{Réécriture} Les connexions.

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Plusieurs années plus tard.

Chaque jour était censé être une nouvelle aventure, c'était ce que me disait mon père la dernière fois que je l'avais vu avant qu'il ne décède mystérieusement. Bien que je n'étais pas très proche avec lui, les moments que j'avais pu avoir avec ce dernier sont restés dans ma mémoire. Il y avait des choses qui, à l'époque, étaient incompréhensibles pour mon jeune âge.

Néanmoins, maintenant que les années ont passé, il y a certaines notions qui se sont éclairées, mais la plupart restent toujours une énigme. Tout ce que je pouvais faire était de les noter dans un carnet qui me suit partout dans mes déplacements.

Tu comprendras tout au moment opportun...

J'avais également oublié que mon cerveau est devenu fou puisque je suis capable d'entendre des voix que personne d'autre ne peut entendre. Cinq voix qui communiquent avec moi sont la marque qui me distingue des autres personnes de la planète, et il n'y a pas un jour qui passe sans que quelque chose de paranormal se produise : vision, hallucination sonore, sensation d'être dans un autre monde, etc.

Chaque jour n'était qu'une souffrance, un martyre à cause de ces cinq voix, parlant de choses incompréhensibles. Je n'ai rien dit à ma mère, car elle m'aurait emmené à l'hôpital et les médecins auraient déclaré que j'étais schizophrène. Pourtant, je suis sainte d'esprit, mais ce n'est pas le même avis des personnes extérieures.

C'est pour cela que je n'aime pas aller me socialiser lorsque je suis en cours, j'ai toujours eu sensation d'être étrangère. Sans oublier qu'une femme qui a un aspect divin malgré son apparence humaine qui apparaît dans mes rêves. Dès que je m'endors, elle apparaît immédiatement me disant que j'étais la bonne, que j'étais l'élue. J'ignore de quoi elle parle et personne ne peut m'aider, je suis livrée à moi-même.

Je venais d'arriver à l'université, cet établissement était très réputé dans le pays et il pouvait accueillir beaucoup d'étrangers que la majorité des étudiants était justement des personnes venues des quatre coins du monde. Seule l'élite japonaise avait le droit d'étudier dans cette université.

J'étudiais la langue française ainsi que sa civilisation, en passant sur des cours de littérature, d'histoire et évidemment, il y a quelques Français qui sont présents à certains de ses cours, mais la plupart était des anglophones, soit des Américains, soit des Anglais, ce que je ne comprenais point l'utilité de venir au Japon pour étudier une autre langue que le japonais.

Cependant, la musique a toujours été la raison de mon orientation, une mère qui est musicienne professionnelle avec un instrument qui est très demandé, c'est un exploit. Elle m'avait enseigné le piano pour que je développe des goûts musicaux et elle a très bien réussi. Je suivais aussi des cours de composition, mais aujourd'hui, je n'avais que des cours sur mon cursus de langue.

Je rentrais dans l'amphithéâtre presque désert, puis je me plaçais au milieu de la rangée du milieu, puis j'ouvris mon livre, sur lequel nous étions en train d'étudier. Je mettais mes écouteurs pour écouter de la musique pour sortir de ce monde pour rentrer dans le mien. Le meilleur monde était toujours le sien, on pouvait le façonner comme on le voulait, crée des choses qui n'existe pas ou même de laisser les secrets pour être sûr que personne ne puisse les trouver. J'étais tranquille jusqu'à qu'une fille ne m'interrompe en me tapant assez fort sur l'épaule.

– Hey ! Chintok ! Tu bloques le passage !

Je venais de retirer mes écouteurs et je venais d'entendre sa déclaration. J'observais qui était donc ces personnes qui avaient ce manque d'amabilité et évidemment, il s'agissait bien d'elles. Je me demande si ce n'est pas l'amabilité qui les a fuis ou leur pot de peinture qui les ont étouffées.

Plongée dans un monde fantastique et fictif ?! [Final Fantasy XV]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant