Ce chapitre peut choquer les âmes sensibles
J'étais rentré chez moi depuis une demie heure, ma mère n'est pas rentrée, elle est sûrement allée se bourrer la gueule quelque part. Je me suis bien évidemment changée, j'enfilai un jean noir basique et un t-shirt à manches longues et col cheminé gris.
Je sors et vais chez ma chère petite voisine pour faire ses courses comme souvent. Je vais toquée chez elle, la salue, prends la liste, les sous, et parti en direction du centre commercial le plus proche.
Je finis les courses et retourne chez la vieille dame, elle fait les comptes, et me laissa dix euro. Je sortis, et allais à la boulangerie du coin. Je l'aimait bien car c'est dans un quartier peu fréquenté et plus petite je venais y acheter des patisseries avec mes parents.
L'odeur du pain chaud m'attaqua quand j'ouvris la porte. Une petite dame rousse, au regard gentil et au tablier bleu ciel, m'acceuilli d'un sourire chaleureux. Je lui demandais une brioche et une baguette qui me valèrent un total de 2€40. Je vais pouvoir manger pour une semaine environ. Je remerçiais la boulangère et sortit.
A peine je mis mon pied dehors que mon corps se glaça. En face de moi, sur le trotoire se tenait mon ancien professeur principal, Mr Kreepy. J'essayais de l'ignorer en tournant à gauche, mais après à peine deux pas je me retrouvais collée contre le mur.
Je commence à désespérer, j'ai la poisse où ça se passe comment ?
-"Tu vas pas t'en tirer comme ça, ma lucie, à cause de toi j'ai même plus de job."
-"Fallait pas vous en prendre à moi" dis-je en le repoussant.
Il ne répondit pas et m'attrappa les poignets faisant tomber mon sac d'achats au passage. Il tenait d'une main mes poignets au dessus de ma tête et colla son corps contre le mien. Je regardais de tout les côtés si une âme charitable pouvait intervenir ,mais il n'y avait personne à l'horizon hormis un petit vieux qui baissa le regard en accélerant le pas.
Mon ex-professeurs attrapa mon menton de sa main libre pour me faire regarder dans sa direction, il prit d'assaut mes lèvres, forçant par la suite l'accès à sa langue.Puis il commenca à faire descendre ses doigts le longs de mon corps, et soulevait mon t-shirt, pour me toucher les seins à son aise.
Je me débattais comme une folle, essayant de dégager mes mains de son emprise, de lui donner des coups de pieds, mais rien y fit. Je lui mordis la langue le plus fort que je pus ce qui le fit faire quelques pas en arrière. Mais il revint aussitôt, plus furieux et violent qu'avant. Cette fois si il me plaça dos à lui, collant son torse contre mon dos. L'un de ses mains me saisie fortement la gorge en serrant très fort, me laissant juste réspirer avec quelque difficultés. Son autre main vînt déboutonner mon jean et sa main rentra dans mon pantalon.
Mes tentatives redoublèrent mais je n'arrivais à rien, la façon dont il m'étranglait m'empechais de hurler au viol. La douleur, la peur, l'humiliation et tout mes ressentit résultèrent de mes larmes. Je pleurais à m'en bruler la rétine, à m'en cramer les yeux. J'en pouvais plus.
J'entendis un son au loin. Une sirène de voiture. Je sentis la prise autour de moi partir alors que mon corps tremblant s'effondra sur le sol. Le proffesseur venait de partir en courant, courser par de CRS. Et je vis un visage au dessus de moi, mais mes larmes brouillaient ma vision.
La personne devant moi, qu'à la voix j'avais conclut être une femme, me tendit un mouchoir que je noyais de larmes. Elle m'aida à me lever, me remit correctement mon pantalon alors que la honte s'emparaît de moi. Elle me disait des mots rassurant. Je vit alors la boulangère sortir de son magasin, c'était elle qui avait prévénue la police à défaut d'avoir eut le courage de s'interposer entre le violeur et moi. Cette gentille boulangère me tendit une brioche et une baguette fraiches, car les précédent hélas sont hélas tomber dans la terre du sol poussiéreux.
Je demandais à être ramener chez moi. La policière voulait à tout pris que j'aille d'abors à l'hôpital, mais sous mes supplications, elle se contenta de me donner son numéro et me déposa chez moi, me disant qu'elle repasserait dans la semaine pour des nouvelles.
-"Ca va aller" avait-elle dit avant de partir.
Je retenais ces mots et passais le portail de chez moi. Je rentrais. Je me douchais pendant 3O bonnes minutes pour effacer toutes traces de ses mains.
Puis..
Je me coupais, comme jamais auparavant. Je me coupais les cuisses, à n'en plus voir ma peau. Puis les poignets à n'en plus sentir mes bras, ma gorges, mon ventre..
Puis sans trop comprendre j'allumais ma caméra, et je commençais à filmer, face cam, sanguinolente, les yeux rouges, les larmes coulant en cascade de mes yeux.
-"Je vous jure que j'ai essayé, mais j'y arrive plus. J'en peu plus, les coups à la maisons..sont mon quotidien. Je n'ai pas de chez moi. Mon seul parent me tape, me frappe, m'insulte, me rabaisse et me terrorise... J'ai des bleus sur tout le corps, des coupures, des cicatrices, des equimoses..après j'ai essayer de..de me réfugier dans la mutilation. J'aurais jamais dû, je ne sais même plus à quoi ressemblait ma peau ou quelle était la sensation de n'avoir pas avoir mal. Et puis.. il y a eu ce professeur qui..a profité de ma détresse, de mes secrets, de ma faiblesse pour..pour avoir des, des..des rapports avec moi..J'avais pas le choix..Je l'ai laissé me toucher, je l'ai laissé me rendre sale, maintenant je me dégoute..Il m'a fait des choses que je n'oserais même pas citer..Heureusement, la sonnerie à toujours retentit avant qu'il ne..enfin..qu'il ne me..aille plus loin..qu'il la mette dedans. Puis la vidéo à été diffusée et tout ce qui m'étais chère c'est effondré. J'ai perdu mes amis et..le garçon que j'aime..Maintenant je crois que je subis du harcèlement..enfin je sais pas vraiment si s'en est..en tout cas je me fais frapper à l'école,on me verse de l'eau sur la tête, enferme dans les toilettes, découpe ma jupes, lance des boules de papiers, on me siffle, et les regards sur moi sont hautains, haineux et remplient de dégout... Je crois que moi même je me dégoutte. Et ce soir j'ai revu le prof..il m'a..m'a..violer enfin je..je ne sais pas si on considère ça comme du viol..mais il..m'a embrassé, toucher et..sa main..sa main elle..etait dans mon jean et..et j'ai eu si peur..je me dégoute, je suis salie, je me répugne, je m'épouvante..Je...je ..AIDEZ MOI.. je vous en supplis..J'ai jamais voulu tout ça moi.. Je voudrais en finir...actuellement il y a du sang partout..je commence à avoir la tête qui tourne.. avec un peu de chance c'est la fin et.. je n'aurais plus à endurer tout ça.. j'en peu plus..tuez-moi."
Salut les gens ! ^^
Je ne sais pas si c'est trop trash, mal écrit ou si il y a beaucoup de fautes mais pour ma défense il était tard XD actuellement quand j'écrit ça il est 02:54 hehehehe .
Quelque précisions :
-OUI même si il n'y pas eu de penétration, un rapport non consentit reste du VIOL. Le personnage hésite car elle est un peu naïve et aussi car la plupart des femmes qui subisse cela ne sont pas au courant que c'est du viol et ne pensent pas pertinent de porter plainte.
-Et deuxièment, pareil pour le harcèlement, elle en subit très clairement mais dans cette situation c'est dur de se l'avouer à soi même, donc le personnage est dans une sorte de dénie. On a tendance à trop penser que le harcèlement n'est que fictif voir non-existant, alors qu'il est bien réél et qu'il est PARTOUT.
Bref faites attention à ous les gens, et tentez de réagir si vous êtes dans une situations similaire.
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Make me smile again. (Castiel)
Fiksi PenggemarLucie cache de nombreux secrets, commencant avec des problèmes familiaux accompagnés de drames scolaires. Elle va avoir besoin de l'aide de quelqu'un pour lui faire reprendre pied dans son océan de soucis.