CHAPITRE III

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Ivar

Le soleil venait de se levait quand mes yeux ouvrirent. J' avais encore les doigts et le corps qui tremblaient, j' avais du prendre froid dans la nuit. Mes frères avait déjà quitté le grenier que je dus les appeler pour me faire descendre. Ubbe ne tarda pas à monter, pour me mettre sur son dos et me fit descendre en bas. Sigurd et Hvitserk s' étaient mis au travail ainsi que Taurin. Ils semblaient avoir bien avancé, des épées étaient empilées sur une botte de paille. Ubbe me posa au sol avec douceur, puis Taurin me donna une veille épée a aiguisé. Les portes de l' atelier été fermé car beaucoup de monde devait passer devant la métallurgie à cause du beau temps(c' était l' occasion de circuler)et en plus c'était le jour du marché qui se situait en face de notre bâtiment. Il était presque dix heures quand la jeune fille de hier,entra dans la pièce ;on voyait à présent sa robe, puisqu' elle n' avait pas son manteau.Sa robe n' avait aucune valeur,elle devait être une servante. Elle possédait une taille fine, comme notre mère.Elle prit la parole, toujours avec sa voix innocente :

<<-Bonjour, Wido m' a demandé de repasser pour savoir à qu'elle heure passé chercher sa commande.

-Ah oui...Je vais aller voir.>>

Taurin quitta la pièce ; la jeune fille portait un panier rempli de fruits et légumes qu' elle avait sûrement acheté au marché. Ses cheveux étaient parfaitement peignés, et pas en pétard comme toutes les servantes donc je me posa des questions. Taurin en revenant dit :

<<-Wido pourra passer dans l' après-midi.

-Merci, je lui passerai le message.

Celle-ci allait partir quand elle se retourna pour dire :

-Je peux vous poser une question ?

-Je vous en prie. Répondit Taurin.

-Navrés je ne m'adressais pas à vous.Elle nous regarda et dit. Vous êtes bien les princes qui ont été banni du royaume.

Ma colère monta, je ne voulais pas qu' elle parle donc je l'a menaça :

-Et alors, tu vas le dire à Lagertha, si tu le dis je te tue.

Dis-je d'un ton violent.

-Oh, je ne souhaitais pas vous mettre en colère seigneur Ivar. 

Je ne savais pas de qu' elle façon elle connaissait mon nom, mais elle le savait :

-Comment savez-vous son nom ?Dit Ubbe.

-Je connais les vôtre aussi prince Ubbe.

-Mais comment?Répéta mon frère

-Dans les archives de votre famille, ils n' ont pas encore tous brûlaient, et j' ai trouvé un opuscule de vos parents. Voilà puis-je m' éclipser à présent ?

-Vous ne direz rien à personne?Riposta Hvitserk .

-Non, je ne veux qu' on vous fasse du mal, et qu'on vous tue comme votre mère ou qu'on vous met au cachot comme vos cousines.

La voix de Sigurd rentra dans la discussion :

-Nos cousines ne sont pas mortes !

-Non, elles sont au cachot, je vais leur apporter du pain le midi.Vous ne le saviez pas.

-Non,... pourriez-vous prendre de leur nouvelle aujourd'hui et venir nous revoir demain.

-Si je peux vous rendre service, puis-je faire autre

chose.

-Non, sa ira mais pouvons-nous savoir votre nom?Demanda Ubbe.

-Mon nom est Hélène, puis-je partir Lagertha doit s' inquiéter, j' aurais du rentrer depuis longtemps pour le déjeuner ?

-Je vous en prie partait.

-Au revoir.

Hélène s' en alla avec un sourire aux lèvres.

Celle-ci ne m' inspirait pas confiance mais Ubbe lui la croyait et comme c'était l' aîné : il décidait.


Hélène

Le soleil ne s' était pas encore levé quand Hilda  une servante me réveilla.Il fallait que je me dépêche car la reine me demandait. En enfilant ma robe et mes chaussures, je pris le temps de tresser mes cheveux et de les plaquer en chignon. Lagertha, la reine souhaitait son petit déjeuner au lit que j' alla préparer en cuisine. Rien de tel que du pain au beurre accompagné d'un verre de lait frais ainsi qu' une poignée de framboise pour se réveiller. La reine faisait très attention à sa ligne et ne mangé pas beaucoup. En lui amenant son plateau, elle m' ordonna d' aller acheter au marché des fruits et légumes puis elle me donna un sac de pièce pour payer. J' enfila mes bottes toute trouée et sortis dehors. Le marché était très vivant, on y trouvait de toute sorte de chose : du poisson, de la viande, des fruits et des légumes mais aussi du blé et des tissus. Un marchand me proposa plusieurs fruits rouges puisque c' était la saison et me proposa des fèves venant du bassin méditerranéen. Je n' avais pas oublié l' ordre du capitaine, et me rendis après dans la métallurgie qui se situait juste en face du marché. En entrant, le jeune homme handicapé aiguisait une épée près des portes qui étaient fermé. Celui-ci semblait surpris de me voir de nouveau.J' expliqua que Wido m' avait demandé de repasser pour savoir quand il pourra récupérer son achat. L' homme le plus âgé quitta encor une fois la pièce pour se rendre derrière la salle. Les quatre hommes qui restaient je savais qui ils étaient, j' avais trouvé un manuscrit où le signe de la couverture était le même que sur leur bague qu' ils portaient tous au même doigt. Le forgeron est revenu assez vite pour me dire que Wido pourra venir cette après-midi chercher sa commande. J' allais partir quand une question m'est venu en tête, je devais avoir ma réponse maintenant. Donc, je me suis retourné pour demander si je pouvais poser une question. Le métallurgiste m' accorda cette question mais je le contredit. En me tournant vers les quatre hommes, je demanda si ils étaient bien les princes qui ont été banni du royaume. Je crois avoir énerver l' un d' entre eux qui se nommait Ivar( celui handicapé) qui me menaça d' un ton violent. Je m' excusa en prononçant son nom et Ubbe le frère le plus âgé fut surpris que je connaisse son identité. J' expliqua que je mettais rendu dans les archives de leur famille et que j' avais trouvé un opuscule de leur parent car ils n' avaient pas encore tous brûlé. Je demanda ensuite l' autorisation de m' en aller mais Hvitserk insista pour que je ne dise rien à Lagertha. Bien-sûr que je ne parlerais pas, je ne souhaitais pas leur mort ou qu' on les mette au cachot comme leurs cousines. La voix de Sigurd, le prince que je n' avais pas encore entendu fut surprise de savoir que leurs cousines sont encore en vie. J' affirma que oui car j' allais leur apporter leur déjeuner du midi. Ubbe demanda que je prenne des nouvelles d' elles pour ensuite les informer de leur état, j' accepta ce service et demanda si je pouvais faire autre chose pour leur venir en aide, mais il souhaitait savoir juste mon nom. En ouvrant les portes je me sentais heureuse d' aider les anciens princes du pays, mais j' avais peur que la reine le découvre et me tue pour trahison ...      

Einn vikingr elska einn breallOù les histoires vivent. Découvrez maintenant