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« Salem Aleykoum, Bonjour »










INCONNU












- ? Monsieur j'ai quelques informations qui pourraient vous intéresser..

- Je t'écoute.

- ? Vous avez ici des photos de Adjinaya avec un homme, on les voit plusieurs fois ensemble car ils habitent le même bâtiments.

- Elle est vite passée à autre chose.

- ? Mais c'est pas tout, l'homme est en ce moment ici à Beyrouth pour l'enterrement de son père.

- Elle n'est pas avec lui ?

- ? Non elle est resté en France, sa sœur et son beau-frère sont mort.

- Hum.. Il s'appelle comment ?

- ? Nahim Cheikh Al-Sultan monsieur.

- Bien. Il pourra pas me la volé. Cette femme est à moi qu'elle le veuille ou non, une parole est une parole la vielle me l'a promise.














ADJINAYA







~ Quelques jours plus tard ~







- Il ressemble tellement à Aylina...

- Abedin : Ça va être un beaugosse lui.

- Sayme : Il l'est déjà.

- Neya : Pourquoi t'avoir donné sa garde.. à croire elle savait qu'elle allé mourir.

- Sayme : Elle savait qu'Adjinaya saurait s'en occuper c'est tout.

- Neya : Oui mais c'est quand même bizarre.

- Je vais le changer.

Je le prends en faisant attention à sa tête et le ramène dans la chambre. Abedin c'était occupé d'aménager le lit et tout le nécessaire pour un bébé que Aylina et Qazem avait acheté.

- Ma lèvre inférieure tremble Tes parents t'aime de là-haut mon grand.. Tati veilleras sur toi je te le promets.

Malgré que j'essaie de garder la tête haute la douleur est toujours là, j'essaye de paraître forte mais c'est tellement dure..

Demain on s'envole pour le Liban pour les enterrer. Tarik à pensé que ça serait mieux si on les enterré ensemble sur les terres de Qazem, alors on partait pour Beyrouth le lendemain matin.

J'avais donné le biberon à Nahim Jr et l'avait habillé chaudement.

- Abedin : Tu sauras t'en occuper t'inquiète pas.

- J'ai tellement peur Abedin..

- Abedin : Cesse ça alors t'est forte. Aylina et Qazem ne t'ont pas confié leurs fils pour rien.

- Tu a raison.

- Abedin : Aller on va rater notre avion.

Il prend le sac à langer pendant que je prend mon dernier bagage. On ne savait pas encore combien de temps on allé resté au Liban puisque la famille de Qazem n'ont toujours pas vu le petit alors j'ai prévu beaucoup plus que le nécessaire.

[1] « On s'est retrouvés tous les deux les joues salées »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant