Einn vikingr elska einn breall

CHAPITRE XXII

Hélène

Nous allions faire une quête et un notre pillage en Angleterre, les navires furent rempli de vivre et de fourrure pour nous tenir chaud. Un jour de printemps, je ne me suis pas mise en robe, mais dans une tenue de guerre. Les esclaves médirent à faire ma coiffure, une coupe qui ne me gênera pas pendant la bataille. Quand les navires furent près à prendre la mer, c' était l' heure de partir. Mes parents adoptifs m' attendaient sur le pont pour me faire des adieux, avec Edda en leur compagnie. Je monta à bord d' un des navires accompagné de Porrun et de Björn. J' allais découvrir un autre pays, un autre paysage... Le voyage dura environs trois jours, nous avions eu quelque imprévu comme une tempête lançait par Thor. Quand nous avons vu une terre, nous avons fait la fête à peine arrivé. On déchargea les bateaux et on installèrent des tentes. Grâce aux alliances, nous avions gagné beaucoup d' homme. Tous les chefs des clans, se regroupèrent autour d'un feu, malheureusement Porrun et moi n' avions pas le droit de se joindre à eux. Ils abolirent un plan de bataille, nous devions entendre le son des cloches des églises avant d' attaquer, d' après les expédition de Ragnar, les plus grand trésors étaient dans les églises, et il avait raison. Les chrétiens mettaient des objet de valeur dans les églises car c' était pour l' offrir au leur dieu et au saint. Quand les cloches du clocher ont sonné,nous avons traversé une forêt sombre avant d' arriver devant un petit village. Des soldats de notre armé ont défoncé la porte d' entrée qui était constitué de tronc d' arbre donc de bois. Nous sommes entré, en silence écoutant tous les bruits qui nous entouraient. Un son peu clair, résonnait dans un bâtiment, j' ai reconnu les textes des prières des chrétiens. Björn demanda qu' on ouvre les portes, ce que l' on a fait. Tous les gens surcotèrent et reculèrent au fond de la pièce, toute les dames derrière leur mari, en collant leur enfant contre eux. Björn avait appris à parler un peu dans mon ancienne langue... Même moi, j' avais beaucoup voyager et j' avais appris plusieurs langages dont celui des vikings... Björn précisa qu' on ne leur fera pas de mal sauf si ils s' interposaient à nous. Un homme, le plus fou de tous, commença à donner un coup de poing à l' un de nos soldats mais celui-ci ne sentit rien. Il prit alors sa hache et l' en fonça dans sa poitrine. L' homme tomba au sol et y laissa une tache de sang. On commença a récupérer tous les objets de valeur, tous les objets en or et en argent, et de temps en temps on trouvait des diamants. Quand quelqu' un essaya de prendre la croix en or posait sur la table où était posé le vin et le pain du Christ, mais le prêtre s' interposa. Il reçu une flèche en plein cœur, et un homme voulut lui trancher la gorge mais Björn l' interpella :

<<-Non, laisse faire Hélène.>>

Tous le monde me regarda, et l' un d' entre eux me tendit un couteau. Je m' approcha du prêtre qui était allongé au sol et qui leva la tête quand je m' approcha de lui et il tendit son bras vers moi en disant tout bas :

<<-Al...pai ...da .>>

Il me connaissait, mais pas moi, je chercha un instant qui il était et je me suis souvenue qu' il était le prêtre de l' église du château de mon père et qu' il m' avait appris à être une bonne chrétienne. Si je le laissais en vie, Björn serait que je suis une traître, alors je lui ai tranché la gorge. Le sang qui coulait a été mis dans un bol où nous y avons trompé nos doigts pour les mettre sur notre visage. J' ai mis mes doigts sur mes deux joues qui était devenu encore plus rouge qued ' habitude. Nous sommes sortis du village avec nos trésors, mais sans le savoir nous voyons de la fumée au loin c' était des cavaliers qui venaient par ici. Ils arrivaient trop vite, donc nous nous sommes repliaient dans un mur de bouclier car ils nous auraient vu nous enfuir. Seul ceux qui portaient un butin se sont réfugiaient dans les bois pour retrouver nos navires. Quand ils sont arrivés à notre porté, ils n' ont pas cherché à communiquer avec nous. Ils nous lançaient des flèches, qui ne nous atteignaient pas, qui se plantaient sur nos boucliers. Quand ils furent proche de nous, nous avons commencé à les attaquer. Le mur de bouclier c' est défait, nous avons commencé par tuer les chevaux pour que nos ennemis se battent à terre comme nous. Quand ils furent tous au sol, on s' avança en groupe vers eux, j' avais un peu peur de la mort mais je ne devais pas penser à ça. Je commença à me battre avec un soldat d' environ quarante ans qui possédait une cicatrice sur le visage, il lança un coup circulaire assez violent que j' esquiva en me baissant et j' en profita pour lui couper un pied. Celui-ci tomba au sol et j' enfonça mon épée dans son cœur. A peine j' étais relever, qu' un n' autre homme m' attaqua, sans s'en rendre contre il baissa sa garde et laissa sa poitrine à l' air libre où je plongea mon arme. En me mettant enfin debout, je vis Porrun qui se débrouillait assez bien. Je sentais aussi le sang coulait sur mon visage, du sang froid. Je me battais avec aucune pitié, nos ennemis étaient de moins en moins mais nous perdions nous aussi quelque homme. En me battant quelqu' un m' agrippa le poignet. C' était l'un de mes frères ; Drogon. Que faisait-il ici :