CHAPITRE XIX

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Ivar

Hélène était rentrée du temple d' Uppsala, et celle-ci ne semblait pas traumatisé de ce qu' elle avait vu. Pourtant dans mes souvenirs, le sang coulait beaucoup... Un jour de pluie, on vit des navires arrivait par la mer au loin qui ne semblait pas être viking. Tous les villageois se sont dépêché de rentrer dans leur maison. Hélène sortit du château, et alla sur le pont. Quand les bateaux arrivèrent, un jeune homme d' environ trente ans sortit d' un des navire. Il salua Hélène, se qui était bizarre si il s' agissait d'un envahisseur. Je ne sais pas pourquoi mais j' avais l'impression qu'il se connaissait et qu' Hélène semblait en colère, après lui, malheureusement je n' entendais pas ce qu' ils disaient. Au bout d' un moment, Hélène commença a repartir vers le château et cet étranger lui dit alors qu' elle que chose qui a du la vexé car elle se retourna en lui donnant un coup de poing en plaine figure et celui-ci tomba au sol...Il se releva avant de remonter dans son navire et de reprendre la mer, pour moi c'était de nouveaux ennemis...

Hélène

Un jour de pluie, après notre retour du temple d'Uppsala, on vit des navires s' approcher de notre port. De loin j' ai reconnu la voile de ses bateaux :

<<- Mère, laissait moi leur parler.

-Hors de question! Il pourrait t' arriver malheur.

-Il n' attaquerai jamais une femme.

-Je ne peux pas vous laisser...

-Je serai sur mes gardes c' est promis.

-D' accord mais prend ceci.>>

Lagertha me tendit un poignard, que je mis sous ma robe. Les habitants allait se mettre à l' abri tendis que moi je me mettais en danger ou pas. Je me plaça sur le pont attendant les bateaux. Lagertha me regardait par une fenêtre d' un air inquiet. Quand un homme sortit d' un navire je l'ai reconnu :

<<-Louis que vient tu faire ici ?

-Alpaida(véritable nom d' Hélène), nous te cherchions bien-sûr. Il me salua en se baissant devant moi. Père est très inquiet à ton sujet je suis sûr que en te ramenant à la maison, il m' offrira son trône.

-Je n' ai pas de maison et père ne t' offrira jamais son titre pour moi.

-Alpaida, je ne te reconnais pas.

-Moi non plus je ne me reconnais plus mais c'est mieux ainsi.

- Pourquoi es-tu partit ?

-Si tu étais une femme, tu comprendrais.

-Tu n' es pas vraiment une femme au fond de toi.

-Le mariage forcée est pour toute les femmes qu' elle soit une guerrière ou une dame de cour.

-Si tu aurais demandé à Jésus, il t' aurait sûrement...

-NE ME PARLE PAS DE JÉSUS, IL N' A AUCUNE PITIÉ, MAIS DEUX MEILLEURES AMIES SONT MORTES QU' A-T-IL FAIT LUI ?

-Rien mais, il ne peut pas sauver tous le monde.

-Avec Odin et ses frères notre avenir est toute tracé, ils connaissent notre avenir quand on mourra et seul les voyants peuvent nous dire...

-Odin, n' existe pas Seul Jésus et son père, dieux existe lui.

-Vraiment, pourtant quand j' étais saoul, je suis tombé à terre et ma sœur Edda m'a aidé à me relever et je lui ai dit de ne pas me lâcher sinon j' allais tombé à nouveau et elle m'a répondu que non, les dieux allaient me garder debout et elle disait vrai.

-Ce n' était qu' un coup de chance.

-NON!!!ODIN EXISTE !!!

-Aller viens rentrons à la maison.

-Je n' irais nul part, c' est ici ma maison.

-Alors je reviendrais avec quelqu' un et tu ne pourras pas lui tenir tête.

-J' ai changé Louis, je sais résister à père.

-Je ne parle pas de lui.

-Partez, avant que je ne déclare une guerre.

Je commença à repartir, quand soudain :

-De toute façon tu n' a jamais eu ta place dans la famille.

Cette phrase, simplement cette phrase me mit en colère que je me retourna et donna un coup de poing à mon demi-frère :

-Tu n' as pas perdu ton poing en tout cap.

-Part, avant que je ne te tue.>>

Il se leva quelque instant après, et remonta à bord de son navire pour repartir sur l' eau. Moi... Moi je suis rentrée, en disant qu'ils allaient revenir...Peut-être dans quelques mois ou dans un ans, je n'en savais rien.           

Einn vikingr elska einn breallOù les histoires vivent. Découvrez maintenant