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|Je te plais mais tu résistes, dans tes yeux je vois que j'existe.|

J'ouvre la porte et rentre. Je souris et lâche des larmes. Je m'approche tout doucement et la regarde, mashallah!

Karim : Tiens.

Il me la tend tout doucement et je la prends dans mes bras en souriant. Mashallah comme elle est mignone !

Moi : Bon moi j'suis ta tante Ardita. Tu vas trop m'aimer. Fin t'es obligée enfait.

Karim : Vasy jette toi des fleurs. Me coupe-t-il.

Moi : Laisse moi parler avec...

Moi : Avec qui même ?

Rania : Alaïa.

Je saute de joie.

Karim : Calme toi sale folle tu vas tuer ma fille.

Je me calme et rigole.

Moi : Merci merci merci.

Karim : J'voulais Geraldine moi.

Moi : T'es pas marrant.

Rania : Laisse, j'en ai marre de lui. Il voulait mettre un prenom d'vieux j'avais + mal à cause de ca que de l'accouchement.

Karim : J'vais pas te traiter devant ma fille.

Je ris.

Rania : Moi j'étais entrain d'accoucher et toi tu me donnais des prénoms de merde. J'avais envie de te tuer.

Karim : T'facon tu veux tuer tout l'monde toi.

Ils commencent à se disputer. Je leur dit que je vais juste à côté. En vrai, je sais même pas s'ils m'ont entendue.

Je vois Luan adossé contre le mur. Je m'approche de lui et il relève la tête vers moi.

Moi : Dis bonjour à tonton méchant, Luan.

Je prends la main de la petite et lui fait un coucou. Elle le regarde, trop chou.

Moi : Elle, c'est Alaïa. Souriais-je à Luan.

Je fais des bisous à Alaïa et en relevant ma tête vers lui, il me fixait. Puis, il nous sourit et je pense que je vais tomber dans les pommes. C'est bon j'arrête.

Moi : Bon j'vais rentrer dans la chambre. Tu viens ?

Je vois qu'il vient derrière moi et on rentre ensemble. Ils sont toujours entrain de se disputer.

Moi : Luan tu peux les arrêter sinon j'vais faire peur à Alaïa.

Luan prend Karim et les arrête immédiatement.
Ptdrr j'ai envie de rigoler en voyant leurs têtes. Je donne Alaïa à Rania et on reste là à attendre.

[...]

Une fois rentrés chez nous, Rania va dans sa chambre avec Alaïa se reposer et nous, on organise une petite fête pour demain.

Le lendemain.

J'cours dans tous les sens. Une fois fini les décorations etc, je vais en haut me doucher puis m'habiller. Je mets une longue robe toute simple et laisse mes cheveux au naturel puis je me maquille légèrement. Je sors de ma chambre après avoir mis du parfum et cours en bas mais je me cogne contre quelqu'un.

Moi : Aïe !

Il me regarde de haut en bas archi mal puis il se barre. T'facon j'm'attendais pas à un compliment de sa part.

Ton sourire, pour m'en sortir. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant