Chapitre 10 : Le Carnet De Samuel

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( Attention ! Des références se cachent dans ce chapitre !
Aussi, je m'excuse d'avance pour les fautes d'orthographe (volontaires) présentes !
Bonne lecture ;))

Iris

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Xeris Underwood

Âge au début de l'histoire : vingt neuf ans

Géniteurs : inconnus

Caractère : tempéré, sage, rancunier, humble, curieux.

Originaire : Québec

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"Aaron ? Il n'y a pas d'entraînement aujourd'hui ? ai-je demandé en entrant dans la chambre de l'intéressé.

- Non Iris. J'ai quelque chose à faire.

- Et... Xeris ne peut pas s'en occuper ?

- Non ! Pas tant que la jambe de ce grand idiot sera dans cet état. "

J'ai alors remarqué la présence du grand homme. Il est assit dans un vieux fauteuil abîmé dont les pieds semblent plier sous son poid.

" Voyons Aaron ! Je vais bien ! Ce n'est qu'une égratignure, s'est exclamé le blessé.

-Qu'une égratignure ? Xeris, au vu de la profondeur de cette blessure, je suis bien content de t'avoir appris à stopper les émoragies. Sinon, crois moi, tu serais déjà emputé de cette jambe si ce n'est des deux !"

Xeris n'a rien répondu à cette remarque. Il a baissé la tête vers sa jambe sanguinolente, un petit sourire au coin des lèvres.

"Et Alexander ou Connor ne peuvent pas assurer mon entraînement ? Ils ont bien une certaine expérience.

- Ils ne sont qu'apprenties et je ne leur fais pas entièrement confiance...

- Je suis certain qu'ils pourraient le faire, ils ne sont pas idiots, tout de même, a renchérit Xeris avant de prendre une claque autoritaire à l'arrière de la tête.

- Chut ! Tant que tu seras blessé, c'est moi qui donnerai les ordres. Iris, vas donc fouiller un peu dans la maison. Tu ne l'as pas encore exploré et je suis sûr que tu y trouveras des choses intéressantes, m'a alors dit Aaron avant d'attraper une bouteille d'alcool à quatre-vingt degrés sous le regard légèrement apeuré du soi-disant mentor.

- Très bien... "ai-je murmuré après un soupir.

Je sors de la pièce, fermant la porte derrière moi.

Je connais toutes les pièces de la maison hormis celles auxquelles je n'ai pas accès. La seule que je n'ai pas visité est le grenier, son côté lugubre et délabré m'ayant toujours effrayé et tenue à l'écart.

Je m'approche lentement de la porte de celui ci -porte se trouvant juste à côté de ma chambre, au bout du couloir du l'étage-.

Un frisson glacé me parcourt le dos.

Je tends la main vers la poignée et la tourne.
La porte s'ouvre dans un grincement effroyable, me laissant apercevoir un petit escalier en colimaçon. Escalier que j'emprunte, très peu rassurée quant à ce qu'il peut se trouver en haut.

Une forte odeur de renfermé vient me chatouiller les narines.

Une fois en haut de l'escalier, je laisse à mes yeux le temps de s'adapter à l'obscurité ambiante puis parcours la grande salle du regard.

Des objets en tout genre jonchent le sol, des étagères en bois pliants sous le poids de trop nombreux livres et papiers sont disposées le long du mur en face de moi et, trônant au centre de la pièce, un objet imposant et recouvert d'un simple drap attire mon attention.

Assassin's Creed : La dernière guilde (EN PAUSE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant