Douce étreinte. (Lui & Lui).

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Les doigts agiles caressent consciencieusement l'épiderme sensible de mon ventre, tandis que je suis étendu de tout son long sur le lit confortable. La caresse aérienne sur ma peau envoie d'agréable frisson dans tout mon corps. J'entrouvre les lèvres, laissant s'échapper de bruyant gémissement, gêné, je rougis. 

La caresse s'accentue et je ferme les yeux. Un fin sourire se dessine doucement sur mes lèvres, et le sang de mon corps migre peu à peu jusqu'à mon entrejambe. Je me cambre, souffle et gémis plus fort, la main descend, arrivant au haut de mon boxer. Il passe ses doigts sous l'élastique, j'attrape ses lèvres entre les miennes, pressant mon corps contre le sien, et passant mes bras au dessus de ses épaules.

Je le fais basculer sous moi, me dressant au dessus de son corps, assis à califourchon sur son bassin. Je bouge doucement et langoureusement mon bassin. Il ferme les yeux et gémit piteusement,  ferment les yeux et se mordant appliquement la lèvre, crispant ses muscles tandis que ses mains tiennent fermement mes hanches.

Je commence à aller et à venir sur son érection, enfermer dans son boxer. je passe mes mains sur son torse nu, montant lentement mes mains, du bas de son ventre à ses pectoraux, triturant affectueusement ses tétons. 

Il accentue les va et viens, me faisant aller et venir sur lui, stimulant délicieusement les érections dressées et nous faisant gémir à l'unisson, je laisse ma tête partir vers l'arrière. Et les mouvements deviennent brouillon, et on commence à divaguer, tout s'accélère, mes pensées non plus vraiment de sens, je ne serais plus capable de formuler une phrase correcte, il grogne plus fort, nous collant l'un à l'autre.

Et une sensation affolante prend place en moi, chaque mouvement l'intensifie et comme une quête je veux aller au bout, j'accélère, j'accélère, et soudain une vague se déverse, me succombe, j'éjacule, je continue pendant quelques secondes à m'agiter, et je redescend doucement de mon nuage tandis que le fatigue me submerge, je me laisse tomber à coter de lui, il essaie aussi de revenir à la réaliter, je souffle, c'était bon.


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