Elle & lui.
La petite pièce était sombre et serrée, la seule lumière qui filtrer était celle qui passait par le bas de la porte. Dans la pièce deux personnes se tenait collées l'une à l'autre, la pièce était étroite. Elle était sur lui, le plaquant contre le mur, la respiration courte, et dans la pénombre lui ne distinguait pas le rouge de ses joues, ni la lueur dans ses yeux, qu'il devinait malgré tout : ce n'était pas la première fois qu'ils faisaient ce genre de choses indécentes. Ils aimaient ses moments volés dans des pièces sombres et étroites. Lèvres contre lèvres, et les baisers qui s'intensifient, la température qui ne cessait de monter, et les peaux brûlantes, l'une contre l'autre, ils se pressaient l'un contre l'autre, submergés par le désir, se caressant de bout des doigts.
Elle quitta ses lèvres, et déposa des baisers sur la courbe de sa mâchoire. Il gémit doucement, abandonné au plaisir contre le mur, les mains sur son corps à elle, les glissants, timides et hésitantes sous ses vêtements. La tête en arrière, lui offrant son cou. Il avait la respiration courte, les lèvres entrouvertes, laissant s'échapper des sons graves, roques. Elle fit de lents va et viens avec ses hanches, contre son bassin à lui, serré l'un contre l'autre, et des spasmes la prenait suite à cette douce torture de son clitoris :
-Putain, j'ai envie de toi. La voix grave du gars lui chatouilla l'oreille.
Elle rigola doucement contre son épaule. Il était déjà si pressée, leur dernière étreinte ne datait pourtant d'il n'y a que peut de temps.
-Alors il est temps de se débarrasser de quelques petites choses gênantes.
Elle fit descendre ses mains contre son torse jusqu'au bas du t-shirt, et puis le fit passer au-dessus de sa tête à lui, elle s'en débarrassa alors en le balançant sans prêté attention à la direction, il fit de même avec son t-shirt à elle. Et la contempla les yeux brillants d'excitation.
-J'aime l'absentéisme de tes soutiens gorges.
Sur cette phrase ils continuèrent de se déshabiller, peu à peu prit par excitation ils hâtèrent leurs mouvements, et se cognèrent, avant de se ré embrasser passionnément, les pantalons sur les chevilles, et qui continuaient de glisser, les vêtements éparpillaient dans un coin. Il glissa sa main droite dans la culotte, sur son entre-cuisse, chercha délicatement sur le gland du clitoris, appuyant dessus avec précaution, elle sursauta et gémis.
Elle gémit, le souffle court, la respiration de plus en plus erratique, les gestes précis et appliqués lui offrait des éclairs de plaisirs qui lui traversaient les reins.
-Non, pas maintenant, j'ai envie de m'occuper de toi, et de te donner du plaisir...
Pour autant il ne s'arrêta pas, osant même avec sa seconde main remonter le long de son ventre et saisir un téton entre ses doigts, le torturant avec minutie, l'autre il le saisit entre ses lèvres. Ses lèvres à elle s'entrouvrirent, laissant s'échapper des gémissements à peine retenus.
-Je sais quoi faire de tes mains baladeuses, et de ta formidable bouche.
Il ne lui fallut que peu de temps pour se saisir de la ceinture, de ses mains à lui et de les attachées, l'une contre l'autre à la plomberie,un peu en hauteur, tandis qu'il est assis appuyé contre le mur.
Elle se redressa pour l'admirer dans toute sa splendeur, adosser au mur, les joues rouges, le regard loin, la bouche entrouverte, essoufflée, les mains accrochées au-dessus de la tête, les jambes écartés, le boxer dissimulant à peine une certaine grosseur, un appel à la luxure.
Elle fit glisser le long de ses jambes le dernier vêtement, et finit elle aussi de se dévêtir.
Elle chercha autour d'elle en tâtonnant, à la recherche d'un préservatif, une fois trouvé elle déchira l'emballage, et le lui enfila :
-Viens vite, j'ai besoin de toi...
Il la suppliait d'une voix rauque, désireux. Elle décida de lui accorder sa demande, et de s'asseoir sur son bassin, après tout elle en avait envie aussi. Et il fut enfouit en elle, elle commença alors de lents mouvements amples, histoire de finir de s'habituer :
-Va plus vite s'il te plait, je veux plus...
Il devenait trop sur d'obtenir ce qu'il souhaitait, c'était elle que détenait les commandes, et elle ne faisait que ce qu'elle avait envie de faire. Elle ralentit encore. Elle se contracta, se resserrant autour de lui, et il voulu la supplier encore, mais de sa bouche ne sortait que des mots dit trop bas, un discourt maladroit et largement couvert par ses gémissements à lui, et les respirations rapides.
Enfin, elle accéléra la cadence sans prévenir, allant de plus en plus vite, gémissant fort.
Il tenta d'accompagner les mouvements, et soulevant ses hanches en rythme, mais elle voulait le contrôle, et tenta de l'en empêcher. Et le moment de plaisirs se transforma presque en une lutte, elle voulait tout contrôler aujourd'hui, tandis que son corps la supplier de s'abandonner au plaisir, et ses hanches et ses jambes étaient animées de spasmes à chaque coup de hanche, car le membre enfouit au fond d'elle heurtait un endroit sensible, maltraité, mais qui lui envoyait tant de plaisir.
Lui, essayait temps bien de mal, d'accentuer les coups de butoirs en accompagnant le divin mouvement de ses hanches, il gémissait et surtout il l'entendait gémir. La sentait tremblée sur lui, assailli par le plaisir, il avait de plus en plus de mal à se retenir de jouir, elle semblait fatiguée, et donc, lorsque ses bras fléchirent, elle le laissa accompagner le mouvement, la pénétrant avec plus de force, et torturant avec plus de puissance cette endroit si sensible, qui lui faisait temps de bien, et elle se sentit envahir par l'orgasme qui la ravagea sans pitié la faisant se resserrer autour de lui, qui craqua aussi et joui.
Elle se laissa alors tomber sur lui, fatiguée et comblée.
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Erotic Book
Short StoryJe m'essais à la littérature érotique, et cela par court récit mettant en scène des relations sexuelles entre adultes consentants. J'essais que mes écrits soient les plus inclusifs possible, donc je ne précise rien sur mes personnages pour que vous...