Ivar
La semaine avait passé, Hélène n' était toujours pas venu s' excuser. Mes frères et moi allions une fois tous les sept jours dans la forêt pour nous exercer à l' épée ou à l' arc, même à la lutte. Le chemin était long et mes frères me portaient avec un trône de bois avec quatre manche pour le soulever puisque notre père nous accompagna. Dans la forêt, il faisait sombre on ne voyait aucune lumière, comme dans un champ de bataille. En arrivant, à notre base d' entraînement, on y retrouvait des flèches plantaient dans un cerf empaillé, une autre était dans une cible, ainsi que des haches enfonçaient dans des troncs d'arbres. Mes proches me posèrent à terre, et mon père me mit sur son épaule, pour me poser sur un tronc sur mesure qu' ils avaient coupé pour moi. Sigurd et Hvitserk se mirent à se battre à l' épée tendit que moi et Ubbe prit un arc et une flèche dans la carquois posait au sol. Mon plus grand frère commença à attirer ses bras, jusqu' à son maximum, et me regarda en lâchant le fil de l' arc. La flèche a atterri entre les deux yeux du cerf, je fis les mêmes mouvement que lui, et la flèche se situât sous l'œil droit de l' animal... Mes deux autres frères, se battaient avec violence mais sans se blesser. Pendant ce temps, je pris un javelot, à proximité de moi pour le positionner dans mon arc et je visa mon frère Sigurd. On ne s'entendait pas trop, qu' il nous arrivait souvent de sa battre, il gagnait toujours car il était debout et moi au sol. En lâchant, le javelot passa au milieu de mes deux frères pour atterrir sur un tronc d' arbre. Hvitserk s' avança pour se battre avec moi, Ubbe me donna une épée et le combat commença. Mon frère commença par lancer un coup que je réceptionna, pour lui en donner un autre. Les coups étaient violents, on entendait le bruit assourdissant des lames de nos épées à chaque coup mais à la fin nos épées se retrouvèrent sur chacune de nos épaules. Hvitserk fit un sourire, que je lui rendit. On resta une petite heure avant de rentrer à l' atelier de métallurgie, sur le chemin on s' arrêta à une rivière, où l'on a bue l'eau qui était fraîche et oùnous avons prit un petit bain. Avant de partir, ils me mirent sur mon trône de bois et nous sommes partit vers le village...
Hélène
La semaine avait passé, je voulais aller m' excuser au près du prince Ivar. La reine m' autorisa à quitter le château pendant vingt minutes mais pas plus. Les nuages couvraient le Soleil, donc il faisait gris dehors. Pourtant les portes de la cabane de forgeron étaient ouverte par ce temps. Personne n' était là, à par Taurin qui se tourna vers moi :
<<- Bonjour, le seigneur Ivar est-il là ?
-Non, mais je peux lui passer un message.
-Je veux bien, dite-lui que je regrette mes paroles, mais que je souhaite des excuses moi aussi.
-C' est tout ?
-Oui, enfin je crois.
-D'accord, OH Hélène, quand vous avez dit que vous sachiez ce que c'était d' avoir un père qui est seigneur. Puis-je en savoir un peu plus ?
-Alors sa reste entre nous, vous ne devez le dire à personne.
-Bien entendue.
-Mon père est Charlemagne, et il était gravement malade et il désirait que mes sœurs et moi nous nous consacrions à notre mariage, pour être sur que l' on soit entre de bonne main après sa mort. Chaque homme que ma belle-mère me présentait, me déplaisais. Donc je me suis en fuite, en prenant un bateau, et je suis arrivée à vos frontières où je me suis faite prisonnière.
-Vous êtes chrétienne !
-Non, je ne crois pas en dieu, pas au mien en tout cap.
-Pourquoi ?
-Un jour, l' une de mes amis était aussi gravement malade. J' ai prié pendant longtemps, sans résultat.
-Elle est morte.
-Oui, depuis je ne me suis pas adresser au dieu.
-Je comprends, mais Charlemagne n' a pas de fille au nom d' Hélène.
-J' ai changé mon identité, je ne me nomme pas Hélène mais Alpaida la dernière fille de Charlemagne, je ne suis pas très connu mon père a caché mon existence. Voilà puis-je partir la reine va s' impatienter ?
-Bien-sûr, ne vous en faîte pas princesse les secrets seront bien gardés avec moi.>>
Je rigola, avec un rire que je n' avais pas eu depuis longtemps, se rire me rappela des souvenirs, des souvenirs lointain...
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Einn vikingr elska einn breall
Historical FictionMon nom est Ivar, l'ancienne femme de mon père, a tué ma mère et mes cousines et nous a bannis du royaume pendant que nous étions encore en guerre pour récupérer son trône... Mon nom est Hélène , Lagertha , la femme la plus ignoble du pays a tué l'a...