Chapitre 28

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Celà faisais une semaine que j'étais à l'hôpital, et constatant que j'allais beaucoup mieux, les médecins m'avait autorisée à sortir. J'étais contente, je pouvais enfin rentrée chez moi. Ma mère me ramena à la maison en voiture. Je passais la porte et poussant un soupir d'aise. L'odeur de poussière m'avait manquer. Je vis sur le canapé mes deux mimous.
Je m'assis sur le canapé avec une petite grimace de douleur. Bandit se réveilla et ni une ni deux, je jeta sur moi pour me faire des câlins. Il ronronnait tellement fort, que je n'entendis même pas ma mère. Mimi, plus réserver, s'approcha délicatement et s'endormit à côté de moi. J'étais fatiguée alors me le laisser aller dans le bras de Morphée pour un sommeil, mais à la maison cette fois ci.

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Je devais aller à l'école se matin. Mes mon côté me faisait encore mal, mais je devais aller en cours. L'année était presque terminé et j'avais déjà manquer, ou bâché plein de jour de cours. Je ne pouvais pas me permettre de manquer plus. Arrivée à l'école, plusieurs élèves de ma classe virent me parler pour me demander comment j'allais, et comment ça c'était passé.
Le bruit de ma soit disant attaque par un voleur courait dans le lycée. Les professeurs furent plus délicat en me demandant seulement comment je me portait. Enfin, tout les professeurs mise à par Monsieur Pupelier qui m'a reproché de ne pas avoir rendu un travail maison. 
J'avais soupiré avant de partir m'asseoir. Après celà, je fus convoqué parle directeur pour parler du "choc" qu'a dû entraînés mon agression. Et il m'avait demandé si j'avais besoin de voir la psychologue du lycée. J'avais gentiment refuser. Je pense que la psychologie aurait besoin d'une psychologue à son tour si je lui parlais de ce qui c'était vraiment passé. J'étais donc sortir après leur avoir assuré que je me portait très bien. 

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Je suivis les cours de la semaine paisiblement, me reposant le plus possible. Les cours était beaucoup plus détendu depuis que les conseils de classe avait commencé. J'étais également calme et détendue. Je n'avais plus rien à craindre plus aucune contraintes. Juste profiter.  Au détour d'un couloir je tombais sur Issac. Je lui souris avant de m'approcher : 
- Coucou le tigre alors ça va ? Dis-je.
- Plutôt, et toi mon amour.
Je fronçais les sourcils en le regardant. " Mon amour" Ça sonnait assez étrange. Il me regarda puis me déposa un bisous dans le cou.
- Quoi, tu n'aimes pas ? Tu préfèrerais que je t'appelle autrement ? Demanda-t-il. 
- Euh... Non ça ma surpris sur le coup, c'est tout. 
- Ah, d'accord. Mais il faudra t'y habitué, car je vais t'appeler comme ça appartir de maintenant. 
- Waouh ! Et je peux savoir en quel honneur ? 
- Mmm... Disons que je veux formaliser les choses. Sa te dirais de sortir avec moi ? 
Je souris, c'est vrai que nous n'avions pas vraiment déclaré officiellement que nous étions ensemble. 
- Euhmm... Il faut que je réfléchis à ça, c'est plein de contraintes de sortir avec un tigre. Dis-je pour le taquiner. 
Il haussa un sourcil et se pencha pour m'embrasser sur les levres. Ses lèvres avait un goût de menthe. Je répondis à son baiser avant de dire. 
- Mais je crois que j'y trouve aussi beaucoup d'avantages. Donc oui, je veux bien être ta petite amie. 
Il se pencha pour m'embrasser de nouveau, mais je mis ma main devant sa bouche. 
- Mais, tu dois savoir que j'ai  également beaucoup de contraintes qui m'accompagne ? 
- Je sais ça. Depuis longtemps. Mais je crois que c'est ce que j'aime le plus. 
Il entrelaça ses doigts avec les miens avant de m'embrasser doucement. 
Je le laissait après celà, pour rentrer à la maison, j'étais un peu fatiguée et j'avais envie de dormir. Une fois à la maison, je m'allongeais sur le canapé pour me reposer. 
Une douce odeur flottait dans l'air et chatouillait mes narines. Une bonne odeur que je n'avais pas sentie depuis un petit moment. Je me reveillais à cause, ou plutôt grâce à l'odeur de nourriture. J'avais une faim de loup ou plutôt de lynx.
À l'hôpital la nourriture avait le même goût que celui de la cantine. J'étais donc rester sur ma faim pendant près d'une semaine. Il y avait dans l'air une délicieuse odeur de viande au barbecue. Je me levais, bavant presque, face à cette délicieuse odeur de viande bien cuite. 
Je me levais pour aller vers la cuisine. Dans la pièce, mon père et ma mère étaient aux fourneau. Mon père coupait des légumes pour un gratin et ma mère cuisinait des énormes steak. 
- Bonjour ma chérie ! Comment tu te sens ? Demanda mon père.
- Je me sens très bien. J'ai même très très faim. 
- Ah désolé, mais tu vas devoir attendre un peu. Dit ma mère. 
- Pourquoi ! J'ai faim ! Déclarais-je. 
- On va avoir des invités ! Répondit mon père. 
- Qui ? 
- Tu verras bien ! Arrête d'être curieuse ! Et vas donc prendre une douche en attendant ! Rouspèta Maman.
- Pourquoi ? Je sens aussi mauvais que ça ? Plaisantais-je.
- Non, mais tout de même ! Aller ouste ! 
- D'accord, je déguerpis en couinnant comme un petit toutou. J'entendais le soupir de la mère en montant les escaliers. 
Une fois une bonne douche bien chaude et revigorant prise, je descendis les mêmes escaliers. Sur la table, il y avait des couverts de mit. Je comptais douze couverts au total. 
- C'est qui les neuf autres personnes qui viennent ? Demandais-je à ma mère qui déposai le verre sur la table.
- Tu les connais très bien, et c'est dernier jour, ils ont tous beaucoup fait pour toi. Répondit-elle.
Je réfléchis quelques secondes avant de dire : 
- Cassidy et ses parents, Jake et ses parents , Jeffrey, Christine, et Issac. 
Ma mère me fis un clin d'œil. 
- Comme quoi ! Quand on réfléchit un peu ! 
- Ha ha ha !  Très drôle ! 
Au même moment on toqua à la porte, je partis pour l'ouvrir. Les premiers arrivés était Jake et ses parents. Je les voyais rarement mais ils étaient vraiment de bonne compagnie. Ça mère une Animorphe corbeaux et son père un Animorphe iguane. Je les fis entré. Jake me demanda : 
- Alors ! En forme la lynx ? 
- Ouaip ! Contente d'être toujours en vie ! 
Il sourit et partie en direction du salon. Les invités arrivèrent petit groupe par petit groupe. Quand tout le monde fût là. On ouvrit les bouteilles de champagne, pour ce qui en buvait ( modérément bien sûr ! ) Et pour les autres se fût des boissons gazeuses. 
Une petite musique d'ambiance, tout le monde parlais et riait de bon cœur. Vers la fin de soirée on eu le droit à un concours de cri d'animaux. La mère de Cassidy au courant de notre secret se prêta même au jeu. 
Dans cette ambiance de bonne humeur, il y avait un peu trop de monde pour moi, il faisait chaud,et je commençais à me sentir un peu barbouillé. Je finis donc par sortir discrètement pour prendre un peut l'air. 
Un délicat vent frais soufflait en cette douce nuit. Il ne faisait pas froid, mais un frisson courrais le long de ma colonne. Je me sentais bien. J'étais heureuse. Je regardais la lune qui eclarait la route de sa lumière blafarde. Donnant un côté surnaturel à se paysage que je connais que trop bien. 
Dans cette lumière, la forêt était d'autant plus belle et attirante. Cette contrée si proche et si loin à la fois. Cette forêt que peu de gens connaissent. J'entendis des rires provenir de la maison. 
Seulement nous, nous les Animorphes, et les quelques humains au courant de nous, savais se que cachait cette profonde forêt. Cette abymes sombre et indomptée. 
- Tu veux aller faire un tour ?
Je me retournais. Tout le monde était dehors me regardant contempler la forêt. C'était Issac qui avait posé la question.
- Désolée d'être sortie comme ça, mais j'ai eu un peu de nausées.
-Pas la peine de t'excuser pour ça ! Déclara Christine. Tu es encore convalescence après tout. 
- Bien sûr c'est normal de pas se sertir bien te temps à autre ! Rajouta la mère de Jake. 
- Vous êtes tous partant pour un cache-cache en forêt ! Demanda le père de Cassidy.
Tous se regarder avant de dire oui ou de hochet de la tête. Je me levais avant de partir dans la forêt. Une fois sous le couvert des arbres, les uns et les autres se transformèrent. Un Saint-Bernard, et renard, un serpent...
Je souris à mon tour avant de me transformer. Ma blessure n'est pas totalement guéri, mais je pouvais quand même me métamorphoser. Issac s'approcha de moi. Je poussais une petite miaulement et il me répondit en me léchant le cou. 
On se mit tous à marcher, presque côtes à côtes. Je souris, mon cœur était gonflé de joie. J'avançais dans la forêt, sur le sol humide, avec les branches couvert de lichen blanc, sur un tapis de feuilles mortes qui étouffait nos pas. J'avançais dans la forêt sombre, entouré des gens que j'aime, qui m'aime, des gens pour qui je compte, et qui compte tout autant pour moi. J'avançais, digne et fière, entouré de ma meute. 

                          ~FIN~

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🐈 Voilà mes chatons !🐈

C'est la fin de cette histoire d'Animorphe. J'espère qu'elle vous aura plus !

Alors à bientôt pour d'autres histoires !

Nature Sauvage Où les histoires vivent. Découvrez maintenant