Deux semaines était à nouveau passé. William avait bientôt terminé l'école et se faisait une joie de pouvoir bientôt venir voir son John dès qu'il le voulait.
La chaleur commençait à se faire ressentir sur tout le pays. Certes, on ne pouvait pas temps sortir les changements à Liverpool, mais maintenant, les parcs était verdoyants.Ce qui était moins amusant et réjouissant était l'état de John. Il commençait à vraiment être mal. Il ne pouvait plus se déplacer seul et avait besoin de béquilles pour s'y tenir afin de garder son équilibre. C'était beaucoup dut à sa perte de poids soudain. Son corps avait du mal à suivre tout les changements qui se passaient.
Pour les vacances, les parents de John pensait partir en vacance dans la maison de campagne de ses grands parents afin qu'il respire un air plus frais et sain que celui de Liverpool. Mais ils ne savaient toujours pas comment il allait voyager avec un John malade à souhait.Pour John, la situation devenait invivable. Il déprimait de ne plus avoir de liberté et commençait à perdre espoir de pouvoir un jour vivre à peu près normalement à nouveau. Le médecin lui avait dit qu'il ne pourrait sûrement pas remarché avant presque un an. Le moral de John en avait encore repris un coup. Quand ses parents étaient absents, il n'arrêtait pas de pleurer. On ne lui arrêtait jamais de lui dire de rester fort, de se battre. Mais il en avait marre, marre de devoir faire comme si tout allait bien alors que non. Rien n'allait et rien n'irait plus avant des années.
Il se forçait de dire à tout le monde qu'il se sentait bien et de sourire un peu près tout le temps pour faire bonne figure alors que son teint pâle et les cernes creusé sous ses yeux le trahissait. Il n'avait que quinze ans et le monde entier lui demandait de vaincre une maladie plus que lourde.En cette journée de juillet, un samedi midi, William avait préparé un pic-nic à son petit ami. Il allait l'emmener dans le parc près de chez lui pour passer un moment seul avec lui. Il en avait marre de devoir rester dans sa chambre qui commençait à lui paraître plus que lugubre. William savait que John avait besoin de s'aérer un peu et de pouvoir un peu voir le monde extérieur.
Il était entré dans la maison, les parents de John lui avait donné l'autorisation et il était monté à l'étage. Il avait ouvert la porte de la chambre de John, voyant son petit ami aborder un large sourire en le voyant. William rit légèrement avant de s'approcher
- Tu sais ce qu'on va faire aujourd'hui ?
- Rester au lit comme depuis un mois déjà ?
William grimaça un peu et John rit doucement
- Non, on va aller picniquer dehors
- Vraiment ?!
- Oui, rien que toi et moi
John était d'un coup rayonnant. Il prit sa béquille avant de se lever pour aller chercher des vêtements dans son armoire. William le fit s'asseoir une fois qu'il avait finit de choisir sa tenue. Il commença alors à l'habiller avec délicatesse. William observa le corps de John. Il avait énormément changé en à peine un mois. Il avait presque la peau sur les os. Ses jambes qui normalement étaient bien rondes, étaient devenu toute fine. Il lui enfila un short et une t shirt. Il nageait dedans certes, mais il était à l'aise. John se sentait gêné de voir William l'habiller. Il était dégoûté de son corps maintenant, alors il regardait par la fenêtre pour oublier sa laideur.
- Excuse moi William..
- T'excuser de quoi ?
- D'être un poids pour toi..
William stoppa ses mouvements, fixant John dans les yeux avec un air confus
- Tu n'es pas un poids du tout ! Pourquoi tu penses ça ?
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Des Mots Qui Vont Très Bien Ensemble [PREMIÈRE VERSION]
RomansaWilliam est à l'internat depuis ses douze ans, enfant turbulent de base, ces parents veulent en faire quelqu'un de discipliné Il a maintenant dix huit ans, et rien n'a changé. Depuis quelques mois, il commencé à se rapprocher d'un garçon plus jeun...