Erreur grave

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Après avoir découcher, je rentre à la maison. Je trouve mes parents au salon, inquiets.
Papa : Samy, où étais-tu passée ? Ça va ?
Moi : Oui papa ça va. J'étais juste chez Mimi, on faisait la fête et on avait un peu trop bu. Je pouvais pas rentrer.
Papa : QUOI ! DONC TU PRENDS MAINTENANT L'ALCOOL ? T'ES PRIVÉE D'ARGENT DE POCHE JUSQU'À NOUVEL ORDRE.
Moi : Désolé papa !
Papa : Dégage et vas te préparer pour aller à l'école.
J'vais donc me préparer. Comme par chance, c'est maman qui va me déposer à l'école.
Moi : Euh maman ! J'ai un problème.
Maman : Lequel ?
Moi : J'ai besoin de 10 000fcfa pour l'école.
Maman : Tiens (en me les donnant) mais ne dis rien à ton père.
Moi : Merci maman, t'es la meilleure !
J'arrive à l'école et j'entre dans la salle.
À la fin des cours, à plusieurs mètres de l'école, j'enlève ma tenue et reste en singlet puis je vais voir Van. Il était avec 2 gars que je connais pas.
Moi : Salut Mbololo (ennemi)
Van : Salut ! Pourquoi tu m'appelle Mbololo ?
Moi : Parce que tu l'es, connard.
1er gars : Oh un peu de respect salope ! Il n'est pas ton ami.
2e gars : C'est une Américaine, faites gaffe les mecs.
Van : Ah je comprends maintenant. T'as enlevé ta tenue pour nous montrer le drapeau tatoué sur ton épaule. Qu'est-ce que tu veux ?
Moi : Tu voulais me faire ma fête à ce qui paraît. Vas-y fais-le.
Van : Euh, de quoi tu parles ?
Moi : C'est moi qui ai envoyé ta cousine à l'hosto.
Là je ressois une belle giffle.
Moi : Fdp ! T'as osé toucher à un membre des Moutakala. T'es mort, La Chiquita va te tuer.
Van : Laisse-moi rire, Shékina ne peut rien contre moi. Mais y'a un combat auquel j'aimerais assister. Jézabel, viens d'abord stp.
Je vois venir une fille de ma classe.
Van : Je te présente Jézabel, la papesse des “génération Matalana” (groupe Arabe, composé que des filles). Le groupe qui avait battu les “Sexy Nkotis” (groupe Américain, composé que des filles ; considérer comme le plus dangereux) que vous tous vous craignez. Elle a toujours voulu se mesurer à votre La Chiquita.
Moi : Qu'elle essaie d'abord de m'affronter pour voir.
Van : Jézabel, occupe-toi d'elle. Surtout ne te retiens pas.
La bagarre commence et comme des vraies congolaises, le but est soit de tirer les cheveux de l'adversaire, soit la déshabiller. Malheureusement pour moi, elle est plus forte. Elle me déshabille complètement et me laisse nue devant tout le monde. Prise de honte, je cache mon visage. Pendant ce temps, elle sort un ciseau et me coupe mes cheveux.
Van : Tu vois ! T'as perdu, ne m'adresse plus jamais la parole sans permission. Jézabel, laisse-lui un petit souvenir.
Là elle sort un couteau et écrit “GM” sur mon dos et met un X sur le drapeau tatoué sur mon épaule. Puis on entend quelqu'un dans la foule dire : « j'appelle la police ». Les potes de Van sortent leurs machettes et dispersent la foule. C'est la panique générale, chacun court dans sa direction. Jézabel déchire ma tenue en plusieurs morceau avec son ciseau puis s'en va avec les autres. Je me lève, je sors mon téléphone de mon sac et j'appelle maman.

Incestueuse et mauditeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant