CHAPITRE XI

583 24 0
                                    

Ivar

Le lendemain, les gardes cherchaient nos cousines dans chaque maison. Elles étaient cachées dans le grenier d' Hélène qui n' était pas visible du rez-de-chaussé. Wido et quelques soldats visitèrent  l'atelier, heureusement que nous étions aussi caché dans le grenier du bâtiment. On entendait le capitaine dire de chercher partout dans notre lieu de travail. Au bout d'un moment, Taurin est venu nous chercher. Ils avaient tous visité sans penser à chercher en haut de l' atelier. Les gardes de la famille royale avaient fouiller toutes les maisons. Nous étions en sécurité à présent, rien ne me sépara plus de toute ma famille à part ma mère qui n' était plus de ce monde sauf si on priait les dieux pour la ramener. Maintenant, il fallait espérer qu' Hélène soit en sûreté et que l'on ne lui avait pas cré de problème.

Hélène

Le lendemain l' une des servants fut surprise de ne pas voir les princesses dans leur cellule qu' elle avertit Wido qui lança les recherches. Comme je l' avais prédit le garde que l' on avait croisé hier, me dénonça à mes maîtres. Wido m' amena devant la reine et le seigneur et m' agenouilla au sol. Lagertha prit la parole :

« -Cette hommes m' a dit qu' il vous a vue avec deux jeunes filles hier, es-ce que c'est vrai.

-Oui madame.

-Qui étaient-elles ?

-Mes nièces.

-Vos nièces, vous m' avez dit qu' elles vivaient en France.

-C' est exacte, mais elles voyageaient en compagnie de leur père et elles se sont arrêtées en Norvège.

-J' aimerais voir vos nièces si c' est possible.

-Malheureusement, elles sont parties tôt ce matin mais je vous assure que jamais je n' aurais utiliser votre confiance pour faire évader les deux comtesses et s' est sûrement une coïncidence que les princesses se soit évadé dans la même soirée, maîtres je vous assure que je n' ai commis aucun crime.

-Je vous crois, ma chère. Vous, vous m' avait donner de fausse accusation, vous serez pendu cette après-midi sur la place.

Deux gardes attrapèrent cet homme et partirent en direction des portes de la grande salle :

-NON écoutait-moi votre majest....On lui mit un bandeau sur la bouche et les yeux.

Je devais réagir, cet homme allait mourir par ma faute :

-Madame arrêtait il n'a rien fait de mal.

-Hélène, il vous à accusait.

-Oui, mais il ne voulait que trouver le coupable, il n' y avait pas de mauvaise attention. Lagertha réfléchit et cria aux gardes de revenir avec le soldat qui se débattait dans tous les sens. L' un des gardes enleva le foulard autour de et se positionna à côté de lui parallèle à son collègue :

-Nous avons future avocate à nos côté même si elle n' est pas une clerc. Comme Hélène a eu la gentillesse de vous défendre, j' ai décidé de vous bannir de l'archipel, acceptez-vous ma requête.

-Oui, votre majesté.

-Bien à la fin de la semaine, je ne veux plus vous voir.>>

L'homme quitta la salle du trône et moi par la même occasion sortit aussi pour aller à la cuisine


Einn vikingr elska einn breallOù les histoires vivent. Découvrez maintenant