Passion sanglante. (Elle & Lui)

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Elle & Lui.

Il poussa la porte, une bouillotte toute chaude entre les mains, et s'arrêta un instant pour la regarder. Elle était étendue sur le lit, recroqueviller une douleur trop familière au ventre, le tout seulement vêtu d'un t-shirt à la taille délirante et d'une grande culotte noire. Il était définitivement trop sous le charme de la fille pour son propre bien.

Il s'approcha d'elle et lui donna la bouillotte, qu'elle posa immédiatement contre son bas ventre douloureux, le remerciant du regard. Elle écarta les bras, en accompagnant le tout d'une grimace suppliante :

-Je veux un câlin...

Il céda presque immédiatement, et ils se retrouvèrent l'un contre l'autre, la bouillotte entre eux deux. Il décrivit des cercles dans son dos à elle, pour la réconforter. Descendant lentement et inconsciemment, et il finit par arriver à ses fesses. Elle se mit à rougir alors que dans la douleur s'insinuait une chaleur autre que celle de la bouillotte. Elle ferma les yeux et commença à mordiller sa lèvre, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres. Un sourire qui n'échappa pas au garçon, qui comprit immédiatement ce qui était en train d'arriver.

Doucement l'étreinte innocente se transforma en autres chose. Les caresses s'accentuèrent, les respirations s'échauffèrent, et peu à peu, de légers témoins vocaux du plaisir ressenti apparurent, ainsi que diverses réactions physiques, tel qu'une érection, sur laquelle elle passa sa main, avec une attention toute particulière pour les sons excitants qu'il laissait échapper, et qui lui faisait apparaître autre chose entre ses cuisses que du sang.

Elle le coucha sur le dos, entre ses cuisses à elle.

Elle passa finalement sa main sous l'élastique du boxer, pour toucher, chair contre chair l'érection. Il grogna, les yeux fermés, abandonner à ce qu'elle allait lui faire, de l'autre main elle attrapa le lubrifiant caché dans sa table de chevet. Il reconnut immédiatement le bruit familier que le petit contenant fit quand elle l'ouvrit, et cela fut suivit d'un gémissement :

-Oh oui oui, fais ça... j'adore.

Il écarta largement les cuisses, lui laissant l'accès totale à son entre-cuisse. Elle posa ses doigts couverts de lubrifiant sur l'anus du garçon, s'appliquant à le dilater. Il était détendu, et en peu de temps elle put y glisser deux doigts sans qu'il ne ressente aucunes douleurs. Elle sut qu'elle avait trouvé sa prostate car il se cambra violemment en gémissant vulgairement, les bruits agréables lui chauffèrent ardemment le ventre. Elle tortura sa prostate, et son érection à un rythme soutenu, jusqu'à ce qu'il jouisse dans un dernier gémissement.

Elle le laissa redescendre de son orgasme, coucher sur le dos, à côté d'elle, et alors qu'il était sur le dos, les yeux fixant le plafond il se tourna vers elle.

-Je veux te faire du bien aussi. Dit-il en la fixant, cette lueur si plaisante au fond des yeux.

-Il va nous falloir une serviette.

Il ne fallut que quelques instants pour qu'une serviette se joignent à eux, elle fut pliée en deux en mis sous ses fesses à elle pour empêcher les taches.

Il passa le bout de ses doigts contre le clitoris, l'action fut suivie d'un gémissement d'impatience. De son autre mais il se saisit d'un de ses tétons à elle, qu'il pinça très légèrement, elle se cambra fortement, ce point de son corps semblait directement relier à son entre-cuisse, de sa bouche il passa sur le galbe de ses seins, embrassant, ou torturant la peau sensible. Elle gémit fortement, après le désir c'était le plaisir qui faisait disparaître la douleur, elle ne savait plus si elle mouillait en quantité, ou si c'était le sang qui coulait comme ça, chaud, avant de se jeter dans la serviette, mais ce n'était pas désagréable.

Il finit par changer de sein, tout en accentuant son touché de moins en moins timide sur l'organe de plaisir. Le feu dans ses reins ne cessait de grandir, et rien ne semblait pouvoir l'arrêter, elle se cambrait fortement, et soudain, tout son corps s'embrasa en un incendie plus que plaisant auquel elle ne pouvait échapper, elle s'y abandonna donc. La douleur oubliée. 

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Bon confinement.

Balheryon.

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