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Chapitre 5

Il commence à faire tard, et j'ai seulement tuez une dizaine de slime me permettant d'avoir seulement 26 pieces de bronze et pas encore niveau 3..

Je me dirige vers la ville en ayant rappelé ma petite armée 'chérie'.

Arrivé à la porte, j'aperçois le garde à qui j'avais posé la question la dernière fois.

- Resalut jeunot, me dit-il.

- Ouais.. tu sais où je peux loger et me nourrir pour 26 pieces de bronze? , demandais- je avec espoir.

- Nourrir va dans l'auberge à gauche de la porte mais pour te coucher c'est mort , dit il d un sourire maladroit.

Je soupire, et le remerci pour ces informations.

Je me dirigea vers l'auberge ayant le nom 'Le Cochon Grillé', mais il vendait pas de cochon.

On m'explique ?

Bref, de toute façon j'aurais pas eu assez , du coup je me suis rabattu sur une boullie de boeuf et patates, et un verre d'eau pour 20 pieces de bronze..

Je mâche lentement ma nourriture afin de satisfaire ma faim trop grande pour cette boullie..

Pendant ma lente mastiquation, j'entendis une discussion assez forte entre le barman , qui ressemble plus à un bûcheron avec sa barbe hirsute et ses bras plus gros que moi.

Et ce qui semble être un nain ou un gnome, je sais pas trop et en vrai je m'en fous un peu, en tout cas il est chauve et ressemble à monsieur patate.

Cette représentation me fait sourire en coin.

Finalement, on dirait que le barman n'en peux plus et sort une épée de derrière son bureau.

Le nain sort une hache de son dos, et les deux se toisent, la tension est palpable.

Ayant fini mon repas, je me lève, me dirige vers le comptoir et pose les 20 piécettes de bronze et sort du bar.

Heureusement, car des que j'ai mis un pas dehors j'entends un début de bagarre générale.

Je me dirige vers un quartier aléatoire et m'asseoit par terre dos à un mur en pierre, le sol bien que sec, est glissant.

Cette ruelle protégée du vent, à un silence chaleureux étonnamment, ainsi je pus m'endormir.

Le lendemain, au aurore à cause d'un cochon qui n'avait rien d'autre de mieux à faire que me lécher dès le matin, je me réveilla et regarda mes environs.

La ruelle tranquille etait en faites l'intersection à la rue principale où le marché avait lieu et le stand plie poil à côté de moi était celui à cochons, youpi..

Je me leva, plein de bave, et me dirigea vers la fontaine situé sur la place publique.

Arrivé à la fontaine, je me lava abondamment le visage avant de me rediriger vers la sortie de la ville.

Quelle fut ma surprise quand je vis une charrette bloquée le chemin, ce qui m'obligea à faire le tour de la ville pour aller prendre une autre sortie que la sortie habituelle, celle du nord.

Afin d'arriver à la sortie de l'Est, je traversa ce qu'il semble être les bidons ville.

En les traversant, je vis un jeune enfant loup se faire violenter par un homme sûrement ivre.

J'hésite à intervenir, puis je me souviens de quoi sont capables les hommes.

Je m'approche et je pousse l'ivrogne qui trébuche avant de me regarder avec des yeux d'assassin.

Il sort une lame d'une vingtaine de centimètres, puis s'endort ??

Même moi je trouve cela louche, ainsi je decide d'invoquer un de mes squelettes et d'aller affronter l'ivrogne qui .., dormait bel et bien..

Mon squelette le tua sans pitié, pendant que je m'adressa au jeune enfant loup.

- Ça va ?

- ...

- Ça va ??, me répétais je.

- ou..i.., balbutit-il.

- Comment t'appelles-tu ?, demandais-je d'un sourire.

- Lu..Lucas

- Bien Lucas, as tu un endroit où vivre?

Il secoue la tête négativement.

Je le regarde et lui propose quelque chose dont sa réponse est incertaine.

- Veux-tu venir avec moi ? Je compte être la personne la plus puissante qui soit, et toi que compte tu devenir ?

- Moi.. venir avec vous..? Je peux ..? , me demanda t-il timidement.

- Oui , lui repondis- je grand sourire.

- A..Alors je veux , s'il vous plaît..

« L'enfant loup Lucas veut rejoindre votre groupe, accepté vous ? »

Voilà ce que je vis via le système et bien entendu j'accepta.

« L'enfant loup Lucas a rejoint votre groupe »

« Maintenant, j'ai un allié pour m'aider » , pensais je d'un sourire carnassier qui fit frémir Lucas