🔙 before
- Tu viendras je le sais. Je sais bon nombre de choses.
-....
- Je dois te laisser maintenant. Bonne soirée.
J'y crois pas...
C'est une forme...de chantage ?!
Je soupire et retourne m'asseoir. Haiza et la sale *tousse* fille sont partis. Kise semble être au vestiaire. J'espère qu'il n'est pas trop déprimé.
Bah je ne vais pas l'attendre hein.
Je rentre.
~~~Pdv Kise~~~
J'ai peur...
Actuellement je suis à l'hôpital. Mon père à fait une crise cardiaque...
Ma mère est en route et mes soeurs sont déjà là.
Il a fait cette crise pendant que nous cherchions des décorations de noël ensemble...
Il est en salle d'opération et nous patientons. D'après ce que j'ai compris ils doivent ranimer son coeur.
Je soupire complètement stressé et épuisé...
- Je vais faire un tour...
Je fais un bisous à ma soeur et m'éloigne. J'avais besoin de me calmer et quoi de mieux qu'une bouille d'ange pour ?
Je vais à l'espace hospitalisation entrant directement dans la chambre dont j'ai déjà mémoriser le nombre par coeur.
- Salut...!
Je fais un faible sourir en entrant et la voyant assise fixant un coin vide de la pièce
-...
- Kikyo ?
- Shuu...
Sa voix était étrange...plus rauque...comme si elle n'avait pas bu depuis un moment et qu'elle n'avait pas parlé non plus.
- Kikyo. C'est Kise tu sais...ton ami blond. J'entre doucement peu sûr
- J'ai mal...
- Où ?
- À la tête...extrêmement mal...Je veux mon grand frère...
- Calme toi
- JE VEUX SHUN !
C'est la première fois que je la vois si hystérique...elle se tenait la tête criant à quel point elle avait mal...
Il semblerait même que certaines vieilles blessures se réveillait. Criant d'arrêter, qu'elle n'avait pas fait exprès ou même que son frère n'y était pour rien...
Ils n'ont pas eu une enfance facile...
J'appellais les médecins tandis que je la retenait contre le lit l'empêchant de retirer ses perfusions
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[KnB] Amour Impossible à Teiko {TERMINÉ}
FanficAlors que la Génération Miracle menait une vie des plus normal au sein du collège Teiko, l'arrivé d'un nouvel élève viendra perturber leur quotidien. Pour cause cet élève n'avait rien à envier de la normalité des autres collégiens. Son antipathie se...