CHAPITRE VIII

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Hélène

Le prince Ivar avait accepté mes excuses et il m' en avait demandé. Je les accepta et tout rentra dans l' ordre. Taurin ne disait rien sur mon identité comme il me l' avait promis. Je rendais visite une fois dans la semaine aux quatre princes, pour leur donner des nouvelles d' Inge et d' Inga. Un jour, ils m'ont offert un bracelet en argent qui était magnifique.Enfaîte, je pense qu' ils ont un bon fond mais qu' ils le montrent différemment... Auparavant, je mettais assise à côté d' Ivar et je lui avais posé des questions sur ses jambes. Depuis sa naissance, ses jambes étaient paralysée, et il ne pouvait pas les contrôler. Il n' avait pas de force non plus dedans mais il arrivait à rester debout avec un appuie. Je me suis demandée pourquoi il n' avait pas de fauteuil roulant, il ne savait pas ce que c' était. Mon instinct me guida à en fabriquer un. Un fauteuil normal en rajoutant des roues sur chaque côté du siège. Ses frères l' aidèrent à monter dessus, sa semblait lui plaire, puisque là, il pouvait se déplace sans l'aide de ses confrères et il me remercia plusieurs fois en me disant qu'il me devait une dette. Un jour, il chanta un poème, pour rembourser un peu sa dette et pour voir le bon côté des choses d'après lui :

Doté d'une santé médiocre

tu es loin d'être misérable.

Certains sont riches par leur fils

certains par leur cousinage

certains de par leur richesse

d'aucuns pour leurs actions louables.

« Je le trouve très beau » , je lui ai répondu après sa récitation. Je n' avais pas l' habitude de se genre de poème en France. Je pensais que les poèmes vikings étaient de la poésie de guerre ou du malheurs mais il pouvait aussi être très doux. Ivar m' en chanta d' autre, des textes aussi magique que le premier.Un lien c'était formé entre lui et moi depuis que je lui avait offert son fauteuil, il aimait me parler de chose personnelle . Pourtant, je ne révélais rien sur mon identité car pour moi la confiance n' était pas là...

Ivar

J' avais accepté les excuses d' Hélène, et je lui en avait demandé. Elle accepta sans hésiter. Celle-ci me demanda des informations sur mes jambes, et en répondant elle me fit un remarque : pourquoi je n'avais pas de fauteuil roulant. Je ne savais pas ce que cela était... Quelques semaine plus tard, Hélène me ramena un siège avec deux roues sur chaque côté. Mes frères me portèrent pour me poser sur le drôle d' objet. Ce qui était bien, je pouvais me déplacer sans l' aide de ma famille, mais j' aimais quand je pouvais ramper au sol sans que l' on me voit. Je devais quelque chose à Hélène, donc un jour je lui chanta un poème pour « voir le bon côté des choses » :

Doté d'une santé médiocre

tu es loin d'être misérable.

Certains sont riches par leur fils

certains par leur cousinage

certains de par leur richesse

d'aucuns pour leurs actions louables.

Elle le trouva très beau. De toute façon, c' était le dieux Bragi( dieux de la poésie) qui l' avait cré. Moi, je pense que la poésie ne sert à rien, mais certaines personnes trouvent que cela peut évader avec un seul petit texte. Comme chaque prince, j' ai eu une éducation digne de ma famille que je me souviens encore de mon précepteur qui m' en avait fait baver. Depuis qu' Hélène m' a offert se fauteuil, un lien c' était formé mais j' avais plus que ça dans le cœur. A chaque fois que je l'a voyait ma poitrine se serait et se desserrait dès qu' elle partait. Je ne croyais pas que l' amour pouvait faire mal. A part qu' elle était une servante, je la trouvais gentille et d' une beauté magnifique, qu' elle devait être la fille de Freyja( déesse de l' amour) Hélène avait quelque chose de différente, elle ne me regardait pas avec pitié comme le fond les autres, mais plutôt un regard doux et compréhensif. Je l' aimais pour ce qu' elle était...   

Einn vikingr elska einn breallOù les histoires vivent. Découvrez maintenant