Chapitre 12

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J'avais pleurer, encore, après avoir lut sa note. J'avais, le soir venu, lit quelques pages de son journal intime. Les extraordinaire aventure de Sandra Blenk avait bercé mon sommeil. Ah mon réveil, j'avais le cœur plus léger, pleurer m'avait fait du bien. Je décidais donc d'aller à l'école pour me changer les idées, de toute manière mes parents ne me laisserais pas râté un jour de plus. 
Je m'étais préparer en moins de cinq minutes, j'étais sortis de la maison après avoir fait quelques caresses à Bandit et j'étais partis.

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Je me présentais à la vie scolaire pour régulariser mes absences. Une fois ça de fait je me dirigeais vers ma salle de cours. Quel ne fut pas mon malheur de croiser dans le long couloir Issac entouré de sa bande de copains. En le regardant, je me souviens de ce qui c'était passé l'air jour, il m'avait révélé ses sentiments. Je marchais droit sans les regarder. 
- Tiens mais voilà queue de lapin ! Dit l'horrible voix de Jessica. 
Je passais sans prêter attention à leur moqueries. Edward passa sa main devant moi. Je le regardais, cette idiot de Animorphe Hyène. 
- Pousse ta main. Dis-je venimeuse. 
- On dit que ta vieille copine est morte ? Tu es triste ? Pauvre petite ! 
- Ferme là connard ! Crachais-je à bout de nerfs. 
- On s'énerve ? 
Il se pencha vers moi, un sourire carnassier vers moi. J'avais les larmes aux yeux, le faite qu'un idiot parle de  Mmn Blenk de manière aussi décontracté me faisait mal au cœur. J'allais le frappe lorsque Issac, intervient. 
- Laisse la Edward. 
- Et tu me fais quoi là ? 
Issac attrapa Edward par l'épaule et le tira vers lui. 
- Je t'ai dit, laisse la. Répéta Issac plus froid. 
Je me décalais pour passer. Issac entama une conversation avec ses camarades. Il m'avait défendu, pourquoi cette fois ? Il foulais que je le remercie pour m'avoir défendu ? Ou bien que je réponde à ça déclaration d'amour ?
Je soupirais en essayant d'un revers de la main les larmes au coin de mes yeux.  Je m'étais remise à marcher quand quelqu'un me saisit le poignet. Je me retournais. 
- Excuse le, il est con. Déclara Issac. Je suis vraiment désolée, je sais à quel point tu aimais cette dame. 
- Ouaip, merci. 
Je m'étais dégagée de sa main, j'avais repris ma route. Je n'allais pas lui parler, je n'avais pas envie de lui parler, surtout à lui.
- Tu sais c'est pas parce je t'ai dit l'autre jour que je t'aimais que j'attendais une réponse. 
J'ouvrais la bouche pour lui répondre que je ne pouvais pas accepté ses sentiments lorsqu'il me coupa : 
- Je ne te demande pas non plus d'approuver ou désapprouver  mes sentiments. Je continuais à t'aimer, même si toi tu ne m'aimes pas. Je ne fais pas ça non plus pour m'attirer tes tes faveur. Je n'aime juste pas te voir pleurer. 
Il frôla ma joues du bout des doigts, faisant mine d'essuyer une larme. Je reculais, le visage en feu.
Il eut un sourire satisfait avant de faire demi-tour. Je restais planté là comme une souche. Ce mec arrive à me être dans des états pas possible ! Je te hais Issac Klay ! 
Je repris ma route bien déterminé à me plus me laisser surprendre par ses réactions. Devant ma salle de classe je pu enfin resté au calme. Et lorsque le cours débuta, plus rien ne me m'intéressais à part le cour en lui-même.

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Le soir venu, je m'étais préparer à répondre au question de John. Mais il n'était pas présent. C'était étrange, lui qui n'avait reproché d'être absente. Je marchais jusqu'à chez moi en passant devant chez Madame Blenk. Sa maison était toujours entouré de bannières de police. Je regardais à mon poignet le bracelet qu'elle m'avait offert. Je voulais voir l'intérieur de ça maison une dernière fois. Je voulais également voir si les policiers n'avais pas manquer quelques choses que nous autres Animorphes ne pouvons pas manquer. 
Je fis le tour de chez elle. Après une vérification des alentour, je me transformais. J'espérais que la porte était encore ouvert. Je la poussais du bout du museau, je me glissais part l'entrebâillement de la porte. À l'intérieur de la pièce une forte odeur de nettoyant et d'autres produits, mais derrière celà persistait l'odeur de sang. Je fronçais le museau, j'avais de nouveau envie de pleurer. Je me mis à rechercher autre chose que l'odeur du sang et du détergent. Il y avait des touffes de poils. Mon cœur se sera, King. Il avait se quitté monde sa maîtresse, dans une horrible douleur. Je fermais les yeux. Je ne devais pas perdre mes moyens. Je m'approchais d'une touffes de poils. Un mélange de brun et noir. King n'était pas de cette couleur. Je penchais pour renifler l'odeur. Je n'arrivais pas à déterminer à quelle espèce elle appartenait. Mais j'avais mémoriser son odeur. La prochaine fois que je le croiserais, je le ferais regretter à l'assassin de Madame Blenk et King. La tristesse avait laissé place à la haine. Je voulais voir le coupable de ce crime mort. Je voulais que le sang soit versé. 
Je sortis de la maison, puis je m'enfonçais dans la forêt. Je voyais dans ma tête pleine de belles images de meurtres. Puis soudain, je m'arrêtais, je me laissais tomber sur le sol. Réalisant à quoi je pensais.
- Mais à quoi je pense...
Je voulais que le sang coule de nouveau, je voulais la mort de quelqu'un. Non, non, il ne le faut pas. Je me réprimandais d'avoir pensé se genre de chose. Après que quelqu'un soit mort, je voulais la mort de quelqu'un d'autre. Voilà ce qui pousse les hommes à commettre des crimes atroces. L'envie de vengeance. Se sentiments que l'on veut absolument assouvir, au détriment des autres. On ne résout pas les problème par des morts. J'aurais ma vengeance, mais le coupable iras en prison pour ses crimes.

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J'étais de retour à la maison, Bandit m'attendait sur le canapé, tout content de me voir, il me sauta sur les épaules. 
- Aïe ! Doucement ! Tu me fais mal. 
- Miaou ! 
Je souris, je partis dans la cuisine lorsque mon téléphone vibra. Je le pris pour voir se que c'était. Il affichait un nouveau message. 
" Chérie, se soir il y a " l'Assemblée". Je ne suis pas la mais ton père sera là. Bisous ! " 
- Pas ce soir ! Me plaignais-je.
Je poussais un énorme soupir. Bon, au moins mon père sera là. 
J'envoyais un message à Cassidy et Jake. 
" Y a soirée torture sa tente qui ? " 
Je partis m'asseoir dans le canapé, un bocal d'olive à la main. Deux vibrations. 
" Ah non pas se soir ! " De Cassidy 
" Super ! Qui c'est qui ramène l'ecorcheusse ? " De Jake. 
Celui-là ! Peut-être que des fois, il ferait mieux de ne pas me suivre dans mes délire. 
"On se retrouve se soir" 
Je réfléchis quelques secondes avant de rajouter 
" J'ai un truc de très important à vous dire passé chez moi avant." 
J'avais totalement oublié de leur parler de Issac, avec se qui c'était passé, je n'avais plus trop réfléchi pendant quelques jours. Je voulais maintenant leur leur raconter les fait.
     
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- Tu plaisantes ! Au mon dieu ! S'exclama Jake avant de mourir de rire.
- C'est pas drôle arrête de te foutre de ma gueule ! Répliquais-je. 
Je me tournais vers Cassidy, elle était resté silencieuse. Je la fixais, en attendant son avis.
Elle ne regarda, les sourcils froncés, les lèvres pincé. Elle me regarda puis éclata de rire. 
Je soupirais, puis j'enfonçait la tête dans un oreiller. 
- Issac ! Ta fait ! Une déclaration ! Rigola-t-elle.
- Tais-toi ! Je sais et je sais pas quoi faire ! 
Elle se mit à me titiller les côtes. J'éclatais de rire , j'étais chatouilleuse au niveau des côtes. 
- Arr... arrête ! Tu vas me tué de rire ! 
- Faîtes attention ! S'exclama Jake lorsqu'il faillis se prendre un coup de pied. 
On s'arrêta toute les deux pour le regardé puis, on se mis à le chatouiller lui aussi, en sachant très bien que nôtre Cher Jake et très chatouilleux. 
Il se mit à rire avec nous, après quelques combats acharnés. On se sépara, les souffle haletants. 
- On y va ? Il est bientôt l'heure. Déclara Cassidy. 
- Ouaip. Répondis-je.
Nous sortâmes de la maison pour partir en direction du petit sentier. Marchant tranquillement. Je pouvais distinguer devant nous la silhouette de Pedro. Je ne comprenais pas le fait qu'il n'arrive pas à ce contrôler. Nous avions de la chance, dans notre meute, il n'y avait uniquement quatre d'entre nous qui n'arrivent pas à se contrôler. Pedro qui se transforme en chien, Camille qui se transforme en renard polaire, Estelle en faucon pèlerin, et le dernier Marco en grizzly. Marco avait des poils noirs, brun, mais il était beaucoup trop gros pour qu'il n'y ait pas de trace.
Je soupirais, je devais trouver qui avait sous sa forme animal des poils de ces couleurs. Si ce n'était pas se qui n'attend pas à se contrôler, ça veut dire, que Madame Blenk à été tué par un Animorphe en pleine conscience de lui-même.

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