Chapitre 23

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( Mimi en média )

Je contemplais mon plafond, je n'avais pas réussi à fermer l'oeil de la nuit. Alors que ça aurait dû être le contraire. On avait trouvé le meurtrier de Madame Blenk, j'aurais dû être soulagée. Mais non, j'avais envoyé une innocente en prison. Tony allait être dévasté en apprenant ça. Je ne pourrais plus jamais le regardé en face. 
Je me levais, pour prendre mon téléphone. Cinq heures quarante. Je pris de vêtements avant d'aller sous la douche. Je laissais l'eau brûlante coulé sur ma peau. Une fois séchée et habillé. Je descendis les marches avant de quoi la maison. 
Je déambulais dans les rues encore sombre et endormie. Certains lève tôt faisait comme moi en sortant dans le ruelle. Je passais devant la maison de Madame Blenk. Avec ces grandes portes en bois usées et ces fenêtres fermées on aurait pu croire à une maison hantée. 
Je fermais mes pensées au vieux souvenirs douloureux avant de reprendre mon chemin. J'étais arrivée devant l'école à six heures trente. Je poussais un soupir. Il me restait encore plus d'une demi-heure avant que le portail ne s'ouvre. Je m'assis donc sur un muret pour attendre l'heure d'ouverture. Je mis met écouteurs avant de lancer la musique " Let You Down" de The Material. Au fur et à mesure que mes musiques défilaient et que le temps passait. Les premières lueurs du jour commencèrent à éclairer le monde.
Alors que j'avais fermé les yeux, je sentis un petit coup sur mon épaule qui me fit sursauter. Je rouvris les yeux pour me trouver face à John. Je poussais un soupir.
- Fait pas ça ! Crétin ! Lançais-je.
- Je ne pensais pas que tu resterais autant sur le qui-vive. Tu as l'air d'avoir peur de quelque chose ? Puis-je savoir de quoi à tu peur ? Demanda-t-il.
- Non. Ça ne te regarde pas. Répliquais-je. 
- C'est pas très gentil. Tu pourrais me dire au revoir de manière plus sentimentale. Tu sais du genre : " tu vas tellement me manquer" 
Je ne compris pas tout de suite se qu'il voulait dire, puis je dis : 
- Pourquoi dire "au revoir" ? 
- Oh ? Tu es de nouveau curieuse. Je pars, je pars en voyage. Dit-il. 
-  Hein ? Tu par où ? 
Il sourit puis s'approcha de moi.
- Pourquoi veux tu savoir ça ? Je vais te manquer à se point là ? Susurra-t-il.
- Pas le moins de monde. Je suis juste, curieuse de savoir. Répliquais-je du tac au tac. 
- Ton chef de meute, Jeffrey je crois qu'il s'appelle, à réussi à trouver des infos sur la famille de ma mère. Je vais aller les voir. 
Je le regardais, il fixais l'horizon avec une petit sourire sur les lèvres. Il avait une chance de retrouver sa famille pour en apprendre plus sur ses parents. Je souris.
- Hey ! Le Hunter ? 
Il se retourna vers moi.
- Tu as peur de voir tes grands parents ? Le taquinais-je. T'inquiètes pas, nous les Animorphes, peu importe qui tu es, où ce que tu es, pour nous la famille c'est sacré. Même si notre petit fils est un Hunter. 
- Merci. Félixia. 
Il se retourna et commença à partir. Puis s'arrêta et dit : 
- Je ne renonce toujours pas à toi. Donc, quand je serais de retour, je compte bien te retrouver. La lynx blanche ! 
Je sentis le rouge me monter aux joues, puis je secouais la tête avant de rire. Ça me fesais un tracas remit à plus tard. 

                             ❦❦❦

J'avais eu cours toute la matinée, se qui m'avait empêcher de penser à Amélia et à cette horrible mauvais pressentiment. Je sortais de la salle d'anglais lorsque je croissait Monsieur Gray. 
- Alors, tu vas mieux maintenant ? Demanda-t-il.
- Oui, merci Monsieur Gray. Vous allez bien ? 
- Oui, plutôt merci. Je voulais vous demander quelque chose. J'ai entendu dire que c'était vous qui saviez que Amélia était la coupable. 
- Ah ! Euh... Non, j'étais juste avec elle à ce moment là. 
Je n'avais pas envie de lui dire la vérité, pour une raison inconnue je n'avais pas envie. 
- ...Intéressant. Bon je voulais vous dema...
- Félixia ! 
Je me retournais vers Jake et Cassidy. 
- Monsieur je vous laisse au revoir ! 
Je m'arrêtais pour les laisser arrivés à ma hauteur. Nous continuâmes de marcher jusqu'à la sortie puis Cassidy dit : 
- Amélia, je n'aurais jamais imaginé qu'elle puisse faire ça à une humaine ! Surtout que elle même et marié à un humain ! C'est incompréhensible ! 
- Oui...je sais... Répondis-je vague. Moi aussi...
- Mais, en même temps. Il fallait bien que ce soit quelqu'un. Déclara Jake. 
- On peut changer de sujet, j'ai pas envie de penser à ça. Dis-je en les regardant tour à tour. 
- Bon, moi je dois vous laisser ! Dit Jake en traversant la route. 
- Bye ! Dis-je en même temps que Cassidy. 
On continua à marcher tranquillement quand je lui dis : 
- Alors, avec ta mère. Elle a dit quoi à propos de Nous ? 
- Ah, elle était un peu surpris au début, mais elle l'a plutôt bien pris. Elle nous posse des questions sur comment et pourquoi. Enfin bref, plus intrigué qu'effrayée. 
- Tant mieux alors ! T'es pas un peu triste que Mathieu ne s'occupe plus de toi ? La taquinais-je.
- Mmm... Un peu ! Mais ! Il a dit qu'il aimerait bien me revoir ! 
- Waouh ! Qu'est-ce que c'est romantique ! Lançais-je.
- Oui, on est d'accord ! 
Tout contente, elle se tourna vers moi avec un grand sourire sur le visage. Je me frappais mentalement pour avoir lancé le sujet. 
- Et. Avec Issac ? Tout va bien ? 
- Oh ! Euh... Oui plutôt. 
- Ah ! C'est trop vague ce que tu me dis là ! Je veux tout savoir en détail ! Insista-t-elle.
- Pff... D'accord ! 
Je le racontais donc se qui c'était passé l'autre jour quand nous étions partis voir la cascade. Et me rappelais de se moment que je pouvais qualifié d'agréable.
- Ouh là là ! Mais, alors...
Elle me regarda dans les yeux avant de s'arrêter pour me prendre dans ses bras. Elle me sourit.
- Tu as enfin compris ce que c'était que de ressentir de l'amour ! 
- Non ! Enfin, c'est pas ça, j'ai juste dit que j'avais aimé passer se moment avec lui ! 
- Ma chérie. Laisse moi te dire que si tu avais passé se moment avec un garçon que tu m'aimais pas, tu m'aurais pas apprécié ! Dit-elle sérieuse. 
Je sentis le rouge me monter aux joues. Je tournais la tête avant de dire d'une petite voix : 
- Peut-être...un peu...
- Hi hi hi ! 
Elle se mit à rire dans les aiguës. Je fronçais les sourcils en me bouchant les oreilles. 
- Merde ! Ta une voix de crécerelle ! Évite de crié ! 
- Oui ! Mais je suis trop contente pour toi ! Tu vas enfin comprends c'est quoi l'amour ! 
- Oui ! Si tu me pète pas les tympans avant ! 

                           ❦❦❦

J'étais sur mon canapé devant la télé. Je mangeais de paquet de chips. Tout semblait normal. Excepté le faite que Bandit n'était pas là. Je me levais en l'appelant. Cherchant dans ma chambre et celle de mes parents mais rien. Je commençais à m'inquiéter. Pas qu'il ne sortait pas de la maison, mais il devrait déjà être revenue. Il était presque vingt et une heure. 
Je sortis à l'extérieur en appelant son nom mais rien. Je décidais de faire un tour en forêt pour voir s'il n'était pas là. Je marchais pendant quelques instants dans le bois au alentour de chez moi mais rien. Mon cœur battait la chamade. Je me dirigeais vers la route. Priant pour qu'il ne se soit pas fait percuté. 
Marchant sur le bord de la route, je vis à la lueur des phares d'une voiture une masse sombre. Mon cœur s'arrêta. Je m'approchais en sachant très bien que si c'était Bandit. Je ne m'en remettrais jamais. Une fois assez proche pour distinguer la forme, je poussais un soupir. Se n'est pas Bandit, c'est un chien à la fourrure noir. 
Pauvre bête. Voilà la cruauté de certains hommes face au animaux. Je m'éloignais du cadavre pour retourner à la maison. Une voix à la maison, je m'assis sur le canapé. Regardant l'heure passer. 
À minuit passé, j'entendis quelques choses gratter contre la porte. Je me levais précipitamment pour aller voir. J'ouvris la porte pour trouver un Bandit tout couvert de poussière et de saletés devant ma porte.

Bandit ! Fait plus jamais ça ! Tu ma fait une de ces peur ! Tu étais passée où ! 
Il miaula avant de regarder derrière lui. Il faisait sombre mais je pouvais voir un autre chat dans le noir. 
- Coucou toi ! Viens, n'est pas peur. 
L'autre chat s'approcha en boitillant. Une petite minette à la fourrure rousse s'approcha. Elle tenait sa patte avant droite en l'air. Je tendis la main pour la toucher. Elle recula la tête. Je décidais de ne pas bouger pour la laisser s'approchait d'elle même. Elle reniflla ma main avant de me regarder. Je lui touchais le haut du crâne avant de lui gratouiller le menton. Elle émettris un petit ronronnement. 
- Aller. Entré tout les deux. Je vais vous donner à manger et toi, je vais regarder ta patte. 
Je me levais pour les laisser passer. La petite rouquine hésita avant de suivre Bandit vers la cuisine. 
Je leurs servit une grande gamelle de croquettes et une coupelle d'eau fraîche. Je me m'assis à côté de la demoiselle pour regarder sa patte. Elle n'avait rien de cassé. Juste les cousinnets blessé mais rien de grave. 
- Bein alors ma jolie, il t'es arrivé quoi ? 
Je l'avais touché pour voir si elle avait mal autres par mais rien. Elle avait plusieurs petites égratignures et elle était maigre. 
- Ta pas de maîtres ? Elle me regarda, puis recommença à manger. Bandit lui me regarda l'air de dire : " c'est ma copine. Je voulais pas la laisser toute seule. Tu veux bien t'occuper d'elle comme tu le fais avec moi ? " 
Je souris. Quand y en a pour un y en a pour  deux comme on dit. Mes parents ne m'en voudrais pas trop. 
- Comment on va t'appeler ? Mmm... Caramel sa te vas ? 
Elle me regarda avec des yeux pas très content.
- Mmm... Alors pourquoi pas Mimi ! 
Elle me regarda et sembla satisfaite de se nom.
- Bienvenue à la maison, Mimi. 

Nature Sauvage Où les histoires vivent. Découvrez maintenant