A typical love story (bxb)

Alexandre

Je me réveillai parce que je sentis Noah s'éloigner de moi brusquement. Il était malade à nouveau. Je caressai doucement son dos et il se releva.

« Désolé de t'avoir réveillé, dit Noah.

- C'est correct.

- Désolé, je suis tellement désagréable quand je suis malade et...

- Hey, dis-je. T'as pas du tout été désagréable d'accord? Être malade quand on boit est une chose normale, excuse toi pas pour ça.

- T'es pas malade toi, me dit Noah.

- J'ai un énorme mal de tête. Je vais chercher des antidouleurs, dis-je en me levant. »

En allant chercher les antidouleurs, je croisai Raphael.

« Ils vont mieux? me demanda-t-il.

- Pour Élie et Olivier, j'en ai aucune idée, mais je sais que Noah vient d'être malade.

- Et toi tu l'es pas?

- Non, j'ai moins bu qu'eux faut croire, dis-je.

- Tu veux que j'aille voir si Élie et Olivier vont mieux?

- Ça serait cool.

- Les deux sont dans la chambre d'amis?

- Ouais. »

Je pris le pot d'antidouleurs et alla dans la cuisine pour prendre un verre d'eau. J'avalai deux pilules et emmenai le reste dans ma chambre pour que Noah puisse en prendre, lui aussi.

Quand j'entrai dans ma chambre, Noah s'était rendormit. Je posai donc le verre d'eau et le pot de pilules sur la table à côté de lui avant de me coucher sur le lit.

À cause du méga gros mal de tête que j'avais, j'arrivais pas à dormir. De toute façon, il était à peu près dix heures du matin.

J'entendit quelqu'un frapper à ma porte de chambre avant que celle-ci s'ouvre.

« Alex, Élie est malade depuis tantôt.

- Okay et Olivier?

- Il dort bien dur, dit-il.

- Je pense qu'on a des médicaments pour les maux de coeur, dis-je.

- Il y en a plus, dit Raph. Je vais aller en acheter, mais va falloir que t'aille le surveiller.

- Okay, dis-je. Reviens vite. »

Il hocha la tête et sortit de la maison. Je me levai et alla dans la chambre d'amis pour veiller sur Élie.

« Qu'est-ce qui s'est passé hier? Je suis où? demanda Élie.

- T'es chez moi, dis-je. Et t'as un peu trop bu hier.

- Ça je le sais, mais je parle après.

- Rien, dis-je. On est rentrés ici pour pas que tes parents soient trop enragés contre toi et Noah.

- Merci, dit Élie.

- Y'a Pas de quoi, dis-je.

- Donc le gars qui est entré tout à l'heure, c'est...

- Mon frère, Raphael.

- C'est drôle, dit Élie. Je m'appelais comme ça.

- Je sais, dis-je. Noah me l'avait dit quand je lui avais parlé de mon frère. »

Élie se pencha à nouveau sur la chaudière que je lui avait emmené hier et vomit à nouveau.

« Désolé, dit-il après.