[KnB] Amour Impossible à Teiko {TERMINÉ}

Mission intéressante...

🔙 before

-...

- Quoi ?

- *Des étoiles dans les yeux*...Tu es trop adorable en faîte Aominechii...

-...MAIS-MAIS FERME LA BORDEL !...Il était extrêmement gêné et se retournait les joues rose. j'aurais pas dû te demander.

- Attends ! Si je vais t'aider ! Sautille le blond surexcité.

-...Ok, Suis moi. Aomine ne pouvait s'empêcher de le trouver plus que mignon à cet instant précis...s'il ne se retenait pas il l'embrasserait là maintenant dans ce couloir...

~~~Pdv Omniprésent~~~

Tous étaient concentré sur leur centres d'intérêts. "Vacances" était le mot régnant dans tous les sujets de discussion.

Deux jeunes futurs délinquants étaient occupé à autre chose.

Devant le bureau du directeur vide pour quelques minutes, nos jeunes agents débutants mettant en place leur plan.

Le plus grand pénetrerait dans la pièce tandisque le blond ferait le guet.

Rien n'est à sortir de son contexte merci.

Tout semblant se dérouler parfaitement et simplement. Personne à l'horizon et aucun bruit de fouille. Cependant...

- Oï, Kise !

- Quoi ?

- Viens m'aider à chercher. Je trouve pas.

- Mais...et le directeur ?

- À deux on se dépêche et on se tire plus vite.

- Ok.

C'est ainsi que le blond rejoignit le mat dans la pièce fouillant ça et là durant de longues minutes.

- Trouvé !

- Gueule pas si fort.

Il s'était approché en quelques secondes en plaquant sa main sur sa bouche. Le voyant calme il la retira

- Gomen...

- Merci.

Le mat allume l'appareil et retrouve un message de sa mère

De Maman chieuse à Aomine

Ne t'en fais pas pour moi mon chéri. Je suis finalement resté à la maison. Concentre toi surtout et rend moi fière ! Sale garnement.
Aufaite ! Ramène moi le beau Kise à la maison, il est adorable je veux lui reparler.

En effet Kise s'était un jour retrouvé chez les Aomine en ramenant le sac du bleu chez lui. Oui...son sac de classe...

Sa mère avait du caractère et était vive. Il en fallait de la force pour tenir son Aominechii.

En lisant son message il ricana un peu devant l'air mi-gêné et mi-énervé du plus grand.

D'après lui sa mère pouvait réellement devenir une plaie.

- Tu-

Les pas lourds dans les couloirs les fit paniqué...

Le dirlos...

Il commencèrent à ranger tous ce qu'ils pouvaient et à courir partout. Kise était beaucoup plus paniqué qu'Aomine. À croire qu'il avait vraiment le monopole du parfait bandit.