Jour après jour, les jours passent et personne ne vient donner un procès, ils s'excusent vite, et disent : " Assez, c'est assez ! La nourriture est si bonne que nous en serons bientôt fatigués ; le vin aussi, il est toujours si bon ; nous serons heureux et satisfaits jusqu'au quatrième jour". Mais c'est alors que nous saurons si notre vin est vraiment bon ; ce jour-là, une goutte tombera dans la coupe, et si c'est du vin rouge, alors il vous rendra riche ; s'il est blanc, alors de la neige tombera, et s'il est noir, alors la sorcière vous aura attrapé. "Eh bien, dit le Hun, tout est dans l'eau si vous le laissez faire.
Puis la petite fille lui raconta ce qui s'était passé sur la rivière et comment les Hun l'avaient séduite. Alors le corbeau dit au chien de berger : "Nous te montrerons le chemin du château. Et le chien la conduisit dans une vieille tour, et le corbeau descendit avec elle, et dit:'Tu dois rester avec moi jusqu'à ce que tu sois entré et qu'on t'ait montré la porte'. Le chien battit des ailes, le corbeau monta sur le toit et chuchota aux gardes : " Donne-moi la clé pour que je puisse ouvrir la porte ". Ils lui ont donné, et la porte a volé à droite et à gauche aussi vite qu'une souris le pouvait. Ils sont allés jusqu'à ce qu'ils arrivent dans la cour, et la petite fille s'est assise sur une bague qui était derrière la porte. Alors le chien dit : "Je passerai par là, je toucherai l'anneau que porte l'enfant, et il ouvrira la porte qui mène au château". Ils s'en allèrent jusqu'à ce qu'ils arrivèrent à l'église, et la petite fille, la tête haute au-dessus de sa tête, se piqua avec un couteau tranchant jusqu'à ce que le sang coule. Puis elle regarda la belle épouse du roi et, de son propre sang, elle saupoudra le pain blanc qu'il y avait dans le pain et se fit de beaux gâteaux porte-bonheur.
Quand le moment est venu pour le roi de dire au revoir à sa fille, elle a dit : " Sauter dans la cour est un morceau de bon pain. Il a trouvé de l'or ! Et puis elle s'appuya sur le petit traîneau, et pleura tellement que ses tresses brossèrent le traîneau, et comme le vent soufflait sur la poussière blanche, elle regarda dans la cuisine et vit le pain blanc qui était encore chaud, et elle demanda en elle : "Qu'avons-nous là ? Et la bonne répondit : "Nous avons un bijou. Où as-tu trouvé ça ? demanda la petite fille. De la part de la femme du paysan, répondit le loup, et elle te l'a donné parce qu'elle t'aimait tant.
Alors la petite fille dit : " Je te donnerai quelque chose que tu emporteras avec toi dans le palais ; enlève-le du traîneau, et jette-le dans le pot de ragoût royal qui est dans le couloir ". Le loup dit:'Je ne ferai pas cela ; la princesse a de bonnes choses à te donner, et ce que j'ai, ce sont des choses qui m'appartiennent'. Mais la petite fille dit du mal du loup, et ainsi il jeta le traîneau brisé dans la rivière, et la bouilloire claqua contre la fenêtre, et le poisson cria dans le pot, et enfin tout cela arriva. La petite fille jeta la bague sur les genoux de la princesse du roi, puis il s'en alla. Quand il eut fait un petit bout de chemin, la petite fille dit à la servante : " Va chercher la fille du roi pour le dîner ". La servante a regardé, mais l'anneau n'était pas sur l'anneau ; la servante a pris l'anneau et est partie. Pendant qu'elle cuisinait, la fille du roi se coucha, et pendant qu'elle faisait le plaisir du roi, elle jouait du clavecin, et le peuple là-bas le vit et cria : "Le bon seigneur va bientôt arriver", et comme ils étaient tous joyeux, ils s'enfuirent en disant : "Le bon seigneur te verra le matin, et te permettra de monter dans son palais avec toute hâte ! Alors la petite fille atteignit la porte du palais du roi, et quand elle entra, les gardes furent partis, et elle entra elle-même. Mais le roi envoya des hommes pour l'emmener, mais ils ne la trouvèrent pas, et la fille du roi resta derrière, et, terrifiée, elle dit au soleil : "J'abandonnerai à jamais ma voix !". Le soleil brilla, lui apporta la clé du palais.
