Sois Miens Pour Toujours... ~ ( Todobaku ) [ Tome 1 ]

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Aujourd'hui, je me leva tôt ( pour une fois ) bien décidé à me faire remarquer par Todoroki. Je mit mon uniforme et me dirigea vers la salle de bain pour me placer devant le miroir. Je prit un peigne se trouvant sur le lavabo et me brossa les cheuveux à la manière de Shouto mais une fois terminé mes cheveux reprirent leur forme originel comme si un pétard venait d'exploser dedans, je m'acharna alors sur mes mèches blonde indisciplinés.

《PUTAIN ! Je recommença à brosser mes cheveux plus violemment.
- TU VAS ARRÊTÉ DE GUEULER SALE GOSSE !
- TA GUEULE LA VIEILLE ! 》Mes cheveux avait retrouvé la magnifique coupe de mon glaçons préfèrer.

J'appliqua alors une grosse masse de gel pour que ceux-ci tiennent en place avant de descendre prendre mon petit déjeuner.

《Qu'est-ce qu'il c'est passé avec tes cheveux ?! Demanda ma mère.
- Rien !
- ARRÊTE DE GUEULER ?
- JE GUEULE PARCE QUE TU GUEULE !
- MAIS JE GUEULE PAS !
- TA GUEULE !
- VIENS ICI SALE GOSSE. J'esquiva l'attaque de ma mère.
- Tss...》 Je prit un bol de céréales et me dirigea vers le salon.

Quand j'eut terminé mon bol je me précipita vers la cuisine et le posa dans l'évier puis prit mon sac et sortis de chez moi. J'avança dans la rue sans prêté attention à Deku qui criait le surnom débile qu'il m'avait donné et accélèra le pas. Une fois les grandes porte de Yuei passer, je me dirigea directement un classe et vola la place de Deku qui se situait à côté de double face qui lui était déjà là, affalé sur sa chaise attendant patiemment l'arrivée de Mr Aizawa. Deku rentra en classe à son tour et s'approcha de moi.

《Ka... Katchan... ? Je me leva de ma chaise pour être plus imposant face à Midoriya.
- Quoi !
- Tu... Tu es a... assis à ma... pla... place... Midoriya tremblait.
- ET ALORS ?! Ochaco débarqua dans la pièce.
- Katsuki mais c'est quoi cette coupe de cheveux ? Je me rapprocha d'elle avec un regard noir..
- ELLE A UN PROBLÈME GRAVITÉ ZÉRO ?! Uraraka trembla à son tour.
- No... Non enfin c'est juste que c'est pas ton style de d'habitude...》 Ochaco se rapprocha de Shouto pour lui chuchoter quelque chose à l'oreille pendant que je me rasseyais.

Shouto se tourna vers moi pour me regarder avant de saigné du nez et de partir en courant de la salle. Au moin il m'as remarqué. Est-ce qu'il m'as trouvé beau ? Je me perdis dans mes pensées avant que Shouto ne rentre dans la salle en me jetant quelque regard furtif suivie de Aizawa et les autres élèves. Le cours commença et mes joues prirent une couleur rose pivoine quand je remarqua que Todoroki me fixait. Est-ce que j'ai quelque chose sur le visage ? Je toucha mon visage un peu paniqué pendant que Shouto ricanait, je lui fit alors les gros yeux pendant que lui me regardait avec des yeux doux et un de ses rares et magnifique sourire. Je rougit encore un peu plus puis détourna le regard pour me reconcentrer sur le prof. Le cours passa plutôt rapidement et je crois que Shouto n'as jamais arrêté de me regarder, et j'était satisfait. Kirishima si mit à courrir dans ma direction pendant que je rangeais mes affaires puis il rigola.

《Ah ! Ah ! Mais c'est quoi cette coupe Bakougo ?! Je le prit par le col.
- Ça te pose un problème ?! Il rigola encore.
- Non pas du tout Baki c'est juste que sa fait bizarre. Je le lâcha.
- Ne m'appelle plus jamais Baki !
- Ok, Katsi ! Il sorta de la pièce en courant tendit que je terminais de ranger mes affaires puis je sentit une main se poser sur mon épaule.
- Moi je trouve que sa te va plutôt bien. Dit Todoroki.
- Ouais merci... Je ne savais pas trop quoi répondre, puis il commença à ranger mes affaires. Hey touche pas à ça... S'il te plait.
- S'il te plait ? Il rangea mon dernier cahier dans mon sac.
- Bas oui c'est la politesse ! Il rigola légèrement.
- Toi et la politesse sa fait deux non ?
- Ouais aller viens on va manger.
- On ? Tu insinue qu'on mange ensemble ?
- Tss... Bas ouais pourquoi ? Mon coeur se mit à palpiter en attendant la réponse de mon Todoroki pendant quelque secondes qui me paraissait être des heures.
- Ok, si tu veux. Je lâcha un soupir de soulagement intérieur.
- De toute façon tu y es obligé ! 》Nous sortâmes de la classe et nous dirigeâmes vers la cantine.