Chapitre onze : Le cuélèbre

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Dans un pays de légende, où règne la magie, le destin d'un grand royaume repose sur les épaules d'un jeune homme. Son nom?

Merlin

.

Arthur et Merlin écoutaient les doléances du peuples depuis plusieurs heures. Tous les jeudis, le peuple pouvait venir au château et demander de l'aide au roi. La plupart du temps, il s'agissait de problème sans importance. L'entrepôt de la récolte de blé était infester de rat, le voisin d'un paysan avait tuer une de ses bêtes1. Autant dire que les deux amis trouvaient le temps bien long en ce début de journée. Cette idée venait de Merlin, qui pensait qu'un roi à l'écoute de son peuple serait une bonne chose.

En théorie ça l'était, mais Arthur s'ennuyait fermement. Lorsque le paysan fut rembourser pour sa bête tuer et qu'il quitta la salle du trône, il se permit un soupire de lassitude.

- Dit-moi que c'était le dernier.

Il passa une main sur son visage fatigué et observa son ami entre deux doigts .

- Vous plaisantez, ce n'est que le troisième de la journée, lui répondit Merlin en consultant le registre. Et nous en avons treize en tout.

- Plus que dix... merveilleux. Je devrais être en train de préparer le plan d'attaque pour les Terres désertes et faire regretter à ce Roi Claudas ce qu'il à fait. Mais non, au lieux de cela, je dois écouter les inepties de mon peuple qui semblent s'être tous ligué contre moi pour me rendre fou.

Il se frotta l'arrête du nez sous le regarda amuser de Merlin.

- Le peuple à besoin de savoir que vous les écoutes et qu'ils sont entendus par leur roi, et puis sans la réponse de vos alliées, vous ne pouvez rien faire pour le prince Claudin.

Arthur bougonna à nouveau.

- Quoi qu'il en soit Merlin, la prochaine fois que tu sera pris d'une aussi brillante idée, tu me feras le plaisir de la garder pour toi !

Merlin ricana avant de se pencher sur l'accoudoir du trône de Guenièvre qu'il occupait lors des doléances du peuple. Il s'était rapprocher d'Arthur et sans même s'en rendre compte, ses yeux s'attardèrent sur le visage d'Arthur. Ce dernier le regarda plusieurs fois avant de détourner le visage à chaque fois.

- Quoi ?

- Hum ?

- Pourquoi est-ce que tu me regarde ainsi ?

- Quoi je n'es plus le droit de vous regardez ? s'étonna Merlin avec un petit sourire.

Arthur prit une autre position, de façon à dissimulé son visage gêner. Merlin l'était lui aussi. L'un comme l'autre n'arrivaient plus à déterminé la nature de leur relations. Etaient-ils juste des amis ? Mais des amis ne passaient pas leur temps à penser à s'embrasser.

Parce que c'est ce qu'ils leur arrivaient. Leur premier baiser avait été sur un coup de tête, juste... parce que Merlin en avait marre d'entendre la jalousie d'Arthur. Cette proximité soudaine avec son ami et cette mort imminente qui les attendaient, l'avait sans doute pousser à agir.

Mais là était le problème. Ils n'étaient pas mort. Ils avaient survécus et avait même réitérer l'expérience pour savoir si ce qu'ils avaient ressentie étaient sur le coup de la magie ou pas. Et une fois de plus le destin était contre eux. Ils avaient tous deux adorées. Pire ils en rêvaient à chaque instant, mais c'était bien trop gênant de l'avouer et ils avaient fait croire qu'ils n'y avaient rien eux.

Puis l'alcool avait réveiller cette envie et avait suffit à pousser Arthur à franchir la ligne qu'il s'interdisait de franchir. Et enfin la joie d'être rentrer sain et sauf et la tristesse d'avoir perdus un ami avait pousser Merlin à faire le deuxième pas.

Merlin Saison 6 de Mariko-8Où les histoires vivent. Découvrez maintenant