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Mains dans la mains nous nous rendons à l'hôtel pour nous reposer mais , le nombre de voiture de police nous mettait la puce à orreil que notre moment de gloire était bel et bien terminer , je savais que l'on nous arrêterait tôt où tard.

Ont se stoppe net mais Kais me tira en arrière pour nous faire courir mais je restait statique.

Kais : mais quesque tu fais, courrons ils vont nous attraper .

Moi : ....

Kais : mais quesque tu fais ?

Il fini par me tirer avec toute sa force .

Et s'en suit des heures et des heures de marche interminables.

Je ne sentait plus mes pieds et je sais que lui aussi mais il était déterminer a courir , déterminer à me protéger, je le regardait , il était jeune ....

Je senti mon corps me lâcher et je tombe au sol dû à la fatigue et au désespoir.

Les larmes me submegerent tout doucement .

Kais : Massira, lève toi , ça va ?

Je ne sentait plus rien . Même mon coeur ne fonctionnait plus bien , ce n'était pas une crise cardiaque jetait jeune et en bonne santé mais je ne pu savoir la raison de la lourdeur de mon corps .

C'était juste la douleur qui avait élue domicile dzns mon cœur.
Je senti des bras me soulever .

Kais : ne laisse pas tomber , il y'a encore une chance que tout cela finisse bien .

Il se remit à marcher mais des gironfares lui fais changer sa cadence .

Police : ARETEZ VOUS !!!!!

Il courra jusqu'à un pont . Mais la police nous encadres rapidement il n'y avais plus d'issue.

Moi : fais moi descendre .

Il le fit

Police ( papa de Kais ) : comme ont se retrouve .

Kais : papa n'avance pas sinon je me tire dessus .

Il sort une arme et sont père fais un geste en vers les autres.

... : ma chérie. ....

Je me retourne et tombe nez a nez avec des yeux noirs.
Papa

Moi : PAPA .

Il me regarde et sourit , tristement .

Papa : je t'aime ma chérie. ...

Moi : PAPA je suis désolé j'ai conscience que je ne t'ai pas fais honneur mais j'en suis désolé.

Policier ( père de Kais ) : rendez vous sans discuté.

Je regarde tout le monde et je prend l'arme de Kais.

Moi : je suis vraiment désolé pour tout ce que je t'ai fait, tu mérites une vie de rêve, dit à ma fille que je l'aime fort et que je suis désolé de lui priver de sa mère , donne lui tout l'amour qu'il faut.

Je soulève mes bras en signe de résignation. Et un policier passe les menottes a moi et à Kais pour nous faire avancer .

× point de vue exterieur

Massira se degagea rapidement des policiers et s'apprête à sauté du haut du pont.

Kais : NONNNNNNNNNNNNNNN

Et ce fut la dernière fois qu'elle vue Kais. Car elle se jeta a l'eau.

Quelques secondes plus tard , elle senti l'eau glacé sur sa peau . L'eau l'avais toute sa tristesse , elle pouvais enfin sourire .

chronique : je suis la fille d'un chef de gangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant