Part.20 - LA GOUTE DE TROP

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Il ne m'a pas laissé le temps de dire quoi que ce soit, il n'a suffit que de trois secondes, trois secondes pour que je finisse la tête dans le mur. Au moment où il m'a attrapé les cheveux pour me relevé j'ai pu apercevoir le renfoncement dans le placo que m'a tête avait fait. J'essayais malgré tout de lui expliquer que j'étais bien chez le médecin car si je lui disait la vérité s'en était fini pour moi, et de toute façon quoi que je lui disait il ne me croyait pas et il s'en foutais. 

Tout ce qu'il lui importait là, tout de suite c'était de vider sa rage sur moi, non pas sur un mur car ce  n'est pas assez drôle, pas assez divertissant. Le mur lui ne fait pas de bruit, il ne saigne pas non plus. Mais tout comme le mur, moi je ne me défendais pas. 

Il fini par me dire pourquoi il était si en colère contre moi, il avait fait le tour de tout les médecins pour me trouver, il avait demandé a tout les patients qui attendaient leurs tours si par hasard ils ne m'auraient pas vu. Il leurs demandaient si ils n'avaient pas vu une jeune brune avec une robe rouge, et bien sur personne ne m'avaient vu car je n'y était pas. Tout ça été de ma faute, je n'aurai pas dû lui mentir, je me sentais mal et sale de lui avoir menti et d'avoir profité de sa confiance pour aller me balader avec une copine en ville. Mais ça faisait tellement de bien de pouvoir retrouver un semblant de liberté comme avant, je me sentais bien et tranquille loin de lui. Alors je continua a mentir, préservant le peu de bon souvenir que j'ai pu avoir quelques heures plus tôt, je lui inventa beaucoup de chose jusqu'à ce qu'il se remette a hurler et a me jeter sur la porte fenêtre. Il était dingue, et moi je n'en pouvais plus, je m'étais appuyer sur la porte pour reprendre mon souffle et soulager mes jambes qui me faisaient horriblement mal. C'est là qu'il se mit à me regarder d'un regard tellement noir que je cru y apercevoir les ténèbres, il m'attrapa par les cheveux et me poussa sur le dos du canapé, le haut de mon corps  était parallèle à l'assise tendit que me jambes étaient tendus sur le dossier. d'un coup de bras il me bloqua dans cette position et il baisa de son autre main mon jean. Je commençait a me débattre en réalisant ce qu'il était en train de faire mais il était bien plus fort que moi et il réussissait à me paralysait sur place. Il se pencha sur moi et me chuchota dans l'oreille que de cette façon il allait me prouver que je n'étais que à lui, rien qu'à lui. 

Quand il eut finis, il me jeta à terre et me cracha dessus. Je me suis mise à pleurer, je n'en revenais pas qu'il avait été jusque là. Ce n'étais pas la première fois qu'il me le faisais, qu'il utilisait la force pour en venir a ses fins sexuelles. Mais là c'était plus, beaucoup plus. Il venait clairement de me  violer. Je me sentais tellement salie et détruite. 

Il venais de signer les derniers jours de cet enfer.

VIOLENCE CONJUGALEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant