez moi, pour avertir Ragnar que ses fils étaient au courant qu' il était vivant. Le soir, mon cœur était rempli de chagrin. Moi, Hélène avait aidé des princes, qui me remercièrent en me traitant d' une simple esclave. Mes paroles étaient peut-être méchante mais le prince Ivar l' avait bien cherché, mais j' irais m' excuser à la fin de la semaine...

Ivar

Mon tour de garde avait fini au levé du Soleil, tous on attendait les nouvelles d' Hélène en fabricant des épées. C' est vrai que l' atelier sentait le brûlé, mais au moins on avait chaud. Quand les portes se sont ouvert, on a aperçu Hélène dans une tenue différente que d' habitude. Elle avait des mauvaises nouvelles pour nous, nos cousines était affamé et fatigué, moi je me demandais comment on pouvait être affamé, alors qu' on les nourrissait. Hélène me fit taire en me répondant. Et je regarda le sol d'un air de tristesse mais elle avait une autre nouvelle pour nous... Notre père était toujours en vie, alors là j'ai tourné ma tête vers elle. Ses yeux bleus avaient l' air sincère. Mon plus grand frère demanda où il se trouvait. Elle lui avait prêté un cabanon sur la place, pour y passer la nuit. Sigurd parla, notre père nous avait oublié donc nous aussi. Hélène semblait stupéfait de la manière que l' on traitait notre père, mais mon frère avait raison, je ne devais pas laisser passer ça car elle n' était qu' une servante et elle n' en savait rien. Elle s' énerva contre moi et regretta de nous avoir offert son aide et elle partit les larmes yeux.

Ubbe me remit en place :

<<-Ivar, tu l' as blessé tu sais ?

-Et alors, elle m' a tenue tête.

-Faut dire que personne ne te tient tête, à par mère et nous. Je crois que je vais bien m' entendre avec elle. Interrompu Sigurd.

-Elle sera morte avant que tu puisses faire quoi ce soit avec qu'elle.

-Ne sois pas trop dur avec elle, c' est difficile de servir quelqu' un comme Lagertha.>>

Je ne répondis rien, je voulais des excuses, j' en voulais pour la fin de la semaine. Personne ne tient tête au prince Ivar et surtout pas une servante.

Le soir, notre père est venu nous rendre visite. Nous n' avions rien n' à se dire, à part de parler de mère. Père disait qu'il resterait encore quelque temps avant repartir dans son village natal.Voir un vieil ami à lui, qui n' avait pas vu depuis longtemps...