Chapitre 25

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Ma mère m'avait épuisée ! Je lui avais raconter en au moins six fois ce qui c'était passé. Mais elle voulait toujours savoir encore plus ! Elle me demandais le moindre détail ! J'avais fini par monter me coucher. A mon réveil j'avais trouvé près de moi une note qui disait : " quand je vais raconter tout ça à ton père ! " Je m'étais frappé le front du creux de la main. Je m'etitais avant de partir prendre ma douche. 
Une fois préparer et habillait je descendis les marches des escaliers pour sortir de la maison. Après avoir donné a manger au deux minous. Je marchais sur le trottoir, il y avait plus de monde que d'habitude. Je me sentais bien, mais je ressentais comme une sorte de craintes. Sourd, mais bien là. Comment quand vous avez les oreilles qui sifflent. Ça vous de empêche pas de faire votre travailler, mais sa vous gêne. C'était la même chose. Je tentais de me débarrasser de cette sensation mais rien à faire. 
Alors que je marchais, la sensation devient plus grande. Quelqu'un m'observait. Je m'arrêtais en me retournant, cherchant d'où ces regards venait et à qui il appartenait. Mais rien. Je continuais de marcher avec toujours cette sensation. Je soupirais avant de me retourner de nouveau. Là ça commençais vraiment à me taper sur les nerfs. Mais, nouvelle échec. J'avais beau chercher dans tous les sens rien. Il y avait les passants mais aucun d'un ne me regardait directement. 
Je continuais ma route. Au bout de quelques instants on ne m'observait plus. Je secouais la tête, me demandant qui pouvait bien me traqué comme un animal. Je passais les portes du lycée, laissant derrière moi cette étrange personnes au regard perçant.

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- Bien, aujourd'hui nous commençons les cours sur la guerre froide. Lança Monsieur Gray.
Je me trouvais au fond de la salle, regardant par la fenêtre. Je voyais les oiseaux volé entre les branches des grands arbres. J'avais envie de courir, de volé même. Et pas d'être assises dans une salle de classe. Je n'avais rien contre Monsieur Gray mais, là tout de suite j'avais envie de liberté. 
- Mademoiselle Catersson ? Vous m'écouter ? Interpella Monsieur Gray.
- Humm... Désolée Monsieur, non, je n'étais pas écouté... Dis-je d'une petite voix.
- J'avais remarqué celà. Vous feriez mieux de faire attention à se que vous faites mademoiselle Catersson. 
Il se retourna et recommença son cours. Je restais bouche bée. C'était la première fois qu'il disait se genre de chose. Et, qu'est-ce que j'ai fait ? Enfin, apart ne pas suivre son cours. Il n'avait pas l'air de bonne humeur.
Marie se pencha vers moi et dit : 
- Whaou ! Tu lui a fait quoi ? J'avais l'impression que c'était pas un simple reproches ça ! T'as oublié de lui rendre un copie ? 
- Très drôle, mais non, je sais pas. Il ne doit pas être très bien. Où j'ai dû faire quelque chose qui ne lui a pas plus.
- C'est vrai que je serai vexer aussi si une de mes élèves bailliais au corneille pendant mon cours.
- Ouaip...
Tout le reste du cour, je m'attelais à suivre le cours et a prendre des notes. De temps à autre Monsieur Gray jetais un regard sur moi avant de continuer son couteau. Il se tenait bizarrement, il tenait son poignet avec l'autre mais, comme s'il s'était fait mal. 
À la sortie du cours, je fus l'une des premières à sortir, juste avant que Monsieur ne me rappelle. Je grinçais des dents.
- Félixia, j'ai parlé avec Jeffrey et il ma dit que c'était vous qui avez compris que Amélia était la coupable. Donc, vous m'avez mentis la dernière fois.
- Non, pas vraiment Monsieur, je ne savais pas si c'était une bonne idée de vous le dire... Répondis-je.
- Ah, oui ! Car, j'étais sur la liste de coupable. Déclara-t-il.
Jeffrey avait dû lui en parler. Il devait penser que c'était bien de s'excuser au près d'eux pour les avoir suspectés.
- Plus ou moins, oui. 
- Ne vous en faites pas. Je ne vous en veux pas pour ça.
Il me regardait pendant quelques instants. Je finis par me dirigeais hors de la salle. Il ne m'en veux pas pour ça ? Bein, c'était quoi qu'il ma fait tout à l'heure ! Pff. Je secouais la tête avant de continuer ma route vers mon prochain cour.

                                    
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À deux heures, mon professeur des svt, n'étant pas là, j'avais une heure de libre. Alors, pour passer le temps, je déambulais dans les couloirs silencieux. Mais, on pouvait de temps à autre, quand on passait devant une salle, entendre un professeur faire son cour. Je faisais le moins de bruit possible, normalement quand nous n'avions pas cours, nous devions resté au niveau de l'entrée du lycée pour ne pas déranger les autres cours. Si les surveillants m'attrapaient, je serait bien embêtée. Je marchais donc à pas de lynx. Au détour d'un couloir sombre, je pris la direction de la vieille bibliothèque. Le lycée l'avais fermé car avec de nouvelles commandes de livres, il avait fini par être trop petit. Je passais devant en regardant par la fenêtre quand la porte s'ouvrit. Je poussais un cri de surprise, mais quelqu'un plaqua sa main sur ma bouche avant de me tirer par le bras. 
- Pas là peine de crié ! Lança Issac. Tu vas nous faire repérer par les surveillants !
Je lui attrapais le col avant de lui dire venimeuse : 
- Crétin ! Je suis pas sensé savoir que tu étais là ! Et puis normalement cette salle est toujours fermé ! Espèce de crétin stupide ! 
- Désolé. Mais, je dois avouer que c'était plutôt tentant de te faire peur. Dit-il en passant une main dans ses cheveux blonds. 
- Crétin ! 
Je regardais la pièce. Il n'y avait plus rien. Une grande pièce vide. Seulement la poussière était encore la. On voyait le contour des anciennes étagères. La pièce était resté tellement longtemps fermé qu'elle avait conservé l'odeur de vieux papiers. Je me mis à faire le tour de la pièce. 
- Comment tu as ouvert la salle ? Et ne répond pas un truc à la con comme : " il y a un passage secret ! " Ou sinon je te tue. 
- D'accord, d'accord. La porte, elle est toujours ouverte. 
- Hein ? Mais j'ai déjà essayé de l'ouvrir et j'ai pas réussi ! M'excalmais-je.
- Normal, elle a un petit jeu. Il faut non seulement  que tu pousse la porte mais il faut que tu donnes un coup de pied en bas à droite. Et magie, elle s'ouvre. Dit-il.
- Oh ! Ok je n'y aurais jamais pensé. En même temps, pour moi c'était logique de dire que les responsables du lycée l'avait fermé. 
- On dirais que non. Mais, tu as dit que tu me tuerais. Je dois admettre que ça me surprend. C'est en contradiction avec le baiser que tu ma donné l'autre jour. 
Il se rapprocha de moi. Je lui souris avant de dire : 
- J'ai toujours pas dit "oui". Et de toute manière, C'étais juste pour m'excuser de d'avoir mit à la porte. 
- J'ai bien la manière dont tu t'excuser ! Tu veux pas recommencer ? 
Je sentais le rouge me monter aux joues. Je le regardais droit dans les yeux. Ses yeux bruns brillaient de malice.
- En quoi devrais-je m'excuser ? 
- Tu as quand même menacé de me tué, tu as eu des préjudice à mon sujet. 
Il me regarda avec des yeux de chien battu. Je souris avant de lui déposer un bisou sur la joue. En faisant ça mon cœur battait la chamade. Je m'éloignais avant de dire :
- Mais, je te signale que c'est toi qui ma fait peur ! Donc, c'est plutôt à toi te t'excuser ! Lançais-je.
Il me regarda et souris, ce n'était que après que je compris que j'avais fait une bêtise. 
- Si tu y tiens. Mais moi je m'excuse mieux que ça.
Il se pencha et déposa ses lèvres sur les miennes. Je voulais me degageais, mais il me retient, glissant sa main contre mon bas de dos. 
Je savourais quelques instants se doux baiser. Il déposa en suite son front contre le mien. 
- Tu veux que je me fasse pardonner de nouveau ? Dit-il dans un murmure. 
- Je sais pas, tu as quoi à te faire pardonner ? 
- Plein de choses, j'en ais bien peur. Susurra-t-il à mon oreille. 
- Comme ? Répliquais-je. 
- Le fait de t'avoir traité de "queue de lapin" pendant plusieurs années, juste parce-que j'étais incapable de gérer mes sentiments.
- C'est une raison valable. Rajoutais-je. 
Il m'embrassa de nouveau. Puis il me prit dans ses bras en disant : 
- Dis donc, tu as du courage d'un coup de me dire ce genre de chose ! Sa veut peut-être dire que c'est devenu un "oui" ? 
Je me décalais de lui, avant de lui pincer le nez. 
- Mmm... Oui ! 
J'allais sortir de la salle, quand il me tira de nouveau vers lui. 
- Très bien, dans se cas, je peux me permettre de faire mieux.
Il m'embrassa de nouveau, mais cette fois, c'étais différents. Son baiser était plus brûlant, plus fougueux. Il avait moins de retenus. Je sentais mon corps devenir léger comme l'air. Il me lâcha avant de m'embrasser sur le front. 
- Maintenant, tu peux partir. Dit Issac. 
- Comme si j'avais besoin de ton autorisation ! 
Je passais la porte le cœur battait à un rythme effréné, les joues en feu, mais tout simplement heureuse. Madame Blenk avait raison. C'était plutôt agréable d'être amoureuse. 

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