L'ange démoniaque

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Nous étions dans une salle assez grande.
Plusieurs anges étaient là, en ligne. Je leur posais des questions, examinait leur gestuelle et posture.
Une fois l'analyse terminer, je leur fis par des résultats : le groupe d'exploration était prêt.
Après mainte recomandation de ma part, Ouriel, ayant pris la tête du groupe, me tendis plusieurs partitions a chanté a père en son absence, puis traversa une porte pour descendre en bas.
Les scènes s'accélèrerent a nouveau pour ralentir, alors que je me trouvais avec mes aînés.
-Dis-nous ce que tu sais !
-Qu'ont-ils dit ?
-Que sais-tu du monde d'en bas ?
Ils m'encerclaient de sorte qu'il n'y ait aucune échapatoire. Moi-même, je n'avais reçu aucune nouvelle du groupe qui avait été envoyer en bas.
Bélphégor m'avait même prévenu que la guerre allait être provoquer à cause de ce même groupe, celon Laplace.
Je commençais a m'inquiété.
J'avais manquer de prudence, une fois encore.
Jeliel arriva et mes aînés partirent en traînant des pieds, sans retenir certains commentaires blessant.
-Caliel ? Tout va bien ?
Je secoua la tête, desespéré.
Elle me prit dans ces bras et me caressa la tête.
Sitaël arriva à ce moment là :
-Qu'est se passe t'il ? Je viens de voir les Chérubins partir d'ici mécontent ! Caliel qu'as-tu encore fait ?
Lorsqu'il me vit, sa colère disparu.
-Je ... je n'ai rien fait. C'est justement pour ça, je pense. Je n'ai pas respecter ma vertu, même si j'en connaissais les conséquences. J'ai trop voulu faire confiance à Ouriel ...
-As-tu de ses nouvelles ? fit-il, simplement.
Je secoua la tête.
-Je vois. Et pourquoi fais-tu une tête aussi desespéré ?
-Je suis ... perdu ? dis-je, desemparé par sa question.
-Je suis la porte ! Je suis le passage ! s'exclama t'il. Si tu penses avoir fait une bêtise, répare-la ! Ma vertu est l'espérance ! Je t'interdis de perdre espoire en ma présence ! Est-ce clair, Caliel ?
J'hocha la tête. Jeliel sourit :
-Si on peut t'apporter une aide, quelle quel soit, nous en serions heureux, Caliel !
C'est là que j'accepta ma destinée et pris mon courage a deux mains : je me dirigea vers la salle du trône.
Arriver devant les portes, j'entendis la voix des archanges, faisant leur rapport. C'était leur travail, lors de leur passage devant père.
J'attendis qu'ils finissent leur travaille et qu'ils ouvrent la porte pour pénétrer dans la salle.
Alors qu'un Archange allait certainement me dire que je n'avait rien a faire ici, bien que je sois son aîné, Père prit la parole avant même qu'il n'ouvre la bouche :
-Caliel, mon enfant, je dois m'entretenir avec toi. Archanges, dîtes aux anges de patienter.
Ceux-ci partirent, surpris, mais obéissant à l'ordre.
Une fois les portes fermaient, j'entendis la voix résonner :
-Je t'écoute, mon enfant.
-Père ... tu m'as demandé de m'occuper du nouveau monde et de chercher les informations par moi-même pour mieux le cerner. Pourquoi moi ? Pourquoi Ouriel ? Depuis que j'ai accepté son départ pour le monde d'en bas je n'ai plus de nouvelle. Je sais que je n'ai pas respecter ma vertu en acceptant sa demande et j'accepte d'être puni pour mon arrogance... mais s'il te plaît, laisse moi au moins réparer mes erreurs, je ferais n'importe quoi !
Un silence de réflexion se fit.
-Etre puni pour arrogance ? Quand as-tu fais preuve d'arrogance, mon enfant ? Tu as parfaitement respecter ta vertu en pesant le pour et le contre des faits et tu ne les as pas envoyé sur un coup de tête. Tu as fais selon mes ordres, cela est suffisant. Mais il est vrai qu'il est inquiétant de ne pas avoir de leur nouvelle. Descend et va voir par toi-même ce qu'il en est. Prend qui tu veux et fais ce que tu veux pour réparer les tords causé.
J'hésita puis stoppa toute les questions qui tournaient dans ma tête :
-Bien, père. J'ai donc votre aval et votre bénédiction pour ce qui va suivre ?
-Va en paix, mon enfant. Quoi que tu décideras, j'accepterai et exaucerai. Maintenant, fais entrer les anges.
Je sortis et laissa entrer le groupe suivant que me dévisageaient, surpris. Je n'avais parler a aucun de ces anges, étant plus âgé, je n'avais presque jamais eu d'altercation avec eux.
Mais apparemment, ils avaient l'air de savoir qui j'étais.
Je soupira et commença a avancé : il était temps de réparer les erreurs.