Aphrodite, était revenu de mission, épuisé, Gwendoline s'était précipité vers lui.
Bien qu'il fut heureux de retrouver sa disciple, il ne pût s'empêcher de remarquer un certain changement chez elle qui le chagrinait, il semblait que Camus eut déteint sur elle, elle était froide.
C'était le matin de bonne heure, Gwendoline, posa un plateau avec le déjeuner de son maître puis, grimpa sur son lit. Elle posa un baiser sur son front, il s'agita dans son sommeil.
- Maître ? l'appela-t-elle doucement à voix basse en le secouant légèrement.
- Gwen ? s'étonna-t-il.
- Je t'ai préparé ton petit déjeuner, lui apprit-elle.
Elle poussa un petit cri de surprise, Aphrodite venait de la saisir et, de la poser sur le lit près de lui. Il embrassa ses joues, elle protesta, il la chatouilla, elle éclata de rire, se tortillant pour essayer d'échapper à son maître qui, la ramena vers lui à chaque fois qu'elle s'éloignait.
- Arrête ! J'arrive plus à respirer ! ria-t-elle.
Il cessa de même que le rire de Gwendoline, elle le regarda dans les yeux puis, joua avec les cheveux emmêlés d'Aphrodite.
- Mon thé va refroidir, Gwen, fit-il, amusé.
Il se mit assis. Il observa sa disciple et, rit :
- Tu t'es coiffée avec un pétard ?
- C'est de ta faute !
- Tiens, je te donne une de mes tartines pour me faire pardonner.
- d'accord, accepta l'enfant.
Elle la prit et, la mangea.
- Ramène-moi ta brosse, s'il te plait, demanda Aphrodite.
Elle obéit.
Soudain, ils sentirent des cosmos hostiles. Gwendoline fit tomber un verre d'eau qui, se brisa.
- Gwendoline ! s'indigna-t-il. Nettoie-moi ça et après, rejoins-moi sur le chemin qui mène chez le grand pope !
Elle s'exécuta.
- Maître, qu'est-ce qu'il se passe ?
- Des ennemis. Aide moi à tapisser le chemin qui mène au grand pope de rose du démon, Gwen.
Il se mirent à l'ouvrage, la petite fille s'arrêta.
- Maître !
- Qu'il y a-t-il ?
- La grande horloge s'est allumée...
Aphrodite, leva son regard vers le grand édifice de pierre où, se dressait une horloge où, les heures étaient remplacés par les douze signes du zodiaque.
- Il ne reste plus qu'à attendre.
Plus les flammes s'éteignaient plus, le maître et la disciple devenaient nerveux, la nuit était tombée, la flamme du capricorne venait de s'éteindre, ne restait plus que Camus et, trois ennemis sur cinq.
- Camus ne pourra pas vaincre trois ennemi en même temps, fit Aphrodite.
Il se mit à la hauteur de Gwendoline et dit :
- Deux vont venir ici, je vais m'occuper d'un, tu accueilleras le second dans le champs de rose que nous avons dressé tout à l'heure, tu auras l'avantage.
Il l'embrassa sur la joue.
- Ne meurt pas et, reste en vie, Gwen, d'accord ?
- Oui, maître.
Elle partit en courant vers le chemin qui menait au grand pope.
Aphrodite accueillit deux chevaliers de bronze, l'un était vêtu d'une armure rose l'autre, de l'armure de pégase.
Les deux bronzes marquèrent un arrêt, visiblement émerveillés.
- Il est beau... Murmura armure rose.
Aphrodite sourit, il était habitué à ce que les gens soient émerveillés devant sa beauté et, il ne le niait pas.
- Je suis d'accord avec toi, Shun, fit Pégase.
- Je m'occupe de lui, Seiya, file chez le grand pope.
- Tu es sûr, Shun ? demanda Seiya.
- Oui, vas-y, j'ai des comptes à régler avec lui.
Seiya fila, Aphrodite, lança sa rose qui tenait entre ses lèvres, vers lui, il l'esquiva et, se dirigea vers le chemin qui menait au grand pope.
«Tiens-toi prête, Gwen, Pégase se dirige vers toi ! » lui apprit le chevalier d'or des poissons via son cosmos.
Elle reçut le message, Seiya, sortit du temple.
- Bien le bonsoir, Pégase, salua-t-elle.
Le susnommé chercha d'où provenait cette voix enfantine, il vit Gwendoline assise sur une colonne, une rose bleue glacée dans la bouche, tout vêtue de rose pastel et de blanc. Une vraie poupée.
Elle était plutôt jolie, Seiya ne pouvait le nier.
- Si tu veux passer il va falloir que tu te battes contre moi, reprit l'enfant.
- Attends tu plaisantes j'espère ?! Je vais pas me battre contre une gamine !
- Je suis Gwendoline, chevalier d'or des poissons, soit tu te bats contre moi soit, tu restes ici au milieu de ces ravissantes roses.
- Attend si tu es le chevalier d'or des poissons, qui est dans ce temple ?
- Aphrodite, chevalier d'or des Poissons.
- Je ne comprend pas, il y a deux chevaliers d'or des poissons, fit Seiya.
- On dit les poissons alors, répliqua Gwendoline.
- Pas faux...
Elle se mit debout en équilibre.
- Alors t'attend quoi pour te battre ? fit-elle.
- Je ne vais pas combattre contre une enfant ! refusa Seiya.
- Très bien, comme tu voudras.
Sa rose bleue vira au rouge, elle la lança aux pieds de pégase, soulevant des pétales de roses du démon libérant davantage leur parfum.
- Je ne sens plus mes jam...
Seiya tomba au milieu des roses rouges.
- le parfum de ces splendides roses vont te priver de tes cinq sens pour ainsi t'emporter vers la plus douce des morts, lança Gwendoline.
Elle remit une rose bleue glaciale entre ses lèvres.
«Pégase est hors course, maître» lui apprit-elle.
«C'est bien, Gwen mais, reste sur tes gardes, un autre chevalier se dirige vers toi »
- Laisse mon disciple tranquille, chevalier d'or des poissons ! lança une voix féminine.
Gwendoline se tourna vers la source et, aperçut une femme chevalier.
- Qui es-tu ? demanda le chevalier des poissons.
- Marin, chevalier d'argent de l'aigle et, ce chevalier au milieu des roses est mon disciple ! Ryūsei Ken !
Des coups de poings semblable à des météores fendit l'air, Gwendoline les évita en faisant des pirouettes, l'éloignant inconsciemment de Seiya. Marin en profita pour aider Pégase en lui mettant son propre masque.
- File vite chez le grand pope, je m'occupe du poisson ! lui ordonna le chevalier de l'aigle.
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Gwendoline
Fiksi PenggemarAphrodite était réputé pour avoir un cœur de pierre mais, une seule personne, une petite fille de trois ans va tout changer, elle se prénomme : Gwendoline.