Lise McGonagall Tome 1 : une guerre sans fin

Mutilation

Je me réveille avec un gros mal de tête, je ne me souvenais pas de se qui c'est passé jusqu'à ce que des images refont surface, je me souvint alors que je venait de perdre une des personne que j'aimais le plus au monde mon âme sœur. Mon chagrins était immense, tellement que je me mit à crié pour l'extériorisé, j'avais perdu le contrôle de mes pouvoirs, tout les objets autour de moi volée alors que moi j'étais tomber à genoux. quelqu'un entra dans la chambre tout en esquivant les objets puis arriva devant moi et me fit boire une potion de sommeil sans rêve. Je m'endormis aussitôt.

Je me réveilla dans une chambre inconnu, les murs étaient recouvert de tapisserie marron, avec des meubles beige. À côté du lit simple sur lequel j'était, il y avait une chaise sur laquelle une personne que j'apprécie beaucoup était assise.

- Nono

il me sourit

- Comment vas tu ?

- je, qu'est-ce que je fais là ?

- Albus à penser que sa te ferai du bien de t'éloigner de ce qui se passe actuellement.

je sentis les larmes me monter aux yeux, je ne reverrai plus jamais l'amour de ma vie. je n'arrive pas à y croire, je me sens si seule soudainement sa faisait tellement mal. Mes larmes coulèrent sur mes joues
Norbert se leva et me prit dans ses bras.

- Tout s'arrangera pour toi, j'en suis sûre.

- Tout ceux que j'aime meurt !

- pas tous, ne t'en fais pas.

- je ne pourrai pas reperdre quelqu'un, cela me ferait trop de mal.

- je sais, mais je suppose que Ralf t'as dit pour Tina.

- oui mais je ne veux pas la perdre.

- Nous n'y pouvons malheureusement rien.

Quelqu'un frappa à la porte et entra. c'était Tina qui était dans un fauteuil roulant. sa peau était très frippé, elle était maigre et ses cheveux complètement blanc.

- Tina !

- Lise, comment vas tu ?

- un peu mieux merci. et toi?

- sa peut aller.

elle me fit un petit sourire.

- le repas est près, vous venez ? 

- j'arrive.

je me changea avec  mes vêtements d'une de mes valise qui avait été emmené ici. 

Après manger je fit la vaisselle et garda discrètement un couteau. 

Je me dirigea vers ma salle de bain que je ferma à clé qui est relié à ma chambre, je me déshabilla, j'alluma la douche/baignoire, je tendis mon bras sous l'eau et avec le couteau me fit trois coupure au niveau du poignet, je le refait sur l'autre bras et regarde mon sang coulait. Ce n'est pas la première fois que je le fait, j'avais commencé lorsque Lily et James sont mort et que Sirius à été enfermé à Azkaban, je m'étais accidentellement coupé, mais me faire ça me faisait oublié ma douleur du cœur, sa me faisait du bien, j'avais dû arrêté à mes 9 ans lorsqu'Albus s'en ai rendu conte. Après avoir finis ma douche et m'être préparé, je cacha le couteau de façons à ce personne à part moi ne le retrouve. Je regarda mon miroir à double sens, j'ai passé l'autre morceau à Hermione pour que l'on puisse communiqué tout les jours. 

Avec Norbert, nous allons tout les jours nous occupés des animaux, sa me faisait pensé à autre chose mais lorsque l'on remonté à chaque fois la réalité me venait en face et je me remutilé chaque soir quand je prenais ma douche et après je parlé à Hermione comme si tout allé bien. Lorsque je n'était pas seule je faisait comme si tout aller pour le mieux mais au fond je suis détruite. L'état de Tina devenait de plus en plus alarment, son état se dégrader à vitesse grand V, j'ai entendu le médecin qui s'en occupait dire qu'il ne lui reste que quelques mois, 5 maximum. Depuis j'essaie de passé le plus de temps possible au près d'elle, Ralf est revenu de Voyage lorsqu'il à été mis au courant  alors avec Norbert, lui, moi et Tina on passer toutes nos journée ensembles. J'ai peur pour elle, je ne veux pas qu'elle me laisse aussi, j'ai l'impression que tout ceux que j'aime finissent par me quitté, je n'en peut plus, à chaque mort et chaque jours sans eux je me sens me briser un peut plus mais je n'en parle à personne, je veux leur faire croire que je suis heureuse, car je sais que si ils savent ce que je me fait, ils vont être malheureux et m'en voudront.