Les rêves d'une vie

Illuminé

Warning : Ce poème n'a absolument aucun sens !

A travers ces bois lumineux,  tu t'es perdu. Tu croyais que le temps illuminerait ton chemin, le rendant peu ardu. Mais tu t'es fourvoyé , rends toi à cette évidence.  Ton chemin est tellement trouble que tu te trompes de cadence. Tu cours pour échapper à toi-même. Peux-tu échapper à toi-même ? Tu ne sais pas, tu essaies de te perdre. Perdre simplement tes repères, ton ancrage et ton partenaire. Perdre ta peur, ta tristesse, ton aigreur, ton malheur, ta douleur, ta rancoeur. Perdre ta folie, tes envies, ta mélancolie, ta nostalgie, ton mépris, tes soucis et peut-être ta vie ? Te plonger dans la Mort pour pouvoir effacer tes remords ? Maais rien ne t'assures que cela soit vrai. Est-ce ce qui t'effraie ? As-tu peur de ton ombre ? Pourquoi es-tu si sombre ? Tu sèches tes larmes qui coulent par honte mais ton coeur saigne. Et dans ton esprit, la confusion comme son règne. Trop de chemins s'offrent à toi. Tu ne sais lequel prendre. Tu n'es qu'une frêle âme aux abois. Ta vie, qui va te la rendre ? Ce trésor sublime que tu as délaissé, dans la passion tu t'abimes, ce n'est plus un secret. Pour quiconque te connaît. Alors, tes armes se brisent, tu recommences tes méfaits. Tu sens cette brise légère, tu fermes les yeux, tu sais que tu peux aller où tu veux. Tu laisses alors tes pas te guider vers ton âme soeur. Tu ne sais pas si c'est possible , c'est peut-être une erreur. Forfaiture qui broie et fait voler en éclat chaque parcelle de ce qu'il  y a en toi. Révélation salvatrice qui te sauve des abysses et te rend meilleur que toi. Le ying rencontre le yang. Mais que faire quand il réside dans une même âme, un même voyageur, un même errant, un même vagabond ? Doit-il se trouver un compagnon ?  Doit-il en trouver un alors que la solitude est son amie ? Qu'elle le berce à ses heures perdues et lui murmure une douce symphonie ? Quand elle seule trouble son âme, s'il la remplace, il se damne.  Cette personne disparaît sans laisser de traces. Un  ange passe. Je ne l'ai pas vu. Quelqu'un peut-il t'aider ? Non, car tu es trop têtu..Et si cela pouvait t'élever ? Tu t'en moques, il ne réglera pas mon malheur, il ne sèchera pas mes pleurs. Qui est-il ? Un rêve, un songe, un mirage, un miracle.  Il est quelque chose de lointain, merveilleux oracle. Mais tu ne peux le nommer, si tu le fais, il existe. Et s'il existe sans être là, cela me brisera.  Tu reprends donc ta contemplation, tu retournes dans ton univers.  Cela ne dure parfois que quelques secondes mais cela te libère. Alors tu erres entre le sombre et la lumière, le clair et l'obscurité, le vil et la sainteté. Comme une balance dont les côtés sont égaux, tu avances entre deux parrallèles eaux. Là où tout te divertit, là où tout te sourit, tu sens que s'agggrandit ta blessure. Comme si elle invitait  d'autres inconnus pour me délabrer au fur et à mesure. Elle se délecte de te voir faible, amorphe. De mon côté je me lasse de cette lutte comme cette chimère métamorphe.  Tout le monde sait qui vainct. Ce combat est donc vain. Le crépuscule tombe enfin. Et la mort me recouvre et fait le plein. Elle se remplit de ma vitalité. Ce dont j'ignorais l'existence. Elle se repait de mes atrocités. Et je frôle l'excellence. A l'orée de ces mêmes bois, l'aube vient en éliminer ces grands arbres, illustres comme autrefois. nEt dans ce recoin abandonné, git mon cadavre esseulé. Lambeaux de chair que personne ne vient ramasser. Jusqu'à ce que tu m'enroules dans ce linceul fleuri. Puis ensuite tu meurs et alors que les larmes inondent ton visage, le monde rit.

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Hello voici mon premier poème en prose. J'espère qu'il vous aura plu même s'il n'a aucun sens.
C'EST LES VACANCEEEEEEEEES !!!!!!!!!!
Profitez en les amis !