Chapitre 19

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Les mouvements que kylle m'a appris ressurgissent dans mon esprit. Je me souviens de ses paroles " peut importe la force de ton adversaire si tu bouge au bon moment, si tu te sert de sa force contre lui, tu pourra te libéré de n'importe qui."

La violence de son coup me sort de mes pensées, je suis déstabilisé mais je ne me laisse pas abatre, j'esquive le coup suivant, Lukas reste Béa surpris par mon esquive , ce qui me laisse une petite seconde pour courire jusqu'a dans le couloir de l' hôtel ou j'espère trouvé quelqu'un pour m'aidé.
Personne, c'est le désert dans les couloirs , je suis maudite, je continue de courire aussi vite que mes jambes me le permettent, j'entend les pas lourd de Lukas qui est juste derrière moi.
Au moment où j'aperçois le halle de réception de l'hôtel, les bras puissant de Lukas me retiennent, il place une main sur ma bouche l'autre autour de ma taille et recule lentement jusqu'à un petit recoin. Il me plaque violament contre le mûr, libére ma bouche de sa main qui vien se placé sous ma gorge. Il sert si fort, je sens mon poul ralentir, je me sens piégé, il est si fort, dans ses yeux je peut voir sa détermination, je gigote j essai par tout les moyens de me dégagé de son emprise, mais il ne bouge pas.
Il resserre encore plus sa main autour de mon coup ce qui empêche les sons sortir de ma bouche , il me soulève légèrement, mes pieds ne touchent quasiment plus le sol.
Dans une dernière tentative, je lui met un coup de pied en plein dans les couilles, il se recule d'un pas et relâche un peu mon cou, mes pieds touches à nouveau le sol, je me débat, je le frappe je cri je hurle même. Lukas se redresse et me donne un coup violent dans le ventre. J'en perd mon souffle et m'agenouille devant devant lui, il attrape mes cheveux avec rage et tape ma tête contre le mur. Je perd peu à peu connaissance. j'entends une femme hurlé au loin, je voix bougé autour de moi, mais mes yeux sont trop lourd il se ferme peu à peu , quand un dernier souffle je m'effondre par terre et perd connaissance.

Je me réveille à l'hôpital, branché à toute sorte de machine.
Il me faut un temps d'adaptation avant de me souvenir comment j'ai atterie ici.
Je ne pense cas une chose Lukas... J'entend sa voix me répété que je vais payé pour ce que je lui ai fait.
Je panique, j'essaie de me levé mais avec tout ses files qui pendant je n'arrive pas. J'arrache le tout ce qui déclanche des bippp bipppp de partout dans la chambre. En moin de 3 seconde deux infirmières pénétrent dans ma chambre suivie d'un policier.
Ils me demandent tous de me calmé, ils me répètent que je suis en sécurité ici. Mais je n'y croit pas, je regarde le policier et lui demande s'il l'on arrêter. D'une voix calme le policier me dit que c'est compliqué qu'il va m'expliquer lorsque je me serais calmé.
Comment pourrai-je me calmé c'est impossible.

Soudain j'entends une voix familière provenant du couloir. Malgré tout ce qu'on a vécu Derek et moi je suis contente de le savoir près de moi., il entre en trombe dans la chambre, voyant la panique dans mes yeux  et surtout les traces des coups porté par Lukas. Derek retrouve sa posture imposante, d'une voix pleine d'assurance il met tout le monde dehors, malgré l'insistance des infirmières, derek les pousses gentiment vers la sorti en leur expliquent qu'une fois que je serais calmé elles pourront revenir s'occupé de moi.
Derek ce précipite à mon chevet, de ses bras puissants il me soulève et m'enlace. Je ne peut contenir mon soulagement, même si je ne lui pardonnerais jamais je sais qu'il n'est pas la pour me nuire au contraire il veut me protéger.

- raconte moi Eva, c'est lui hein.... c'est lui j'en suis sûre.
Je n'aurais pas du te laissé partir je savais qu'il te retrouverais je suis désolé.... Eva je t'en supplie pardonne moi.

-Derek je.... Ne peut pas te oublié...... Je....

Je cherche mes mots, je n'arrive pas à lui dire ce que je pense, lorsqu'il est prêt de moi, lorsqu'il me touche je ne suis né réfléchie plus normalement. J'ai envie qu'il reste pres de moi, je me sens en sécurité mais d'un autre côté je me sens trahie. Je suis partagé ente ce que je ressent pour lui et son mensonge. Je suis perdue.

Je vois le visage de Derek se décomposé quand il comprend ce que je veut lui dire.
Il me repose sur mon lit et rompt se contacte rassurant avec moi, je sens un vide m'envahir quand je le vois se dirigé vers la porte. C'est à ce moment là que je comprend que je ne veut pas qu'il parte, je veut rester auprès de lui, peut importe ce qu'il m'a fait peut importe la douleur que j'ai ressenti en apprenant la vérité.
Celle que je ressent à cette instant où je le vois s'éloigner de moi est mille fois pire. Dans un murmure je lui demande de resté.

-reste Derek, reste avec moi, ne me laisse plus partir,  ne me laisse pas te repoussé.... Garde moi avec toi

Derek demeure immobile, il se retourne, je retrouve l'étincelle dans ses yeux, celle qui me rend folle de lui , un sourire radieux se loge sur son visage, il me regarde avec une telle intensité. Il saissi la chaisse qui se trouve vers la porte, il se rapproche de moi et pausse la chaisse à côté de mon lit.

-je ne partais Eva, je voulais juste m'asseoir à côté. Je ne te laisserais plus...... Jamais..... Tu fait parti de moi, tu est la meilleure parti de moi.

Je me sens un peu idiote, mais je suis libéré d'un poids. Je me sens apaisée

D'un mouvement de main je l'incite à me rejoindre sur le lit, il ne se fait pas prier, en deux temps trois mouvement Derek se retrouve collé à moi, entre ses bras je lâche prise. J'entrevois enfin un avenir heureux pour nous.
Nous rions en même temps sur ce quiproquo qui nous a rapproché.
C'est enlacés l'un à l'autre, avec notre complicité retrouvé, que je me laisse enfin allé et m'endors en sécurité.

Le lendemain, le médecin nous annonce que je pourrais sortir demain, il préfère me garder sous surveillance encore 24 h à cause de ma commotion. Après avoir changé les bandages sur mes côtes. Et m'avoir donné ma dose d'anti douleur il sortent  de ma chambre. C'est autour des policiers maintenant de faire irruption dans la chambre il veulent m'interrogé sur ma relation avec Lukas comprendre ses motivations ,je décide d'être honnête avec eux en leurs racontant la maltraitance de Lukas ma fuite, j'omet bien évidement le rôle de Derek dans cette histoire. Je leurs explique que Lukas est dangereux instable et plein de ressources. Les inspecteurs hoches la tête de temps en temps, griffonnent sur leurs calepin noir. Je ne saurais dire s'il écoutent ce que je leur raconte mais bon je n'ai pas vraiment le choix. Il me conseille de resté joignable, et de les appelé si Lukas entre en contacte avec moi.
Lorsque la porte se ferme j'entends Derek baragouiné....

-quesqu'il y a Derek?

-rien rien c'est juste que.... Ils ont pas pris la peine de sécurisé l'hôpital.... Ils ne  prennent pas Lukas au sérieux et sa me fou en rogne....

-mais si Derek, la police a dit qu'il enquettait pour retrouvé Lukas.

-ce n'est pas suffisant ils ne savent pas de quoi il est capable..... Moi si !
Regarde ce qu'il t'a fait hier si une femme ne t'avais pas entendue hurlé il t'aurais probablement tué...

Je suis consciente que Derek a entièrement raison sur ce point mais de l'entendre de vive voix rebd la chose réel, et sa le fait vraiment flippé. J'ai eu de la chance hier mais je connais assez bien Lukas pour savoir qu'il ne me lâchera pas aussi facilement. J'essaie de rassurer Derek

-oui mais il ne l'a pas fait et je vais bien, enfin, du moin sa pourrais etre pire.

-non tu ne vas pas bien Eva, tu as une commotion, 3 côte cassé, ton visage est couvert de bleu. Sa me tue de te voir comme ça.

-oui mais je suis là Derek et toi aussi, c'est le plus important.

- ce n'est pas suffisant , il mérite de payé pour ce qu'il t'a fait et pas seulement pour hier, aussi pour ses 10 dernière années..... 

- rapproche toi de moi Derek, prend moi dans tes bras.

Je décide de clore cette discution, sa ne nous mènera nulle part.
Derek m'enlace,  il est tendue mais peu à peu je sent son poul ralentir.
Nous nous complétons tellement, entre nous c'est comme une évidence.
Sans un mot, nous nous rassurons mutuellement.

garde moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant