Une Année Inoubliable (Ross Lynch fanfiction) EN PAUSE

Chapitre dix-sept

Hello !

Voici le chapitre dix-sept ! Il est un peu particulier puisqu'il y a un point de vue externe à la fin, donc j'espère que vous l'aimerez !  Presque 1700 lectures ! C'est énorme ! Continuez à voter et surtout à commenter, ça me motive pour écrire ! :) La suite sera probablement postée la semaine prochaine !

Bonne lecture !

PDV de Ross :

Je n'irai pas jusqu'à dire que j'ai sauté littéralement de joie lorsque Jess a accepté, mais presque. Je lui dépose un baiser sur la joue et elle me glisse avant que je ne quitte la chambre :

- Nous partons cet après-midi. Je vais regarder les horaires de vol sur le net. Va faire ta valise, j'informerai moi-même ta mère de notre départ. 

- Merci encore, Jess. 

- Y a pas de quoi.

Je mets moins de vingt minutes à boucler ma valise. Je case ma guitare dans son étui, fourre mon MP3, ordinateur et un bouquin dans mon sac de cabine. Sitôt terminé, je frappe à la porte de Jess. Elle m'ouvre en Jean slim tout simple et pull à capuche coloré. 

- Wow, je souffle en lui donnant un coup de coude taquin, toujours aussi belle, même en tenue décontractée.

- Tu me flattes, dit-elle sur le même ton. 

- Je peux emmener ma guitare, au fait ? 

- Alors, tu peux t'attendre à ce que mes sœurs te demandent un morceau...

- Pas de problèmes, je réponds en haussant les épaules, tant que je ne suis pas harcelé tous les jours, j'ajoute en souriant. 

- Oh ça, réplique Jess, je ne te garantis rien !

Je l'attire contre ma taille. Elle se laisse faire, docile. Je roule une de ses boucles soyeuses entre mes doigts. Leur texture est si douce. Je respire profondément leur parfum. Il m'enivre peu à peu et me fait tourner la tête. 

- Si elles sont aussi charmantes que toi, je lui confie dans l'oreille, je pense que je vais rapidement les apprécier...

- Pas trop, j'espère, murmure-t-elle. Je ne voudrais pas qu'elles me détrônent...

- Tu es indétrônable.

Je m'empare de ses lèvres doucement, désireux de lui insuffler un peu de ma bonne humeur soudaine. Elle s'accroche à moi, telle une bouée, et me rend mon baiser avant de poser sa tête sur mon torse. Curieusement, après de longues secondes toujours enlacés, mon T-shirt commence à s'humidifier. 

- Jess ?

Je relève son menton pour apercevoir des traînées de mascara qui envahissent ses joues. Elle essuie rageusement d'un geste de la main, les larmes qui perlent encore au coin de ses yeux. Je l'ai rarement vue dans cet état : contente et taquine il y a quelques minutes et soudain triste celles qui suivent. 

- Hey, qu'est-ce qu'il ne va pas ? je lui demande. 

- Rien du tout, bredouille-t-elle en reniflant. Excuse-moi, ça doit être le trop plein de pression qui s'accumule. Ma vie est actuellement un grand bazar... mais j'ai toujours un petit-ami formidable qui fait tout pour me réconforter.