« Salem Aleykoum, Bonjour »
ADJINAYA
Ça faisait plus de 1h qu'on roulait. Dans la voiture personne parler. Neya c'était endormi sûrement morte de fatigue, et je pense réellement que
je vais finir par moi aussi m'endormir mais sa voix
me sort de mes pensées.- Lui : Je t'avais dit que tu pouvais me faire confiance.
- C'est normal que j'étais pas confiante.. comprend moi.
- Lui : Il penche sa tête vers moi et je manque de perdre mon souffle quand je sent le siens, il s'abaisse à mes pieds et ouvre la boîte à gants et en ressort un sachet Tient c'est pour toi.
- Pour moi...
Je l'ouvre et tombe sur une boîte noire en velours.
- Lui : Tu l'avais fait tomber l'autre soir... Je l'ai gardé.
C'était mon collier. Un collier avec mon prénom écrit en arabe que j'ai depuis toute petite, je m'en rappelle très bien du jour où mon grand-père me l'a offert pour mes 6 ans.
Paix à son âme.
Il me manque tellement. C'était tellement différent quand il était encore vivant..
- Lui : Une nouvelle vie s'offre à toi et ta sœur.. je fait ce j'avais à faire.
- [...]
J'avais tellement envie de lui ouvrir mon cœur... De lui crier
ma douleur et mes peurs.
Il me regardait avec ce regard.. le même que cette nuit. Un mélange de tristesse et de peine. Je lui fait de la peine.- Je veux juste vivre sereine mais je sais que c'est impossible. Je pourrais pas affronter tout ce qui va arriver.. Je reste silencieux en laissant une larme coulait Mes peines sont allégé maintenant que je suis loin d'eux mais mon cœur non.. Je sais pas d'où tu viens, qui tu est mais je veux que tu m'aide. Que tu restes à nos côtés.
Il semblait choqué, il doit sûrement me prendre pour une bêta.
- Lui : Tu veux que je teste à tes côtés ?
- Oui... Pour moi mais aussi pour ma sœur.
- Lui : [...]
Manquerait plus qu'il m'abandonne à son tour.
« INCONNU »
Je m'étais arrêter dans une aire de repos pour refaire un plein et me dégourdir les jambes, on arrive bientôt à la base.
J'allume une cigarette et la regarde dormir. Même dans son sommeil en dirais qu'elle a peur de quelques chose.. qu'elle est pas bien. Je lui ai pas répondu tout à l'heure. Je m'en veux de pas l'avoir rassurer. C'est bête de ma part.
Je finis ma cigarette et remonte dans la voiture. Elle c'était recroquevillé sur elle même, elle doit avoir froid. Je mets le chauffage et enlève ma veste pour la couvrir.
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[1] « On s'est retrouvés tous les deux les joues salées »
Lãng mạnJe l'ai connu j'étais dans le gouffre et c'est là qu'ont commencé tous les soucis.