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- bonjour Nasie.

- coucou Pralinski.

Je rigole et m'assois à ma place. Nasie est en camisole mais n'est pas sous sédatif. Elle semble calme mais bon calme avec Nasie Portman, ça ne dure pas. Mais aujourd'hui coûte que coûte,j'arriverai à parler avec elle.

- alors ça va ?

- comment irais quelqu'un d'enfermer ?

- je ne sais pas je n'ai jamais été enfermé.

Elle rigole et rapproche son visage de la vitre.

- on est tous enfermé Pralinski. Prisonnier d'une société corrompu, prisonnier du devoir que nous devons accomplir, prisonnier de règle que d'autres prisonnier ont créer. Prisonnier d'un passé douloureux qui ne partira jamais. Prisonnier de nous même.

Pete a totalement raison. Au lieu de me répondre simplement qu'elle se sent prisonnière, elle me sort tous ça. Je me laisse tomber sur mon siège troubler par cette jeune femme. Tant pour la beauté de ces yeux que par son comportement. Mes yeux dérivent vers Clark qui se trouve du côté de Nasie aujourd'hui et le regard qu'il la porte me trouble encore plus. Mais il a regarde avec amour là!

Je regarde Nasie puis Clark puis Nasie. Se pourrait il que...

- connaît tu Roméo et Juliette Nasie ?

- pfff... Je suis petite folle, mais pas stupide. Cette comédie pour personne gneugneu m'emmerde complètement.

- je pensais que tu allais aimer.

- et pourquoi ça, Pralinski?

- les amants meurent tous les deux à la fin. L'amour ne triomphe pas en temps que telle.

Comme imaginé, son regard devit vers Clark. Nasie aurait des sentiments?

Elle garde son allure mais son sourire diminue légèrement. Putain, je me paierai une bière si je réussi!

- ça m'emmerde! Point!

- pourquoi ?

- tu n'es pas censé m'aider à sortir d'ici Pralinski ? Parce qu'à mon avis tu t'egare là. Elle est au courant Nath?

Elle essaye de renversé le jeu. Mais cette fois non!

- faisons un pari Nasie.

Elle lève un sourcil et rigole. Elle rapproche son visage et m'offre un sourire carnassier.

- je t'écoute.

- si tu réponds peu importe la manière à mes questions, je fais en sorte que notre prochaine intervue se fait sans vitre.

Elle cligne des yeux et éclate de rire.

- bien essayé Pralinski ! Mais ces connards me craignent comme la peste et ne me laisseront jamais te parler sans vitre.

Allez Xander, à toi de jouer.

- Nathalie sait se montrer persuasive.

- je m'en branle.

- elle a pourtant réussit à faire en sorte que tu l'accepte en tant qu'avocate.

Son sourire disparaît et elle me regarde de façon hautaine. 1 point pour moi !

- je- t-ecoute!, lâche t elle.

psychopathe womenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant