Ténèbres du sort ~suite~ [Riren]

Chapitre 34: Début du bonheur (8)

- Et après, il y aura celui de Mikasa.

- Houla, tu t'emballes Kuchel. C'est dans longtemps!

- De toute façon, Mikasa m'a confié qu'elle n'était pas très mariage.

- Comme je le disais à Hanji. Maintenant, le mariage n'a plus le même but qu'avant.

- Mais certains parents ne comprennent pas pourquoi leur enfant ne veulent pas se marier.

- Où ne veulent pas avoir d'enfant... Les temps changent.... Où est Tom?

- Je crois qu'il était allé dans la piscine. Puis je pense qu'il est allé au bar. C'est singulier, il m'a semblé le voir tout habiller mais complètement trempé assis avec Hanji et Marco.

- Je crois qu'il n'a pas encore compris le concept d'une piscine.

- Qu'est-ce que j'aime mon père! Dit Kuchel. On ne s'ennuie jamais avec lui!

- Je veux bien te croire. Il revient vivre dans la région?

- Oui, il s'ennuie tout seul. De toute façon, je suis sa seule famille maintenant. Et je pense qu'il veut passer plus de temps avec ses petits-enfants. Mikasa l'aime beaucoup mais ne passe pas beaucoup de temps avec eux.

- C'est vrai que l'avais peu vu chez vous depuis que je vous connais...

Je le regarde essorer son gilet dans la plante de Livai, gênant misty qui y avait fait son lit pour la nuit.

- Petra a l'air heureuse... fit Kuchel. Elle mérite ce bonheur.

- Ne t'inquiète pas, elle va rester quand même au manoir.

- Tant mieux ça me rassure.

- Bon, je vais essayer de trouver Livai. Hein?

- Bonne chance, fit Kuchel en me faisant un clin d'œil. On me l'a fait pas à moi.

Je rougis, et le cœur battant, je cherche mon mari.

- Sur la plage, me répondit du regard Hanji en se réservant d'un verre de cocktail.

J'ouvre la baie vitrée et voit en effet quelqu'un assis dans le sable, à quelques mètres de la mer.

J'enlève mes chaussures et vais le rejoindre sur la sable chaud. Il regardait calmement le coucher de soleil.

Il se retourna pour voir qui venait l'embêter. Mais il vit que ce n'était que moi alors son visage se radoucit.

- Pourquoi tu restes tout seul chéri? Demandais je en m'asseyant à côté de lui.

Il prit ma tête pour la poser délicatement sur ses genoux.

- Le silence... c'est plutôt bien le silence... non?