La lumière éclatante du soleil m'ébloui. Nous étions au milieu d'une clairière. Les herbes hautes flottaient au vent. Au loin, j'entendais plusieurs voix. Joyeuses et festives.
Je tournait la tête et je vis un groupe d'humain sous de grands arbres. Ils étaient assis sur des bouts de bois, et de drôle de maisonnettes colorés en toiles et de plastiques les entouraient.
Ils avaient beau avoir des vêtements horriblement moche, je n'avait aucune envie de leur faire du mal.
Ils ne nous avaient pas vue.
Ruy se tourna vers moi.
-Prouve que tu es avec nous, et nous laisserons ta soeur tranquille. Si tu ne fais pas ce qu'on te dit... Tu verras ce que l'on vas faire de tes amis et de ta très chère soeur.
Ils m'avaient déjà dit cette phrase, mais elle me glaçait toujours autant le sang.
Il avait autour du coup un collier rouge, qui brillait d'une lumière artificielle. Il se pencha, attrapa un gros bout de bois, et le frotta à la pierre. La pierre disparue.
Sous mes yeux terrifiées, le bâton pris feu. Un feu rouge, lumineux.
Effrayant.
Un bout de grand brasier.
-Jette leur dessus. Ils mourront et la forêt avec.
Comment était ce possible ? Ils étaient si avancé que ça ? N'importe qui pouvait donc créé un Grand Brasier grâce à une simple pierre. Certes, la pierre ne pouvait être utilisé qu'une fois, mais qui sais la quantité qu'ils ont en réserve.
Le visage de Maica était morne. Elle n'osait pas me regarder.
Deux choix s'offraient à moi. Ou je tuait une poignée d'humains et lançait un Grand Brasier, ou ils tuaient ou capturaient ma soeur et mes amis. Les Citées Perdues avaient besoins d'eux.
Vue comme ça c'était clair.
Je fit mine de ne pas hésité. Le visage sans émotions, sans peine. Du moins, je cachait ma peur, mon angoisse et ma tristesse.
Je prit le bâton et le lança avec force vers les humains.
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Dans leur tête. GDCP.
FanfictionAprès tous ce qu'ils ont vécue ensemble, comment peut il l'abandonner ? Comment ? Elle pensait que c'était vraie, qu'il pensait ce qu'il disait...tous ça pour une histoire d'assortiment ? Sophie ne sait plus quoi penser. Peut être Fitz pensait ce q...