L'ange démoniaque

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-Ils m'écoeurent ... lâchais-je, tél un cracha par terre.
-Tu as changé ... mais pas comme je le pensais. fit remarqué Mickaël.
-Quel est le plan ? demandais-je en ignorant sa remarque.
-Après ce qui s'est passé, les règles et la hiérarchie a changé en haut. Mes troupes vont arriver et on va devoir supprimé nous même ces engeances.
-L'ange de la mort ?
-Il ne veut pas s'approcher de ces choses. Il a bien dit haut et fort qu'il avait accepter de faire tout les sales boulots sauf de tuer d'autres créatures céleste. C'est donc à moi que revient la tâche d'éliminer les abominations de nos ... frères.
-Je suis fière de toi, Mickaël. Cette volonté prouve qu'au moins toi, tu as tenu ta promesse.
Il baissa les yeux, ému.
-Comment vas Ipès ?
Il releva la tête, a nouveau indécis.
-Je ... il t'attend. Satan l'a pris sous sa tutelle lorsque tu es parti mais ... chaque jour, il t'attend devant la porte. Il attend ton retour, le coeur vide. Il a perdu toute sa joie de vivre...
-Je ...vois. Merci de m'avoir dit la vérité.
Il hocha la tête et se leva soudainement.
En me retournant, je pris conscience qu'un régiment entier d'ange en armure armé de lance se trouver là.
-Allons-y, finissons-en ... fit-il simplement.
Tous hochèrent la tête, c'était évident que personne n'allait faire cela de guetter de coeur.
Les anges commencèrent a attaqué les néphilims.
Les parents défendirent leur petits avec beaucoup de peine.
Un bain de sang, un véritable carnage se tenait là.
Je vis soudain quelqu'un courir et me frôlait avant d'aller vers la boucherie.
Ouriel.
Je n'entendais pas grand chose dans le fracas que la bataille faisait, mais je le voyais crier quelque chose.
Appelait-il sa progéniture ?
Je commença a m'en allait, dépiter.
Puis j'entendis la voix d'Ouriel m'atteindre :
-Caliel ! hurlait-il. Caliel où es-tu ?
Je compris alors ce qui allait se passait avant même que ça ne se produise.
Je pris Caïn dans mes bras et le serra fort :
-Tu as été le meilleur des frères que j'aurais pu rêver d'avoir. Merci pour tout ton soutien, tes soins et le savoir que tu m'as apportés. Je t'aime, Caïn. Au revoir !
Et je le lâcha, tout en courant vers Ouriel, alors qu'il était encore ébahis de ce que je venais de lui chuchoter aux creux de l'oreilles.
Alors que je me précipitais sur Ouriel qui criait mon nom, un ange à la lance le pris pour un parent cherchant sa maudite progéniture et le pris pour cible.
La cible elle-même n'avait rien remarquer et continuer d'hurler mon nom.
Au moment où la lance devait l'atteindre, plusieurs choses se produisirent simultanément.
Tout d'abord, j'entendis Mickaël hurler un "NOOOOON" très long.
Puis je vis Ouriel me voir, fasciné et heureux que je poussa d'un coup sec.
Puis je sentis la lame de la lance me perforer en plein milieux des ailes.
Puis je m'écroula, la lance toujours en moi.
J'eu à peine le temps de voir plusieurs visages en pleures se réunirent autour de moi, que tout fus fini rapidement et je me retrouva dans le noir.
Un noir complet et silencieux.