Erotic Book

La fête /Partie 1/ (Lui & Lui).

Lui & Lui.

La fête bat son plein, la maison animée laisse s'échapper une forte musique, et une agitation qui anime le quartier de cette heure très tardive, ou trop matinal. Plusieurs individus vont et viennent librement à travers la maison, le rez de chaussé est bondé, mais ce n'est pas le cas du première étage, où toutes les pièces ne sont pas occupées. Je suis accompagné d'un beau gars, nous nous rendons dans la plus reculée, nous sommes deux mecs. Les mentalités évoluent, mais pas assez rapidement, alors, la discrétion est importante, jusqu'au coming out, jusqu'à être prêt.

Je pénètre dans la chambre, il me suit de prêt et ferme la porte, à clef. Ensuite il me plaque entre le mur et son corps robuste, j'en gémis doucement de satisfaction, cette soirée s'annonce enfin intéressante, j'écarte un peu les cuisses, alors que l'excitation diminue la capacité de mes jambes à soulever le poids de mon corps et il place une de ses jambes entre les miennes, la collant contre mon entre-jambe, d'abord doucement, presque timidement, puis avec plus de conviction, jusqu'à venir effectuer une légère friction. Et il plaque alors sa bouche contre la mienne, doucement le baiser s'intensifie, et il met une main sur ma hanche, la massant doucement et place l'autre sur le sommet de mon cou, tirant, triturant les cheveux courts du sommet de ma nuque. Le sang de mon corps migre doucement en direction d'une partie plus au sud de mon anatomie, jusqu'à créé une certaine tension, voir tonicité.

Je met mes mains sur ses fesses, fermes et dodues, je pourrais les tripotais encore et encore, et je ne m'arrêterais pas avant d'avoir autre chose de plus intéressant à tenir entre mes mains.

Il est pressé, je le sens dans ses mouvements, et dans son empressement à me déshabiller. Il en devient presque maladroit, il me débarrasse de mon t-shirt, de mon jean, et me pousse sur le lit. Je peux maintenant l'admirer, lui, ses épaules, son torse, et ses cuisses. Et enfin, il se daigne à me rejoindre sur le lit, en se dressant au-dessus de moi. Je m'empare de sa bouche, appuyant sur son dos pour qu'il colle son corps contre moi. Il cède à ma demande implicite et supprime la distance qui nous sépare. Il pose ses lèvres sur les miennes, fait glisser ses mains sur mon corps, en commençant par le haut de mon torse, puis mes hanches, et en profite pour faire glisser le boxer le long de mes jambes jusqu'à m'en dévêtir, et sans débarrasser en le jetant loin du lit.

Et cela libère mon sexe, qui vient s'échouer contre mon bas ventre, et qui par la suite, fut rejoint par un autre, pour une succulente dance lascive et jouissive. Et je me mis à gémir sans pouvoir m'arrêté, c'est bon, très bon. De le sentir contre moi, excité, et ayant envie de moi. Cela me fait écarter à nouveau les cuisses, pour mieux l'y accueillir. Et il se colle encore plus contre moi, et une de ses mains remonte juste qu'à un de mes tétons. Et se mit à le torturer assidûment, avec t'en d'application, que des éclairs de plaisirs me traversent le corps, je me cambre, m'arque boutant donc contre son corps ferme et débute un long mouvement  contre son bassin.

Il en grogne de sa voie roque, et enfouit ma tête dans son cou, et se met à aspirer ma peau sensible dans sa bouche habile, il la cajole. Je vais avoir des suçons demain, et je ferais me ferai un joie de faire semblant d'être embarrasser quand on me le fera remarquer, après une volontaire mauvaise dissimulation.

Il attrape ensuite mon sexe et le sien dans sa main et commence à faire des vas et viens avec sa main, de plus en plus vite, caressant avec de plus en plus d'application les deux sexes sensibles qui tressautent et pulsent presque à chaque mouvement.

Soudain, quelqu'un tente d'ouvrir la porte.

Dans la panique je n'ai fait pas spécialement attention à ce qui fut dit exactement mais je parviens tout de même à comprendre que les parents de la personne qui avait organisé la fête sont de retour bien plus tôt que prévu. Et tout le monde doit donc déguerpir.