Chapitre 15

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Cela fait plusieurs jours que nous courons après les traces des orques qui ont enlevées Mery et Pipin. Cela est très épuisant, mais je dois tenir bon, il faut les sauver. Allongé sur le sol en amont, je vois Aragorn qui écoute les vibrations de la terre, afin de repérer l'ennemis. Ce qui m'impressionne grandement.

- Ils ont forcé l'allure, déclare-t-il avant de ce relever, ils ont du flairer notre présence. Vite!

Il reprend alors sa course de plus belle, ne nous laissant aucun répits. Legolas n'est pas très loin d'Aragorn, suivi de loin par Gimli et d'encore plus loin par moi. Oh comme je déteste courir.

- Allez Gimli et Lucy, nous encourage rapidement Legolas.

Gimli s'arrête quelque courte minute, ce qui me laisse le temps de le rattraper après une petit escalade.

- Trois jour et trois nuit, entame essouffler celui-ci, sans manger... ni ce reposer...et aucun signe de notre gibier, continue-t-il en reprenant sa marche, alors que peut bien raconter un rochet.

- Ha...ha...Aragorn...sais...ha...ce qu'il fait...ha...ha

Gimli me jette un regard inquiet mais nous savons tous deux que nous ne pouvons nous arrêter, pas maintenant. Heureusement en trois jour j'ai réussis à apprendre à ignorer mes douleurs et à m'empêcher d'abandonner, ce qui est un véritable exploits pour quelqu'un comme moi qui ne cours pratiquement jamais. Tu à un objectif des plus motivant. C'est clair que c'est pas à un cour de sport que ce serais arrivé. Nous courrons encore et encore jusqu'à arriver à un passage légèrement boueux. Je vois qu'Aragorn et Legolas qui ce sont arrêté, le premier étant à genou et tenant quelque chose dans sa main. J'ai juste le temps de les rattraper qu'il reparte de plus belle, me laissant pantoise.

- Oh c'est pas vrai...

J'entend soudainement  Gimli tombé derrière moi et Legolas le remarque également.

- Plus vite Gimli! Nous gagnons du terrain.

Gagner du terrain?! Cela veut dire qu'on ce rapproche de Mery et Pipin.

- Allez Gimli, Courage, je m'exclame en reprenant ma course.

- Les longues distance m'épuise, il commence à argumenter en courant derrière moi. Nous les nains, sommes des sprinters. Redoutable sur les courtes distance.

- Et moi je suis casanière et pourtant ont est là. 

Nous grimpons une légère côte pour arriver en haut de la colline et observer la route à venir.

- Le Rohan, indique Aragorn, pays des seigneurs des chevaux. Quelque choses d'étrange est à l'œuvre ici.

- D'étrange, et de mauvais, je rajoute sentant moi aussi les ondes que dégage ces nouvelles terres.

- Une force maléfique donne des ailes à ces créature, continue Aragorn, et ce dresse contre nous.

Mis en garde, nous commençons à descendre, Legolas bien devant.

- Legolas, appelle Aragorn. Que vois vos yeux d'elfes.

À sa demande Legolas s'arrête et observe quelque instant les terres au loin.

- Leur tracent dévis au Nord-Est, nous informe-t-il.  Ils conduisent les Hobbits en Isengard

- Isengard, je réalise soudain, ce n'est pas là où ce trouve...

- Sarouman, termine Aragorn d'un air grave.

Réalisant le danger qu'encoure nos amis, nous reprenons la route. Car si les orques arrivent jusqu'à Sarouman, je crains qu'il ne fasse du mal à Mery et Pipin. Même si je sais qu'ils sont cencé ne pas y arriver, il y a toujours ce doute en moi. Tant de chose ne ce sont déjà pas passé comme prévu. Et tu a pue en corriger beaucoup. 

Le seigneur des anneaux : La fille de l'autre mondeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant