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PDV Harley

Qu'est-ce que la vie ?

Qu'est-ce que la mort ?

Au ond, une ballade vers un monde meilleur.

Voilà mes pensées à ce moment-là. 

Joker avait ramener une femme hier soir, pour me rendre jalouse, peut-être ou peut-être pas.

Tout ce que je sais, c'est qu'ils se sont enfermés dans le bureau et que quand j'ai voulu venir, il avait refermer la porte violemment. J'avais entendu les rires de l'autre brunasse. 

J'étais rester dans ma chambre une heure avant de redescendre. 

Il m'avait prit, je lui appartenait tout entière et il se permettait de me tromper. Avec une pîmbeche en plus.

Grr, il me contrôlé. Sans lui je ne suis rien, sans lui ma vie est noir. Elle est déjà très très noire.

J'avance dans le couloir et la voit sortir du bureau. Je la suis discrètement. Mais avant je m'empresse d'allez voir mon Poussin.

Il a sa chemise entrouverte. Et il fume.

Je reconnaitrais ce geste entre mille. Il vient de coucher avec elle et tire une cigarette entre ses lèvres.

Je suivais cette femme alors énervée. Même plus qu'énervée. Je vais la tuée.

Je me dirige vers elle, le bruit de mes talons résonnent alors qu'elle se stoppe et regarde derrière elle, craintive.

-D'où as-tu oser le toucher ? Il m'appartient à MOI !

Elle recula jusqu'à heurter le mur, je lança un couteau qui vient plonger en plein ventre, l'ouvrant.

Elle gémissa de douleur.

-Ce n'est que le début, chérie !

Je me mis à rire follement tandis que je l'humilié, je la blessais... et son dernier souffle arriva.

Je me relevais d'elle satisfaite et allait m'en aller. Quand je croisa le regard sombre de mon Poussin.

-Chéri !

Il me giffla...fort.

J'ai tellement mal.

-Je ne t'appartiens pas Harley, tu m'appartiens mais je ne suis pas à toi. Clair ?

-O-Oui ?

-Clair ? 

-Oui. Poussin ?

-Et arrêtes avec ce surnom ridicule. Je te rappelle que je suis ton maître, moi et seulement moi. Tu m'obéiras toujours ...n'est-ce pas Harley ?

Il tira sur l'une de mes couettes, m'arrachant un couinement.

-Oui, M.J

-Bien.

Il me poussa violemment contre terre en s'en allant.

Je t'aime moi, mais j'ai peur.

Tu me contrôles et m'obsède.

Mais je reste par terre à pleurer sur ce qu'il venait de se passer. Je pris alors mon gun que Poussin m'avait offert en cadeau il n'y a pas si longtemps et partit dehors, dans les rues noires de Gotham City.

Sans savoir qui pourrait m'aidé ou si on m'aiderait.


Ma folie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant