Mon Bad Boy : chapitre 18

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PDV : Léon

Elle s'en alla rapidement, me laissant sous le choc. Je ne savais pas de quoi elle parlait mais la voir dans cet état me faisait mal. Et l'entendre me hurler de sortir de sa vie aussi me faisait ressentir une étrange douleur. Vilu était la première fille avec laquelle j'ai vécu une vrai relation, avec de vrais sentiments. Et l'idée de la perdre m'était insupportable.
Aussi, j'allai directement voir Francesca, elle était sa meilleure amie et elle devait être au courant de tout. Je la retrouvai, entrain de fermer son casier. Dès qu'elle me vit elle se dirigea vers moi.

_ Léon est ce que c'est vrai ? ..

_ qu'est ce qui est vrai ? demandai je énervé que depuis ce matin, on ne cesse de me parler de trucs dont je ne savais absolument rien.

_ que le faite que tu sortes avec Vilu est un pari ?

._ bien-sûr que non. Fran, j'aime Vilu. Et je suis avec elle car je veux être avec elle.

Elle sembla soulagée puis me sourit. Je lui demandai alors la question qui me brûlait les lèvres.

._ c'est quoi cette histoire de pari?

_ eh bien........

Elle me raconta tout ce qui s'est passé ce matin, ce qui expliquait le comportement de Vilu à mon égard.
Après j' appelai Vilu, pour lui parler mais je tombai sur son répondeur 3...4...5...6... fois. Je finis par abandonner et rentrai chez moi, puisque je n'avais pas entraînement aujourd'hui.

PDV : Diego

Une fois la fin des cours arrivée, je sortis du lycée et rejoignis l'endroit où nous nous étions donnés rendez vous. J'arrivai et aperçu Ludmila adossée contre un arbre. Elle me vit et me sourit :

_ Diego !

_ hey salut toi ! Pourquoi tu souris comme ça ? demandai je

_ c'est un sourire de victoire. Je suis ravie de t'apprendre que j'ai réussi à cassé le couple " Leonetta" m'apprit elle toujours avec son sourire de peste.

Je souris en retour content et satisfait.

_ oh t'es géniale !

PDV : Vilu

Enfermée dans ma chambre, je ne cessai de pleurer depuis une, deux ou plusieurs heures. J'étais blessée et encore une fois je me sentais bête. Mon regard se posa sur la grosse peluche rose qu'il m'avait offert, le samedi passé. Le souvenir de cette belle journée m' attrista encore plus. Et je fondais en larme encore une fois. Puis je finis par m'endormir, épuisée d'avoir autant pleuré.

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Le lendemain, je me réveillai difficilement.
Je n'avais pas envie d'aller en cours mais je n'avais pas le choix. Je m'apprêtai pour aller en cours et me vêtue d'une simple robe rose avec mes converses blanches.
J'allai au lycée, pas très enthousiasme.

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