PDV Lauren :Ça fait presque une heure que je suis les traces de la calèche. Il y'a des centaines de calèche qui sont passés ce soir mais je n'abonnerais pas pour autant. J'ai l'impression que cette piste mène à quelque chose. J'arrive devant une maison modeste mais aucune calèche ou cheval en vue. Je m'arrête devant l'entrée du petit grillage et descends de mon cheval. J'ouvre la petite porte et marche jusqu'à la porte d'entrée. Je toque mais personne ne répond. Je suis sur qu'elle est là.
- Camila ouvrez moi s'il vous plaît.
- Il n'y a pas de Camila ici.
- Vous aurez beau modifier votre voix je n'oublierai jamais le son que fait votre voix quand vous prononcez mon nom.
Un silence s'installe. Je pose mon front sur la porte désespérée.
- Je suis seule Camila, je ne vous jugerez pas. Voyez moi comme Lauren une simple fille et non la princesse Lauren.
J'entends le verrou se tourne et la porte doucement s'ouvrir. J'entre timidement à l'intérieur à la recherche de Camila. L'intérieur est magnifiquement nettoyé, impeccable. Je continue mes recherches et vois une femme habillée de modeste vêtement souvent attribuée au servante s'enfoncer dans une cuisine. J'avance encore et la voix nettoyer le plan de travail. Je m'approche d'elle jusqu'à me coller à elle. Sa respiration devient lourde tous comme la mienne. Son corps est complètement collé au miens. Je pose ma main sur la sienne qui s'était arrêté de nettoyer avec une éponge à la seconde ou je me suis approché d'elle plus qu'il ne le fallait. Je prend l'éponge et la pose sur le côté.
- Camila...souffrais-je avec difficulté.
- Je ne suis plus Camila, je suis Karla. Camila n'a vécu seulement le temps d'un soir, elle a disparu au douzième coup de minuit.
Je décale ses cheveux pour me laisser une vue sur son cou et une petite partie de son visage.
- Pour moi Camila vie toujours, elle est juste devant moi.
- Vous ne devriez pas trop vous approchez de moi, je risque de salir votre belle uniforme.
- Je m'en contre fou de cette uniforme, je veux vous voir.
Camila se tourne doucement pendant que je recule pour lui laisser de l'espace. Son visage est sale, toute sa peau est sale, ses cheveux son décoiffé et ses habilles déplorable, mais elle reste toujours aussi belle.
- Je suis sûr que vous ne me reconnaissez même pas. Vous pouvez toujours partir, rien ne vous oblige à rester.
Elle baisse la tête en se triturant les main. Je m'approche d'elle en lui laissant un peu d'espace personnel et pose une main sur sa joue. Elle relève la tête sans comprendre ma réaction.
- Vous êtes la plus belle femme de ce Royaume, et ce n'est pas des habilles sale et et un peu de charbon sur la peau qui cachera votre beauté. Mon frère aurait été assez débile pour vous laisser passer si il vous verrait comme ça, mais mon petit frère est superficiel et immature, il ne serrait pas reconnaître un diamant sous ses yeux.
Elle pose sa main sur ma main et nos visage s'approche tel des aimants inéluctablement attirés l'un vers l'autre. Ses lèvres n'étaient plus qu'à une seul centimètres mais nous nous faisons couper par un vieil ivrogne qui fait irruption dans la maison. Je me sépare de Camila et sort mon épée en allant rejoindre l'ivrogne à l'entrer.
- Karla tu me dois une pomme, je t'ai vue m'en volée une ce matin. Tu vas le payer si tu ne me donne pas mon argent, hurle-t-il en titubant.
Je pose la pointe de mon épée sur son torse ce qui le dessoûle immédiatement.
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Cinderella
FanfictionEt si le prince n'était pas vraiment le prince charmant et si s'était la sœur. Camila, appelé Karla pas sa belle mère rêve d'un jour participer à un bal royal et un soir cette occasion s'offrit à elle. Là bas se trouvait Lauren, sœur du future Roi...