Peut-être encore... {Terminer}

𝐶ℎ𝑎𝑝𝑖𝑡𝑟𝑒 25 : 𝑅𝑒𝑣𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠

Notre séjour chez mes parents est terminé, nous rentrons à Los Angeles mais pour une courte durée car dans quelques semaines nous repartons pour Paris.

Armin : J'ai adoré tes parents.

Moi : Tu dis ça parce que c'est les miens.

Armin : Pas du tout ! Ton père a été plus agréable que la première fois.

Je ris en me souvenant de ce souvenir. Après la fête, j'avais envoyé un message à Gabriella car je ne l'ai plus trouvé de la soirée et devinez quoi, elle ne m'a répondu que le lendemain car, comme le disait son message, Andrew est un dieux vivant, le décolleté à fonctionné. Un voix annonce que la porte 45-B, en direction de Los Angeles, est enfin ouverte. Je prends les sac tandis qu'Armin traine la valise. La file de touristes finie, je tends mon passeport vers la personne qui en est chargée puis nous avançons vers l'avion. Enfin assise sur mon siège et après la stabilisation de l'avion lors du décollage, je demande à mon petit copain de me parler du voyage à Paris.

Armin : Le directeur nous avait tout expliqué. On va être dans une famille d'accueil et pour les groupes je me suis mis avec toi, j'espère que ça ne te dérange pas ?

Je fais non de la tête.

Armin : On aura des objectifs à remplir : visiter le Louvre, prendre des photos du haut de la Tour Eiffel, visiter un quartier précis...  Par contre, chaque groupe a un défi particulier et il faudra faire un rapport détaillé à la fin du séjour.

Moi : J'adore l'idée !

Je pose la tête sur son épaule. Il passe son bras derrière mes épaules. C'est agréable, j'aime ces moments d'intimité entre nous. Je ferme les yeux pour apprécier encore plus son contact.

Moi : Ça me permettra de décompresser après la longue semaine d'examens...

Il dépose un baisser sur ma tête.

Armin : Ne t'inquiète pas, demain nous allons bosser ensemble, et ensuite tu appelleras Rosa pour lui raconter notre voyage et vous...

Moi : Comment tu sais ça ? T'as lu nos messages.

Armin : Non, je te connais c'est tout...

Moi : Espèce de psychopathe.

Armin : C'est parce que je t'aime tellement que je mémorise tout de toi.

Il resserre son étreinte autour de moi.

Moi : J'accepte tes arguments, mais c'est juste parce que c'est toi. Prends pas la grosse tête, ne pense pas que ça va devenir une habitude...

Armin : Je ne pense que ce que j'entends et pour l'instant je n'entends que des compliments.

Je lève les yeux au ciel.

Moi : Bon, tu m'as fatiguée je vais dormir.

•

Je suis ensevelie par les révisions, la rentrée est dans deux jours, ce soir je vais chez Rosa, j'ai hâte de pourvoir m'échapper de mon strict copain. Je crois qu'il prend trop à cœur son rôle de professeur.

Armin : Non, mais tu y étais presque. Il faut juste que tu appliques cette règle et que tu enlève x... et arrête de me regarder comme ça.

Moi : Comment je te regardes ?

Armin : Tu m'admire comme si j'étais un Kinder.

Je me lèche les lèvres.

Moi : J'adore les kinders...