Cohabitation forcée || Creepypasta ||

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Coucou les loulous. C'est moi. Père castor. Je viens vous compter la suite des aventures fastidieuses de nos 9 camarades.

Enfin bref, me revoilà enfin avec un chapitre dénué de sens pour ne pas changer en espérant que cette petite chose soit toujours aussi attrayante (ptn keske je parle bien).

Le prochain chapitre sera sûrement un chapitre individuel du personnage que vous avez choisis la dernière fois, soit Camille (j'me sens plus narcissique que d'habitude en disant ça wah), voili voilou les loulous

ET UN GRAND MERCEY À LISA POUR AVOIR CONFECTIONNER L'ESCAPE GAME DE CE CHAPITRE ! MERCIII LISAAAAA ! (dites merci svp elle se sentira fraîche)

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Le groupe inspectait donc la pièce avec détermination, et flemme avouons le, en quête de réponses.

Lisa : Bienvenue à tous, petit zet grand dans notreuh reportage au coeur de l'enquête.

Camille : Aujourd'hui dans 90 minutes enquête, nous retrouvons Thierry, un policier de Marseille à la poursuite d'un conducteur récalcitrant sur l'autoroute.

Elodie : On ferme sa gueule dans le fond svp-

La pièce était digne du salon d'un retraité, tous les meubles s'agglomérant sur le mur du fond. À droite, un piano, à gauche, une commode avec des tiroirs semblant être verrouillés. Un vase de roses sur cette dite commode et 5 cadres photos au mur dont un crochet pour en accrocher un sixième.

Elodie : Tous semble clair maintenant... J'ai compris où nous sommes.

Eline : Où ?

Elodie : Perdus.

Eli, qui s'acharnait sur toute les portes des alentours, soit deux pauvres portes qui devaient subir ses coups, se vautra au sol tel l'étron qu'elle était.

Eli : Je confirme que les portes sont fermées.

Simon : Ah, sale être inférieure.

Eli : Mais je ne te permet pas, homme sénile !

Simonette, outrée d'avoir été comptée en tant qu'homme, partit se coucher sous le piano.

Lisa observait la pièce en détail, se sentant détective accomplis.

Priscilla, qui regardait les tableaux, se sentait de faire une remarque.

Priscilla : Mdrr elle ressemble à rien elle, 20 balles qu'elle s'appelle Anaïs.

(Je vous aimes les Anaïs, du fond du cœur, mais il me fallait un prénom.)

Lisa : Silence, je me recueille dans mon palais mental.

Eline : Ton quoi ?

Lisa : Zoé mets ta tête face au mur, tu m'empêche de me concentrer.

Zoé : Bruh j'ai rien dis et t'as les yeux fermés weshou.

Lisa : Oui mais tu penses, et c'est très perturbant.

Margot : T'as trop regardé Sherlock pauvre fille

Zoé : Sale michto va

Lisa : Il y a une rose par tableau... Et il manque donc une rose.

Simon : Rosa Rosa rosae rosam

Eline : Putain il va invoquer un démon avec sa prononciation de chez Wish

Priscilla : C'est fini le latin Simon, c'est trop has been

Eli : Bah le tableau est dans un tiroir non ?

Simon : J'me suis pris la commode en trébuchant, je te confirme que les tiroirs sont fermés.